SCIENCE / Pourquoi il n'y pas de science cognitive valable.
Mais les sciences cognitives sont un pas de plus de tout les abstraits dans la science, un science de comment on connaît, une science de comment on assimile à soi, un science axiomatique (l'axiome : rentre dans la cognition ce qui est assimilable à moi, puis après avoir poser l'identité on cherchera la où elle est maximale là où elle est minimale (transcandantal booléen 1/0 de la pensée binaire qui applique principe de tiers exclu, de double négation, de non contradiction) et on étudiera ensuite les dédegré infinis de différence (dégrés d'existence intermédiaire et autres abstraction)... bla bla bla... Mais c'est avant tout une logique formelle qui professe là, comme dnas les sicences cognitives. Les sciences cognitive sont sérieuses mais ne s'occupent pas d'affects, donc ni des hormones ni de nos cerveaux mais des automates intelligents, cerveaux androïdes qui ne seront jamais humains.
Voici un extrait de l'article de Wikipédia sur la cognition, pour revenir sur ce que nous disions dans notre premier paragraphe :
~Cognition froide vs. cognition chaude
Fondée sur la vision propre à la philosophie classique de l'être humain cogitans puis inspirée par la métaphore du cerveau-ordinateur issue de l'intelligence artificielle, l'étude de la cognition humaine s'est d'abord intéressée aux grandes fonctions de l'esprit humain, comme le raisonnement, la mémoire, le langage, la conscience… laissant de côté l'affect, l'instinct ou l'éthique.
Toutefois, bien que nées de ce cadre conceptuel, les sciences cognitives ont assez rapidement brisé ce découpage en montrant les multiples interactions qu'il pouvait y avoir entre, par exemple, l'affect et la mémoire, l'éthique et le raisonnement, etc. Le titre du célèbre livre d'Antonio Damasio, L'Erreur de Descartes illustre parfaitement cette évolution : contre Descartes (et une vision du raisonnement comme proprement humaine et détachée des autres composantes de l'homme), le neurologue oppose une approche dans laquelle émotions et raisonnement interagissent. En effet, les différentes disciplines qui composent les sciences cognitives ont montré qu'il était impossible de dissocier ces aspects du comportement humain. Ainsi, en neuropsychologie, les patients souffrant d'une lésion cérébrale dans le cortex préfrontal sont incapables de réagir correctement à une situation émotionnelle tout en étant parfaitement capable de raisonner dans l'abstrait. Ou encore, en économie expérimentale, il a été montré que les êtres humains peuvent agir irrationnellement dans des situations où pourtant la raison « à froid » ordonnerait d'agir autrement. Le terme cognition inclut donc aujourd'hui un ensemble très vaste de processus mentaux.
Par ailleurs, les progrès effectués dans l'étude du comportement animal par l'éthologie cognitive ont aussi contesté cette conception d'une cognition humaine en montrant que les animaux étaient aussi capables de raisonnement, de mémoire… À l'inverse, cette discipline - en affinant nos connaissances sur la cognition animale - a permis de mieux cerner les facultés cognitives propres à l'homme. Aujourd'hui, ces travaux s'inscrivent dans une perspective évolutionniste qui cherche à mieux comprendre comment sont apparues et ont évolué ces différentes facultés cognitives.
Cognition artificielle
Les progrès effectués dans l'étude de la cognition humaine et animale ont rapidement fait l'objet de transpositions partielles dans certains systèmes d'information et dans des applications de gestion des connaissances.
La métaphore souvent utilisée est celle du traitement de l'information. Avec une entrée (input), une évaluation (traitement, avec différentes étapes), une réponse ou sortie (output).
Le « traitement de l'information » est lié à au moins trois variables :
- les événements cognitifs : les pensées accessibles facilement à la conscience ;
- les perceptions de la réalité ;
- les schémas cognitifs : inconscients, croyances profondes, expériences, et représentations du monde.