COMMENTAIRES sur La philosophie est-elle une drogue de Jean Tellez
Je renvoie à ces différents articles qui paraîtraient hors contexte. 1 2 3 4
Première Bourde : Pour ta gouverne tu as la même pensée dépréciable qu'Alain Minc, cf. L'introduction à son Keynes. où il confond précisément homme supérieur et surhomme. Nietzsche ne s'est jamais pris pour le surhomme pour la simple raison qu'il se prenait pour un demi-dieu mortel nomméé Dionysos. Or Dionysos enfante Zarathoustra qui avec sa procssion enfante le surhomme qui est le dépassement de l'humanité. Ceci est aussi corroborer par le fait qu'il faut pour saisir la pensée de Nietsche comprendre que l'homme supérieur est d'origine chrétienne que Nietzche y oppose le créateur (l'homme supérieur est jugé à de multiples endroit comme missgaraten c'est-à-dire "raté"). Très logiquement nous sommes à une époque d'inhumanité qui est un retour sur les abominations de la Seconde guerre mondiale (voir d'une part la honte d'être un homme propre à Primo Levi mais reprise par Foucault, Deleuze et Derrida que tu n'aimes pas à vouloir rester dans ton paradigme d'humanité et voir d'autre part Lacoue-Labarthe pour qui le nazisme est une pensée humaniste en ce qu'il donne une définition rigoureuse de l'homme et par suite du sous-homme (voir entre autres interview de Badiou à rue 89 de 2009, ceci figure aussi dans son Le Siècle et dans son Logique des Mondes dans les "notes"). Badiou parlera alors du "surhomme "pour parler en fait de l'homme supérieur. Mais cela rentre dans les pensées d'inhumanité qui par exemple prônent l'inesthétique.
Ta manière de rabattre les choses est sans nuance et imprudente...
Cher Jean participant à la réaction actuelle sans t'en rendre compte, tu assimileras la philosophie avec la mise en place d'un système de vérités nouvelles et toute la métaphore de l'accès à cette création ou cette Vérité (en quelque sorte l'innommé et l'innommable, l'inachevable ou l'intraitable, l'interminable ou le tout autre seulement encore faut-il qu'il y ait chez tout philosophe cette dimension). Elle n'existe pas chez un Grec (non décadent) c'est-à-dire une nature constituée de plusieurs type comme Goethe plus récemment. Soocrate savait nommé son démon en cela il partait de l'inspiration et non de l'interminable d'une discipline.
Seconde Bourde : la distinction foireuse entre philosopher et faire de la philosophie qui consiste à faire ce que tu critiques dans la partie, le philosophe qui se prend pour un homme supérieur (Rousseau, Marx, Badiou, tous ceux qui réclamnet l'égalité de leur hauteur). Or il existe une tradition bien française pour laquelle, j'en reste au mots et donc à l'équivoque qui nous concerne, il n'y a pas de distinction entre philosopher et "faire de la philo", je t'ai même convié chez l'un de ses représentants. Tu peux nier y avoir assisté.
Il serait bien aussi d'affiner tout cela pour voir en marxiste que la production de valeur (d'usage et d'échange) n'est point la création de valeur (qu'elles soient morales, immorales ou amorales). Ceci pour te pousser à penser et non à réfléchir... bref pousser plus loin la finesse... Le créateur est pousser à consommer car de la consommation il n'y en a jamais assez dixit des gens que tu n'aimes guère...
Passons au terme de sujet, s'y référer ce ne pas comprendre que la philosophie est l'oeuvre non recouvrable de sujets, de caractères et de personnalités par exemple (qui sont des tonalités différentes). A te suivre n'importe quelle exprérience d'extase ou d'ivresse comme tu les appelais aurefois est sujet. Mais la philosophie à l'inverse dans sa forme non décadente, c'est-à-dire non saisissable par toi advient dans une acmé, un creuset, ou comme le dit Nietzsche dans une procession pour reprendre celle de Zarathoustra. Il y a quelque chose du discours qui en tant que produit par les passions ou les métiers ne se laisse réduire au logos propohricos du sujet, le discours qui prophesse des vérités, en fait le discours du sophiste au sens d'enseignant (je m'en tiens au sens donné par Héraclite et Hérodote quant aux "sopheistes" , en grec dans l'expression). Cela me rappelle ton texte sur l'ivresse bruyante du "je" ou tu finissais par dire que nous pensions. Bon alors je veux bien que comme Badiou tu veuilles même me faire participer à ton sujet, mais jen e me reconnais comme avec toi en rien avec cette définition inepte et décadente propre aux Tarentules (à ces esprits toruds qui tissent lentement leur systèmes pour se venger de l'existence). D'alilleurs pourquoi en appeler autant à la joie d'exister, n'est-elle pas là ? Te lisant au fond de toi j'en doute tu l'appelle comme pour avoir un efet placebo de l'ivresse qui n'est plus là (Etait-elle là à Barcelone quand tu faisais ton théatre, était-elle là quand tu produisais ton ivresse philosophique CPE et coupe du monde 2006). ais depuis on a plus affiare à la poion, au narcotique au pharmakon.
