La Philosophie à Paris

SITUATION DE LA VIE / Sortir des spéculations, ces figues trop mûres prêtes à tomber

24 Juillet 2008, 11:15am

Publié par Anthony

Sommes-nous condamnés à n'avoir que deux tendances pour penser : systèmes clos et systèmes ouvert comme la neurobiologie avec les systèmes nerveux, glial et hormonal s'en fait le reflet, tout ramené aux système alors que le muscle y échappe, le système par sympathique est contrebalancé par les parasympathique qui part d'un muscle, le coeur. Par là avec ces deux tendances forme un Tout, et nous n'en sortirions pas. Chacun des deux tendances est la subversion ou la dissidence de l'autre et pose ses aspects formels. Or on peut facilement les caricaturer comme immanence et transcendance, schizophrénie et paranoïa, et comprendre que l'on peut choisir d'autres voiex comme le démonique de Goethe et le dionysiaque de Nietzsche. On pourrait voir combien une interaction s'est jouée, comme une ligné éparse et étalée, entre Héraclite, les Stoïciens, Spinoza, Voltaire, Goethe, Nietzsche. Les Stoïciens et Spinoza en demeurant les éléments les plus conservateurs et

Nous sommes redevables aux Grands Abstraits (penseurs spéculatif) d'aujourd'hui d'un grand déblaiement de la culture actuelle. Pour certains ce sont les symptômes et les accentuateurs d'un grand crépuscule. Sous la formes de formules cabalistique qu'on nomme logique formelle mais qui n'est que le remplacement par subterfuge du signe par la abréviation du signe, la sybolique sans intérêt, qui vous fera croire aux vérités. La Francophonie (Wallonie, France, Québec) comme le remarque Régis Debray est sans doute l'un des rares espaces de notre planète ou des gaulois ont compris que depuis longtemps les dieux étaient tombés sur la tête. Restent les demi-dieux Daïmons de Goethe, Dionysos de Nietsche, amours adolescents et héros de série TV. Ces dernier sont sans doute trop personnifés mais les deux premiers ont toujours surgit d'époque de crépuscule, de rencontres par les chemins de traverse, sortis d'un fourré du breuil, du chant du bouc, d'un délire porteur. Les Grands Abstriats sont  un "mal" nécessaire, mais les imiter ne reviendrait à rien. Leur existence est la preuve même de leur inéfficience, de ce qu'il ne sont mus que par la Voyance et l'Action restreinte. Il ne se dégage pas vraiment d'énergie d'eux car leur sensibilité est portée vers ce qui est petit et à besoin d'être accompagné, voir stimuler par ce que culturellement on nomme la philosophie mais qui n'est qu'une pensée en système (Canguilhem, Dessanti, Châtelet et Hadot). Sartre oui.

Grand dépoiement d'énergie que Heidegger voyait dans mille ans surgir avec Kleist. Pourtant au delà de l'information et du cognitif capitlaiste, existe et insiste prodigues générosités, spectacles en tout genre, sourires enjoués, assemblage contre nature, contre système... qui ne sont ni de la fuite ni de la prédation - les deux alternatives admises par Henri Laborit - mais bien des rencontre des accoups dans la mécanique du système qui en somme mais qui viennent d'autre muscle les zygomatiques. Tous nos muslces ne sont pas encore pris de toxine métaphysique. Oublions un temps la philsophie pour nous confronter plus directement avec la Sagesse, Goethe la nommait poésie et Voltaire tragédie.
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