PORTRAIT POLITIQUE / Jacques Cheminade ou accepter la Critique
Suite à la vidéo L'Empire britannqiue et la crise financière.
Nous nous permettons d'apporter quelques nuances. Je vais me faire le critique de la critique mais il faut bien saisir que ce soit au niveau de l'association militante qui comme le différents partis transcourants draine un certain culte de la personnalité : on a alors une communauté réuni autour de la vérité et de ses vertus où le leader politique comme Cheminade pour S&P ou Soral pour E&R, se trouvent un ennemei de choix que ce soit l'empire britannique ou le sionisme. L'un est un impérialisme thalassocratique dont on peut voir les corsaire comme des pirates l'autre est un nationalisme racialiste puisqu'il dénie aux israéliens arabes le droit de défendre leur pays, introduiant une discrimination là où la déclaration d'indépendance reconnaissait une galité de droit.
La simple critique que l'on peut faire donc à Lyndon Larouche et Jacques Cheminade peut s'énoncer sur deux points :
1°) Pourquoi prôner le protectionnisme quand on s'ait que le repli sur les nations red plus aisé la manipulation des "gouvernants"et des "peuples" par les service secrets de l'Empire brtannique. Si on voit au-delà du protectionnisme, une fois les infrastructures mise en place les inverstissment se tournent vers l'armement : cela fut valable après Colbert, après Rossevelt, pendant et après Bismarck, après et pendant Lincoln (Guerre de Sécession). voir cette vidéo :
2°) Faire à Nietzsche le même reproche d'antisémitisme qu'on pouvait faire à Cheminade lui qui s'attaque à l'Empire des Rothschild plus qu'à celui des Rockefeller/
On met Rossevelt en avant mais il avait su s'accaparer le pouvoir, comme tout lecteur de Machiavel le ferait, C'est la grande différence avec Larouche et Cheminade qui s'ils pensent que la volonté d'un seul homme suffit à en entraîner beaucoup d'autres à sa suite, laissent le mouvement impuissant à réclamer un New Bretton Woods ou une nouvelles commission Pecora. Les choses sont plus faciles à obtenir quand on a le pouvoir. Toutefois on demeure là, dans la visée, très proche d'un dispositf Périclès-Anaxagore ou autrement platonicen que celui raté du philosophe-tyran. IL y eu toujours une grandejalousie de Platon pour le couple Périclès-Anaxagoree en tant que Platon était un politicien avorté. Toutefois, et insistons dessus, la grandeur de Cheminade est de mette en avant l'éducation et le combat, de voir son éternité, le fer de son action dans l'éducation au combat politique de la jeunesse. Deux autres dimensions sont à l'honneur chez Cheminade celle de faire les choses avec Gusto (goût, envie, élan) tout en garantissant une grande capacité d'hospitalité. Là où l'on peut faire une éloge de la capacité d'hospitalité on peut aussi remarquer qu'elle s'aparente à celle des sectes ne serait-ce que dans le rapport avec les égarés, c'est que la dimension de rupture avec les famille est importante chez un Laroucho-cheminadien. Il n'est jamais dit au jeunes Larouchien d'influencer leurs parents mais bien au contraire "vous le savez tous. Vous venez, pour la plupart, d’une famille de lèche-bottes" (Larouche). eMais avec ces goûts pour l'éducation, le combat politique et la capacité d'accueil Cheminade stimule bien davantage qu'un Soral toujours aigri. Ce dernier ne saurait faire une nouvelle génération politique, les partages "subtiles" de Soral étant toujours trop biaisés et insidieux ils masquent mal sa haine de la démocratie à laquelle il préfère l'autorité du chef. Dans tous ces partis transcourant on remarquera de forte ligne de repère moral, qui sont toujours et malheureusement très adaptés aux temps de crise intellectuelles (cirse apparente ou provoquée par le discours dialectique). Il y aura toujours chez eux cette tendance à rejeter sous le terme de Mal ou mauvais tout ce qui ne rentrerait pas des la logique souverainsite et principeille (logique des temps classiques).
La dimension de la critique.
