POLITIQUE / Définition l'extrême droite
L"exrême droite est composée de la droite radicale populite (à la fois européiste et nationaliste, égalitaire et élitiste), de la droite radicale identitaire (europésite) et européiste et de la droite radicale extrêmiste (nationaliste et traditionaliste). Lors de la prise de pouvoir il y a toujours un rééquilibrage violent qui s'opère entre les différentes tendances. Les cinq marqueurs qui caractérisent l'extrême droite droite sont ;
- le nativisme ; c'est l'idée que l'État devrait correspondre à un territoire habité exclusivement par un groupe de citoyens natifs (égalitaire ou inégalitaire, d'où la nuit des longs couteaux par exemple, pour éliminer SA et strassérisme). Cela polarise l'oppostion entre une ethnocratie et deux ennemis supposé l'anti-Nation (l'anti-France de Maurras avec ses quatre composante, juive, franc-maçonne, protestante, parfois affublé du sobriquet mondialisme) et l'exocratie (on retrouve là le sobriquet de mondialisme).
- l'autoritarisme ; ces trois traits sont lacoryance en une société strictement ordonnée, soumise à l'autorité hiérarchique et au respect des normes dites traditionnelles, exigence de répression ferme à toute déviance et on respect de l'autorité
- l'antidémocratisme ou l'antiparlementarisme : l'hostilité (et haine déguisée) envers la démocratie qui n'empêche pas le recours au plébiscite, basé sur une définition substantielle du corps social. On confond souvent trois choses, la définition substantielle de la démocratie, la définition procédurale de la république (que l'on fait passer pour une démocratie par l'élection par vote pour les nominations des places alors même que la tendance démocratique repose sur le tirage au sort. L'extrême droite est compatible avec le fédéralisme, tout dépend de la jauge que l'on applique entre principe de subsidiarité et principe de primauté.
- la xénophobie ; autrefois le racisme et l'antisémisime, à présent est mis en avant l'islamophobie qui se caractérise par l'emploi de marqueurs comme le terme islamiqste, qui pose un grossier amalgame entre Islam et fondamentalisme islamique (souvent un littéralisme, ce pourquoi on le retrouve chez les néoconverti qui se réfère au texte).
- le déclinisme comme constat : c'est un discours basé sur le déclin et la peur du déclassement ; on retrouve cela à travers la thématique de décadence des valeurs ou de corruption du corps physique et social). La vidéo du Précepteur sur Socrate en est le pur exemple, le discours de Michel Onfray une bonne illustration de ce qu'il part d'Oscar Spengler.
"... Je dis bien l'extrême droite en parlant du Rassemblement national car ses dirigeants continuent de dire qu'il y a des vrais et des faux Français, continuent d'envisager de réduire la liberté de la presse ou de rejeter l'État de droit. " Emmanuel Macron allocution du 12 juin 2024 après la déclaration de dissolution de l'Asssemblée nationale.