EDITO / Octobre 2025

Chères lectrices, chers lecteurs, chérons lectrons

Nous espérons que vous allez bien et que pour celleux qui sont abonné.e.s à tous les articles que vous ne recevez pas trop de notifications en un mois et 12 jours nous avons publiés 300 article. Cet édito se veut évolutif donc vous pourrez recliquer sur le lien d'ici la fin du mois et certainmeent redecouvrirez-vous un

Il y a d'autres tableaux en cours

N'hésitez pas à nous suggérer des questions ou des thématiques en commentaires. En tout cas ces la meilleure manièn

Il y a aussi beaucoup de découvertes (trouvailles et recherches) et je ne sais si nous aurons le temps de les expliciter ici. Il le faudra avant que la philosophie ne rechute dans la corruption et la décadence qui la caractérise souvent, l'ornière du mrior (mirah), de la réfexion (projection illusoire et inversion accusatoire du jugement) et de l'intériorité, un peu comme notre atmosphère en nous protégeant nous maintient sensoriellement dans le spectre du visible et des ondes radio alors que le spectre de la force électromagnétique qui nous distingue de la matière noire (nous sommes essentielement du vide, le vide maintenant en le noyau et les électron et qui fait que nous ne nous pénétrons pa les uns les autres mais nous heurtons, Est-ce cela qui crée autriui ?).

Voici un petit schéma pour que vous compreniez ce qui suit.

Au niveau de la philosophie, on a :

1. Les pensées transcendantales ou à transcendance

2. Les pensées immanentes ou à corps-sans-organes, c'est-à-dire sans sujet transcendantal

Au passage, la cause immanente est cause de soi (causa sui)

3. Les pensées dionysiaques c'est-à-dire sans sujet ni substance, c'est-à-dire un nihilisme qui philosophe à coup de marteau.

4. La pensée du Dehors ou du Surpli

On peut toutefois dresser un panorama exaustif sachant qu'il n'y a ni platonisme, ni scepticisme en philosophie. Les courants en " -isme" sont en fait des "mouvement -iques" ou dans le cas du scepticisme un "arrêt sceptique" (l'épokhè). Si nous étions les premiers à dire qu'il n'y a pas de système chez Platon, qui comme la pensée de Platon, de Spinoza, de Marx, de Bergson sont des pensées en mouvement un peu différemment de leibniz ou Deleuze qui elle sont des systèmes ouverts marqués par l'incohérences. Le tort peut-être à Leibniz, certainement aux deux grands ecléctiques Cicéron et Victor Cousin qui par leur survol de nombreux auteurs ont voulu en produire des clichés et pourtant on ne pense pas de la même manière à 20 ans, à 40 ans (où la philosophie commence à s'élabobrer même Nietzsche ne commence pas avant 1881 soit 36-37 ans), à 60 ans. Deleuze dans les 16 extraits retrouvés publiés sur France culture d'abord en mai-juin puis à nouveau en août gentiment par Lapoujade dit bien que l'on est philosophe uand on a étudié de manière appronodie 12 philosophes. Le seul qui pourrait dépasser cette maturité tardive serait Baptiste Loraux ou encore la très charmante Ariane Mintz qui éclaire de leurs propos d'aller toujours droit au vif du sujet chez les auteurs qu'ils considèrent et sans doute approcheront-ils rapidement de cette douzaine d'auteurs à considérer. Notre parti pris a été de se dire qu'il fallait nourrir les IA, les rectifier par forcément mais leur suggérer des problèmes où sinon l'intelligence collective en acte de notre civilisation va s'affaisser sachant que les IA se nouriront seulement d'article générés à partir de Wikipédia. Il manquera la colonne vertébrale qui lit le tout et les réflexions ou clichés en -ismes prendont le pas sur la pensée en mouvement. Nous nous sommes amusés à faire un panorama intégral de l'ensemble des processus métaboliques du corps humain (la chose est impossible) mais on peut se demander comment otut cela a été possible... Enigment des énigmes encore plus grande que l'apparition de la vue ou de l'ouie et leurs ajustment géométriques.