Pour un cheminadien, l'ironie destructrice à l'égard des puissants qui réagissent comme des bêtes est autorisé, mais toute critique envers eux est jugée non productive et même "malsaine". Par là, la militance cheminadienne rejoint , sa capacité d'hospitalité est-elle limitée par une incapacité à recevoir la critique, qui n'est en ren la contradiciton, mais le refus du repli subjectif, le pas de côté d'une axomatique Bien-Mal, propre à celle de l'ennemi combattu : L'empire fait en sorte que le soleil ne se couche jamais dans vos cerveaux dans votre esprit et vous rend cohérent avec une vision d'empire et sans le savoir vous êtes ses larbins. "
Si Larouche voit dans la politique du New Deal plus que dans l'économie de la guerre lancée en 38 ce qui a permis le redressement de 1943 des Etats-Unis suite à la crise économique de 1929, les effets de l'industrie de l'armement étant à ses yeux dissocés de ceu du New Deal. Un cheminadien n'hésitera pas à dire que "Si entre 1920 et 1944 un grand nombre de découvertes ont été faites, ce n’est que la mobilisation de guerre, décrétée en 1938 par Franklin Delano Roosevelt pour battre l’Hitlérisme, qui permettra de transformer ces découvertes bloquées jusqu’alors en sauts technologiques." "On maintient les gens dans un mode de dépendance qui leur fait voir des illusions ds images dans lesquelles on se croit indépendant en jouant à un jeu mais en fait on rentre dans une structure de dépendance."
Enfin nous ne ferons que reporter les tristes paroles de Larouche qui véhiculent encore tant de préjugés fallacieux au sujet de Nietzsche : "Comme on le voit chez le co-fondateur de ce qui allait devenir le fascisme de Mussolini, d’Hitler et de Franco, le sataniste comte Joseph de Maistre, et chez le prédécesseur d’Hitler que fut Nietzsche, la marque caractéristique des forces du mal, incarnées à la fois par le fascisme et par les disciples d’Allen Dulles propageant la philosophie du Congrès pour la liberté de la culture, c’est leur cri de haine contre l’héritage de progrès légué par la civilisation européenne." http://solidariteetprogres.org/article540.html#Culture "Quant à Nietzsche, un antisémite qui détestait le Christ, il se réclamait de la brutalité païenne d’un Dionysos phrygien" http://solidariteetprogres.org/article540.html#Culture
Nous nous permettons d'apporter quelques nuances. Je vais me faire le critique de la critique mais il faut bien saisir que ce soit au niveau de l'association militante qui comme le différents partis transcourants draine un certain culte de la personnalité : on a alors une communauté réuni autour de la vérité et de ses vertus où le leader politique comme Cheminade pour S&P ou Soral pour E&R, se trouvent un ennemei de choix que ce soit l'empire britannique ou le sionisme. L'un est un impérialisme thalassocratique dont on peut voir les corsaire comme des pirates l'autre est un nationalisme racialiste puisqu'il dénie aux israéliens arabes le droit de défendre leur pays, introduiant une discrimination là où la déclaration d'indépendance reconnaissait une galité de droit.
La simple critique que l'on peut faire donc à Lyndon Larouche et Jacques Cheminade peut s'énoncer sur deux points :
1°) Pourquoi prôner le protectionnisme quand on s'ait que le repli sur les nations red plus aisé la manipulation des "gouvernants"et des "peuples" par les service secrets de l'Empire brtannique. Si on voit au-delà du protectionnisme, une fois les infrastructures mise en place les inverstissment se tournent vers l'armement : cela fut valable après Colbert, après Rossevelt, pendant et après Bismarck, après et pendant Lincoln (Guerre de Sécession). voir cette vidéo :
2°) Faire à Nietzsche le même reproche d'antisémitisme qu'on pouvait faire à Cheminade lui qui s'attaque à l'Empire des Rothschild plus qu'à celui des Rockefeller/
