LES NOUVEAUX SOPHISTES 4 / De la mesquinerie = de la bassesse.
Badiou il faut le comprendre n'invente aucunement et confronte la philosophie à son mur une énième fois plutôt que de prendre la porte et d'inventer. Badiou n'est qu'un ventriloque, qui fait dire ce qu'il souhaite à son contradicteur ou son admirateur. Il parlera de la mesquinerie de l'adversaire lui, et c'est un détail que je vous invite toujours à remarquer se situera toujours du côté du micro lors de ses intervention publique. C'est l'effet magistral dont paris 8 avait cherché à se défaire. Badiou est typiquement un personnage mu par la ventriloquie de quelque grand auteurs dont il ne parvient immodestement à se défaire, un grand esprit dogmatique parle à travers lui, qui le manipule et lui fait égrainer au fil du temps des propos incohérents mais qui paraconsistent en tant que tels. C'est là que se s itue la nouvelle sophistique, dans une morbidité qui n'a pas de nom, mais j'ai pu observer le laboratoire en interne. L'expérience a mal tourné et les manipulateur d'éprouvette se sont retrouvés tous peu à peu contaminés par la maladie Platon.
Qui a écrit que la philosophie est malade ? alors que celle-ci est indépendante des sujets qui la manipule. Elle ne s'est jamais sans doute si bien porté si on devait la personnifier, mais ce pas un adepte de l'Ecole de Paris ne peut le franchir. C'est donc tout sourire qu'on peut vous dire que les chose sont reparties. Il y aurait en fait plein de choses à dire (et no pas les mots d'un côté et les choses de l'autre, ni même les vérités qui seraient des choses). La pensée du leurre n'est paradoxalement pas une imposture, mais la plus grande honnêteté qui soit. Si vous cherchez un maître passez votre chemin et allez voir les nouveaux sophistes, ils sont doué pour cela.
Dans la vidéo qui suit vous verrez comme quoi l'immanence des vérités a été écrite par Deleuze, et que le copiste Badiou, celui que je préfère nommé Badiou le Sophiste (tant il a appris, croit-il, comment se purifier des attaque. Je n'invite nullement à démolir Badiou, il est davantage un effet de système qui se referme bon gré, mal gré (on peut être plus gramschien que négriste quant à la crise). Cela se dit plus simplement, un certains nombre de personnes ont intérêt à ce que l'on confondent pour l'avènement de leur médiocrité, . Cela me fait penser à mon directeur de thèse (à l'un d'eux puisque je ne sais pourquoi je ne plais point aux mandarins alors je me retrouve avec des sophistes magistraux) , ce n'est que moi qui me suis enfermer dans cette situation kafkaïenne, ce que Georges-Arthur Goldsmith reconnaît comme étant l'espace rêche du plafond de verre.
La mesquinerie ou la bassesse, Badiou l'intègre et la projette, en c'est bien un esprit classique qui fonctionne au sein de repères cartésiens ou de référentiels galiléens (comme les nomment Newton) par intégration et dérivation. En cela il pose Un-Dieu comme Infini, comme Liberté. Il y a toujours eu depuis les Lumières et l'abaissement qu'elles ont fait subir à la pensée deux définitions de la liberté l'une comme absence de contrainte (c'est ce que l'on retrouve dans le jazz), l'autre comme libre choix des contraintes (c'est ce que l'on retrouve chez Sartre, l'Oulipo et donc la poésie teinté de vers et de nombres).
Mais il s'agit de penser contre soi-même, eh oui Badiou est bien un philosophe, alors, hum, hum, il est dans l'imposture qu'il a lui-même théorisé deux fois, lui qui invitait à ne pas jouer le garagiste, à ne pas modifier le moteur sous le capot. Un piètre philosophe qu'il faut étrangement prendre un sophiste qui se conforte de la contradiction, qui s'en purifie. Pensée à feu à Gilles Châtelet, à feu François Zourabichvili, à feu Ivan Lapeyroux. Diantrement morts d'avoir trop pris au sérieux Badiou, mais cela est déjà arrivé avec l'un des présents du Théétète qui s'est suicidé peu après l'avoir lu.