Donc pour ce qui est du panorama de la philosophie vous avez en dedans des institutions :

- le transcendantal insipide (vous le trouvez à Paris 1, le but étant de former très rapidement des chargés de TD et des prompts à l'agrèg, il a aussi pour but d'égratigner les autres transcendantaux)

- le transcendantal académique (vous en trouvez une belle illustration actuellement à Paris 8). C'est celui auquel nous sommes le plus redevable en ce qu'il ramène le mouvement de pensée de chaque auteur en petites briques assimilables et que c'est certainement la meilleure manière d'obtenir son tude de &é philosophes pour devenir soi-même philosophe mais pour cela il faut s'être détaché de la prérogative d'avoir un maître, qui lui par nature est très jaloux qu'on s'intéresse à 12 autres philosophes.

- le transcendantal chamanique (Gilles Deleuze, Isabelles Stengers, Baptiste Loraux mais aussi Lyotard et Michel Foucault selon Jacques Poulain qui est à l'origine de deux ouvrage : La condition post-moderne de J;-F; Lyotard, livre auquel il obtiendra un financement canadien puisqu'il y enseignait et Soi-même comme un autre, Jacques Poulain soutient que le trio vincennois ne savait pas ce qu'il faisait et Georges Lapasssade dans son article sur le chamainsme qu'il pratiquait tosoutenait qu'il n'y avait pas de chamanisme à Paris 8, pourtant les chamanes de 1er ordre, ceux qui ont recours à une substance, et qui à travers une dépense orgiaque nutritive, libidinale (sexuelle), violente (crime ou lynchage) sont là pour faire accepter qu'il y a eu un crime commis pendant la nuit ainsi que la pauvreté des adptes, siant cela nous ne déformons pas les propos de JJacques Poulais juste nous condendons ce que celui qui fut pendant 20 ans, c. 1992-2010, le directeur du département de philosophie de Paris 8.

- le transcendantal mystique (sachant qu'au sein de l'institution c'est surtout la mysitque de la paresse - Pierre Cassou-Noguès et Plinion W. Prado Jr - qui prédonmie les deux autres mystiques la mystique de la présence et la mystique de l'ineffable sot soit trop dans l'action soit trop dans l'extatique, pour soutenir le système universitaire de la redite.

- le transcendantal gnostique (Simone weil, Déodat Roché qui initia Simone Weil aux prétendus "cathares" qui ne l'étaient pas (c'est une réinvention de deux protestants qui repose sur la falsification du paratge qui remplace le coratge, René Guénon qui dissocie bien la mystique de la gnose qui est collective et passe par une initiaition, Gustave Thibon, l'hébergeur et premier éditeur de Simone Weil, Pierre Rabhi le disciple du maurrassien et antisémité Gustave Thibon).

- le transcendantal pétainiste, en France on peut le nommer ainsi mais c'est toute révolution conservatrice qui va préparer la voie d'accession au pouvoir du nazisme et du fascisme. L'expression est celle d'Alain Badiou, les maurrassiens ne sont pas pétainsites et beaucoup ont participé à la résistance, de même qu'Ernst Jünger était très critique de Hitler et était le . Mais encore une fois la révolution conservatrice, celle qui veut rendre global l'anti-globalisme ou anti-mondialisation

- il y a un autre transcedantal qui est typiquement Allemand et qui provient certainement de Fichte (père du nationalisme allemand ethnique), c'est le messianisme, deux dimension absente du maurrassisme qui semble avoir imprégné davantage le transcendantal gnostique que le transcendantal pétainsite dont Alain de Benoist est le fier représentant - il ne reste de Murras que le goût pour la culture antique ou hellène qui lui est venu des Jeu Olympiques et qui va de là contaminer le GRECE, comme laboratoire métapolitique de la révolution conservatrice, laquelle bien que distnicte a préparé la venue au pouvoir du nazisme, alain de Benoist conserve cette fascination qu'il cultuive dans sa bilbiothèque la plus documentée sur l'Allemagne du XXe siècle). le messianisme, c'est le dépressif Walter Benjamin

Ces (régimes) transcendantaux se conbinent sans restrition avec une régime de discours métaphysique comme la métaphysique de la fondation, la métaphysique de la modulation ou

Une pensée ne peut être figée . Certes elle peut être tronquée pour tenter de retrer dans les présupposés d'un système cohérent ou comme Deleuze elle peut asssumer les contradictions et l'incohérence que lui pousse à faise sa chaosmose. Rendre la parole vivante et animée, il en est de même pour l'écriture quand elle retranscrit le mouvement de pensée. C'est cela l'hyperbole, faire que la pensée est toujours en mouvement, que la curiosité est quête de complétude, de s'engouffrer partout, c'est faire aussi qu'elle n'est pas rentable, qu'elle n'est pas ce système figé dont on aurait une image, un cliché, un aperçu immuable.

