DELEUZE / L'esprit et la lettre
Merleau-Ponty a tergiversé. Sa pensée l'a toujours circonvenue. Si Foucault pense à la limite et a été un penseur du
soupçon, Deleuze a été un penseur à la lettre. C'est par là qu'il a doublé Foucault. De la même manière, le sage n'iniduqe pas, auquel cas il reste énigmatique, mais entraîne, entraîne au combat
à l'exemple de . A la lettre il n'y a pas d'extériorité, de réference, d'évococation d'un aileurs contrairment au philosophe qui a du mal à faire passer ses idées, parce qu'il est, en
pratique, insatisfait du présent et qu'il ne connaît pas la santé du moment. Quand on s'en tient à la lettre, il n'y a pas d'esprit a interpréter. La lettre est ce qui rend indemne par sa
pauvreté, par sa simplicité parce qu'elle chasse la vengenace de l'esprit. La lettre annule l'esprit de vengeance et c'est là chez Deleuze un grand pas pour la pensée. Si l'esprit indique, la
lettre etraîne. La à la lettre c'est le parcours, la ligne qu'on parcours, celle du texte plus que de la ligne de vie. Être d'une pauvreté métaphysique, c'est être d'une richesse d'entrain,
c'est-à-dire faire plus que la simple impulsion du démiurge dont beaucoup se demanderont se retrounant en arrière par manque d'énergie : « mais où en est l'orgine ? », come si un horizon
était franchi et qu'ils se retrouaient à découvert.
Avec Deleuze, l'audace est passée de l'esprit à la lettre et par là il a ruiné l'événement : pour la simple raison qu'à la lettre on ne dit que ce qu'on veut dire alors que le bon sens mais aussi le jugement tout aussi péromptoire ne parle que de ses propres habitudes et préjugés conceptuels et donc des intensités d'énergie qu'on ne peut narcissiquement pas supporter. La négation est à l'esprit ce que l'affirmation est à la lettre, à l'animation des choses par les mots. On contredit bien souvent par la parole, si séduisante soit-elle, l'écrture amène un court-circuit, parfois une rumination bien différente et paradoxalement sans ressentiment. Les mots enclenchent et la littérature a toujours reposé sur cela. Les lettres sont-elles pas nées des déclenchements réciproques ou correspondances qu'internet fait aujourd'hui bouillonner davantage.
Avec Deleuze, l'audace est passée de l'esprit à la lettre et par là il a ruiné l'événement : pour la simple raison qu'à la lettre on ne dit que ce qu'on veut dire alors que le bon sens mais aussi le jugement tout aussi péromptoire ne parle que de ses propres habitudes et préjugés conceptuels et donc des intensités d'énergie qu'on ne peut narcissiquement pas supporter. La négation est à l'esprit ce que l'affirmation est à la lettre, à l'animation des choses par les mots. On contredit bien souvent par la parole, si séduisante soit-elle, l'écrture amène un court-circuit, parfois une rumination bien différente et paradoxalement sans ressentiment. Les mots enclenchent et la littérature a toujours reposé sur cela. Les lettres sont-elles pas nées des déclenchements réciproques ou correspondances qu'internet fait aujourd'hui bouillonner davantage.
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