On met Rossevelt en avant mais il avait su s'accaparer le pouvoir, comme tout lecteur de Machiavel le ferait, C'est la grande différence avec Larouche et Cheminade qui s'ils pensent que la volonté d'un seul homme suffit à en entraîner beaucoup d'autres à sa suite, laissent le mouvement impuissant à réclamer un New Bretton Woods ou une nouvelles commission Pecora. Les choses sont plus faciles à obtenir quand on a le pouvoir. Toutefois on demeure là, dans la visée, très proche d'un dispositf Périclès-Anaxagore ou autrement platonicen que celui raté du philosophe-tyran. IL y eu toujours une grandejalousie de Platon pour le couple Périclès-Anaxagoree en tant que Platon était un politicien avorté. Toutefois, et insistons dessus, la grandeur de Cheminade est de mette en avant l'éducation et le combat, de voir son éternité, le fer de son action dans l'éducation au combat politique de la jeunesse. Deux autres dimensions sont à l'honneur chez Cheminade celle de faire les choses avec Gusto (goût, envie, élan) tout en garantissant une grande capacité d'hospitalité. Là où l'on peut faire une éloge de la capacité d'hospitalité on peut aussi remarquer qu'elle s'aparente à celle des sectes ne serait-ce que dans le rapport avec les égarés, c'est que la dimension de rupture avec les famille est importante chez un Laroucho-cheminadien. Il n'est jamais dit au jeunes Larouchien d'influencer leurs parents mais bien au contraire "vous le savez tous. Vous venez, pour la plupart, d’une famille de lèche-bottes" (Larouche). eMais avec ces goûts pour l'éducation, le combat politique et la capacité d'accueil Cheminade stimule bien davantage qu'un Soral toujours aigri. Ce dernier ne saurait faire une nouvelle génération politique, les partages "subtiles" de Soral étant toujours trop biaisés et insidieux ils masquent mal sa haine de la démocratie à laquelle il préfère l'autorité du chef. Dans tous ces partis transcourant on remarquera de forte ligne de repère moral, qui sont toujours et malheureusement très adaptés aux temps de crise intellectuelles (cirse apparente ou provoquée par le discours dialectique). Il y aura toujours chez eux cette tendance à rejeter sous le terme de Mal ou mauvais tout ce qui ne rentrerait pas des la logique souverainsite et principeille (logique des temps classiques).
La dimension de la critique.
Pour un cheminadien, l'ironie destructrice à l'égard des puissants qui réagissent comme des bêtes est autorisé, mais toute critique envers eux est jugée non productive et même "malsaine". Par là, la militance cheminadienne rejoint , sa capacité d'hospitalité est-elle limitée par une incapacité à recevoir la critique, qui n'est en ren la contradiciton, mais le refus du repli subjectif, le pas de côté d'une axomatique Bien-Mal, propre à celle de l'ennemi combattu : L'empire fait en sorte que le soleil ne se couche jamais dans vos cerveaux dans votre esprit et vous rend cohérent avec une vision d'empire et sans le savoir vous êtes ses larbins. "
Si Larouche voit dans la politique du New Deal plus que dans l'économie de la guerre lancée en 38 ce qui a permis le redressement de 1943 des Etats-Unis suite à la crise économique de 1929, les effets de l'industrie de l'armement étant à ses yeux dissocés de ceu du New Deal. Un cheminadien n'hésitera pas à dire que "Si entre 1920 et 1944 un grand nombre de découvertes ont été faites, ce n’est que la mobilisation de guerre, décrétée en 1938 par Franklin Delano Roosevelt pour battre l’Hitlérisme, qui permettra de transformer ces découvertes bloquées jusqu’alors en sauts technologiques." "On maintient les gens dans un mode de dépendance qui leur fait voir des illusions ds images dans lesquelles on se croit indépendant en jouant à un jeu mais en fait on rentre dans une structure de dépendance."
Enfin nous ne ferons que reporter les tristes paroles de Larouche qui véhiculent encore tant de préjugés fallacieux au sujet de Nietzsche : "Comme on le voit chez le co-fondateur de ce qui allait devenir le fascisme de Mussolini, d’Hitler et de Franco, le sataniste comte Joseph de Maistre, et chez le prédécesseur d’Hitler que fut Nietzsche, la marque caractéristique des forces du mal, incarnées à la fois par le fascisme et par les disciples d’Allen Dulles propageant la philosophie du Congrès pour la liberté de la culture, c’est leur cri de haine contre l’héritage de progrès légué par la civilisation européenne." http://solidariteetprogres.org/article540.html#Culture "Quant à Nietzsche, un antisémite qui détestait le Christ, il se réclamait de la brutalité païenne d’un Dionysos phrygien" http://solidariteetprogres.org/article540.html#Culture
Commenter cet article