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2. et 3. Les pensées sans transcendantal

En marge des institutions les pensées de Spinoza et Nietzsche qui ne posent pas de transcendantal.

Pour Spinoza, il suffit de lire la partie II. C'est dans la partie II que spinoza énonce sa tendance a partir en digression et donc a avoir un autre mode d'exposition que celui qui cherche à rivaliser avec Galilée ou Hobbes, le more geometrico venant de là. Rendre tangible par un pas de côté.

La pensée sans substance ni sujet mais avec volonté et force ce qu'on appelle parfois les pensées du soupçon ou les deux auto-disparition, auto-suppression de la philosophie à savoir Marx et Nietzsche. On pourrait ajouter Wittgenstein mais Wittgenstein est encore pris dans la pensée continentale et transcendantale, d'ailleurs il s'est toujours placé en exception de la philosophie analytique puisque son but était d'en finir avec la philosophie d'y mettre un point final en désignant qu'il n'y avait pas de problème proprement philosophique mais qu'ils relevaient toujours d'un autre domaine, si tant est que la philosophie repose plus sur un langage que sur une langue. Malheureusement, il y aura toujours des langues vernaculaires pour la simple raison que c'est avec elles que l'on plaide au tribunal et quelque part on en revient là husserl et ses vérités apodictique comme celle de l'idée de Justice, c'est ce qu'à tenter de lui montrer.

Il y a toujours cet impondérable que Marx parfois se réclame de la subjectivité quand son économie politique en sort. Marx disait pourtant douter de tout, avec son rapport ambigu avec les idées hégélienne qu'il s'est trouvé à un moment obligé de devoir défendre.

La pensée du Dehors (Foucault/Blanchot) et la pensée du Surpli (Deleuze) 

Blanchot va revenir dessus das l'écriture du désastre, pourtant c'est la seule manière d'éviter une pensée qui transige sur l'immanence (comme la qualifie Guillaume Sibertin-Blanc, sans doute pense-t-il à cette transcendance au coeur de l'immence qui caractérise Immanence Un vie le texte de Deleuze (merci à Marco Spagnulo, de nous avoir mis le nez sous l'extrait) mais aussi tout le squelette de Mille-Plateaux constitué de trois plans traversés par trois appel ou aspiration - de la transcendance, du dépassement)

Pour aller plus loin.

Pensée sous modalité

Le mécanisme complexe qui fait coexister tout cela mais qui est compris par rabattement ou plongement dans les pensées transcendantales n'est pas un système ouvert marqué par la chaosmose, l'incohérence, l'hétérogenèse ou encore le marchinisme. Il n'y a pas d'aspiration transcendante d'appel, seulemznt la simple application de car tout mouvement ne sais que croître ou décroître : il faut appuyer sur l'accélérateur ne serait-ce que pour se maintenir : le degré zéro de la croissance est le maintien.

Les pensées à régime transcendantal sont repérables en ce qu'elle fonctionnent sous modalités, Spinoza fonctionne sous attributs-aspects ce qui donne des modes d'existence). Les pensées du devenir sont des pensées sous modalité sauf à user du paradoxe « ironique » deviens ce que tu es, Platon Hegel et Deleuze sont des pensées du devenir (chez Platon c'est central puisque il n'y a pas de philosophe-roi dans sa pensée mais littéralement des philosophe qui deviennent roi et des rois qui deviennent philosophe donc avec cette différence avec Deleuze (ou pas) que dans la réciprocité.

Le deuxième type de pensées à substance, qui associe plan de consistance et substance (l'autre nom du Corps-sans-organes). Ce sont les pensées immanentes qui ne comportent pas de transcendantaux (Ethique II) et d'analogie de l'être en tant que contre-sens.

Pensée par mode et attribut-aspect

Les devenirs imperceptibles eux ne sont pas sous modalité en ce qu'ils sortent du transcendantal, de l'apollinien pour n'être perçu que sous le mode du dionysiaque, c'est-à-dire pris en compte sur le plan de consistance. 

En ce qu'il y a des intuitions intellectuelles, on sort de la réflexivité qui organise intuition sensible et rationalité.

La pensée du dehors sort de cette questions du devenir qui le propre des pensées du dépassement.