ECOLOGIE / Sur le climato-scepticisme
La pensée de certains semble bien limitée et ramenée à un impérieux causalisme qu'il est difficile à situer. Oui au delà de l'optimum médiéval qui s'est inscrit dans la pierre au niveau de nos cathédrales (ainsi que certains en émettent l'hypothèse). Il est bien orgueilleux de croire que l'Homme, le demi-homme devrait-on dire, est capable de rivaliser avec une explosion nucléaire "à ciel ouvert" (soyons aussi peu scientifique que les spécialistes du GIEC, inventé par Margaret Thatcher pour rivaliser avec l'ONU). Alors il a été scientifiqueemtn démontrer que l'activité nucléaire du soleil avait une incidence sur la formation des nuage en basse altitude, mais étrangement si l'image d'un effet de serre n'était pas impropre, comment se fait-il qu'il fasse si froid en altitude si nous sommes dans une sphère de CO2. Je ne comprends simplement pas cet argument ou cet superstition qu'est l'effet de serre. Auparavant c'est le trou dans la couche d'ozone (qu'est-il devenu depuis que l'on utilise plus les gaz CFC) ? Par le passé on nous avait bassiné avec le refroidissement climatique (The Global Freezing). Il semble que les grands de la planète en ait décidé autrement comme pour maintenir les gens dans la culpabilité, comme pour le tri de des déchets en ne rappelant pas que les ménages ne produisent que 4% des déchets (cela recentre l'activité là où elle se situe).
"Négationniste est un terme qui s’est petit à petit imposé afin de souligner que, justement, ces soi-disants « sceptiques » ne doutent de rien. En réalité, ils mentent sur des faits et n’expriment pas une opinion. Le propos d’Olivier Postel-Vinay peut s’éclairer ainsi. Vous êtes dans une pièce, il y fait 25°C, dit le thermomètre. Trois personnes y sont, l’une trouve la température agréable, l’autre trop chaude, la troisième trop fraîche. Ce sont des opinions, respectables. Mais voici qu’Olivier Postel-Vinay entre dans la pièce, regarde le thermomètre et vous dit « il fait 30°C » (ou 15°C) ». Est-ce une opinion ? Non, c’est un mensonge. Les scientifiques ont établi que la température moyenne de la planète évolue à la hausse depuis plus d’un demi-siècle sous l’effet de l’intensification de l’effet de serre en raison de nos émissions massives de gaz du même nom. C’est un fait établi par des méthodes standards de la science et surtout non contesté par les voies normales de la controverse scientifique (publications dans des revues de travaux conduits en respectant les règles de la méthode scientifique). Plus exactement, les rares propositions alternatives publiées ont été réfutées par le débat scientifique normal. Cet état de la science est résumé par le dernier rapport du Giec. La mise à jour de ce rapport pour ce qui concerne l’évolution récente des températures est en contradiction avec l’affirmation centrale d’Oliver Postel-Vinay. Cette dernière constitue donc une négation d’un résultat scientifique établi."