Mais le sujet rabougri se confond vite avec la bourde grammaticale qui consiste à prendre le sujet comme auteur d'action moral ou de la vie bonne et à en faire au diapason de la substance une entité viable ou non réactive. ais réagissant là je me fait moi-même sujet ce qui est très différent en philosophie de l'indifférence au dialogie avec les dialecticiens dont tu es. Mais tu passes à côté de bien des choses, puisque se moqer de la philosophie et notamment de la tienne c'est déjà philosopher (je dirais même avant tout faire de la philoosphie). Mais à te lire ni Montaigne ni Pascal n'auraient été des philosophes puisque ne relevant pas du sujet (il aurait fallu qu'il soient cartésiens ce qui me paraît difficile et incongru comme rabattement). Les nier c'est nier une grand part de la philosophie qui en tant quenon décadente ne rentre pas dans les systèmes (Nietzsche, Bergson pour la part occidentale. Les héritiers de maître Dôgen tels Miyamoto Musashi et Tukuan Soho pour le japon ou encore Krishnamurti et Sri Aurobindo qui eux constituent un surhomme plus végétatif ou yogique dira-t-on. La voie japonaise et la voie indienne sont la part orientale même si la japonaise naît de l'isolement (Sakoku) du Japon constitué des trois vallées de riz que se disputaient les seigneurs de la guerre ou daimyos).
Mais je t'accorde que je me suis fait sujet pour pouvoir m'adresser à toi peut-être me diras-tu confirmation de ta réflexion, oui en ce que tu ramène tout à toi et que d'autre part je paraîtrais me rabaisser. Mais il y a une quatrième Bourde cette fois-ci fixiste ou capturante (toutes les bourde le sont à des degrés divers) qui consiste à faire d'un des auteurs de mille-Plateau une entité métaphysique détachée dans voir que celui-ci a produit Kenneth White, l'a téléscopé, qu'il produit ainsi la rencontre avec Georges Amar qui figurait à l'une de mes soutenances et qui se trouvent être sans que je le sache à l'époque l'auteur de texte sur le surhomme "Le sens de la Terre" c'est le surhomme n'est simplement que le passage du paradigme homme à celui de la Terre. Tu es encore un réprésentant de cette humanisme en ce que tu consommes des "idées" l'humanistes et de vielles valeurs). Mais tu aimes ce qui est bruyant et ce dont on voit qui'ils pportent comme Descartes ou Marx (pour Socrate cela me paraît difficile sauf à voir deux Socrate comme tu le faisais par le passé ou comme le fait Monique Canto-Sperber ). Même à parler de Matière tu adoptes tout les traits des idéalistes car c'est par idée que l'on conçoit la matière pour mon cas il n'y a pas de matière en ce que tout ce qui est agi selon les dites "lois de l'esprit" pour reprendre la terminologie idéaliste n'est pas pas matière, on ne sait mesurer (j'entends les partisans des paradigmes humains de la matière et de l'esprit) que la matière c'est-à-dire 5% de la masse du dit "univers". C'est là que le bas blesse et c'est la preuve que la pensée idéaliste qui prône la matière (ce qui est agi par un sujet, maîtrisable par l'homme) passe à côté de beaucoup de choses. La réflexion est unep ensée décadente et réactive.
Ce que tu pourras interroger, c'est mon insupportation (je tends toujours la joue à celui qui a besoin de pousser plus loin sa mauvaise foi). Mais quand je lis des imprudences qui détournent des enjeux et des importances actuelles (telles la fidélité à la Terre, la question de son gouvernement, les crise comme effet de capture ce dont tu te joues avec tous les auteurs que tu publies). Ce qui a de l'importance n'est certainement pas l'oeuvre d'un sujet mais d'avantage qui ce qui lui reste impensé, comme la délibération qui est impropre au sujet parfois catégorique souvent dialectique mais jamais présent au dialogue, à la délibération sur ce qui a de l'importance (non le sujet détient des vérités et un sercret l'accès à la Vérité dont sa chute, sa sous-détermination, sa mélancolie témoignent).