METAPHYSIQUE / Le temps stratifie la grammaire
Par une intéressante remarque sur la persistance dans notre langue de pariticpe futur latin, comme nature, créature, futur (c'est plus évident avec l'anglais future si l'on en revient à l'ancienne forme). Ilv faut les entendre comme "pas encore "là"" (i. e. pas encore né, pas encore créé, pas encore étant) ou encore comme "ce qui est à "être""
Le futur est le temps de l'anticipation (temps central chez Kant en ce qu'il le reprend aux prolepsis antiques qui ont porté différents noms, d'ailleurs, kant n'a conservvé que celui-ci), le passé le temps du récit, de la fiction mais que de la pensée selon Sartre, le présent lui serait à lafois le temps de l'instant (adventice ou encore accident de l'substance) et de l'éternité ll'apodicitque ou l'omnitemporelle des généralités qui n'ont ni début ni fin une fois franchi le seuil de leur énonciation*)
Si l'on doit substituer d'autres valeurs autre valeurs transcendantales qui ont eu cours en métaphysique jusqu'à aujourd'hui alors il faut bien comprendre, que l'être n'est pas à transfigurer ou transvaluer mais simplement à être chassé dans toute ses formes qui ont fait notre paradoxale intertie ou décadence. A trop pensé l'être en ne comprenant pas le motif du contresens de l'analogie de l'être et du chiasme du sujet (qu'il nous faudra développer ailleurs) mais qui sont à la base du cartésianisme et de la reconfiguration de la sicence moderne autour de la connaisssance (et non du savoir, connaissnace qui est toute fréquentation, fréquentation des personnes et des objets mais aussi des livres - codex imprimés d'alors).
Il n'y a pas de futur si l'on déboulonne l'être et si on le fait tombé
Nous parlions de nouvelle donne avec une certaine maladresse, si on pense au Théèêtète de Platon et au recours qu'il y fait des opinions vraies vues comme intermédiaires nécesssaires mais qui par leur tranchant forgeront les préjugés dont nous avons à nous défaire duex mille ans après, son pense au Théêtète alors on comprend qu'il s'agit plutôt d'une nouvelle table de valeur et non d'une nouvelle donne des concepts ou des notions communes (convenables ou louables pour une époque donnée).
La nouvelle table est loin des quatre stratification qui apparaissent avec le sens divin (la siginifacation), le temps (la temporalisation), le sujet (la subjectivation et subjectivisation Heidegger/Lacan), la connaissance (qui n'est pas le savoir ; pour l'exemple un peu facile on dit je connaît une personne et non je sais une personne, mais toute la connaissance est déjà dans le Nouveau Testamemnt de Bible, en ce que la strate de la connaissance de la parole divine s'y repand partout et que connaître n'est rien d'autre que connaître l'être ne serait-ce que par un rapport idéaliste et différientiel à l'être univoque ou équivoque - mais quand c'est de l'univoque qu'il s'agit, le philosophe s'offusque toujours de l'usage trahi et second qui est fait de ses "concepts"). Les concepts appartiennent à un régime de donne, à partir des idées problématiques (notez le pléonasme appuyé de notre part).
Si le Futur(e) est le participe futur de l'être, le pas encore étant, le ce qui est à être, alors il n'y a pas de future si l'on déboulonne la copule auxiliaire être (Aristote l'avait autrement en énonçant ses 10 catégorie sans avoir d'être surplombant qui pourrait articuler les genres deux à deux comme chez Platon), si notre démarche est de déboulonner l'êtrepour sorit à la fois de la connaissance et de l'analogie (le contre sens opéré autour de l'analogie de l'être, certes commode mais inflationniste en termes de bêtise théorique, on ramène de l'assimilable à soit, dans une forme d'empire et d'extractivisme qui laisse beaucoup de rebus et de déchets, lesquels s'expriment à présent ou grèvent notre avenir).
Les temps de l'anticipations (les possiblilités), de la mémoration-pensée (récit-fiction) et des l'instnant-éternité, n'ont fait que se stratifier dans la conjugaison des temps futur, passé, présents (les deux). C'est oute la grammaire qu'il faudrait repense. non plus une grammaire qui donnerait le sens (toujours divin dans la régression qui va du Multiple - nombre grecs à partir de 2 - à l'Un - qu servi d'origine à Platon parce qu'il ne concevait son pendant dans la numération de position permise par le 0 et d'Un au zéro - qui contamine et s'exprime dans le nihilisme autant que la création ex-nihilo. Le zéro induit l'absence de créateur ou d'adventeur (pour tenir compte du judéo-christianisme et de l'islamisme - terme repris à Raymong Poincaré).
L'inifini existe-t-il au sein d'un trou noir ? Vivons nous ausein d'un trou noir, y-a-t-il un horizon interne et une ergosurface (surface théorique à partir de la oèrent les pseudo-force au voisinage de l'horizon cet fois hypotétiqement interne du "trous noirs". On part bien plutôt du zéro même si par habitude on se met à compter, à produire la comptine numérique à partir de 1.
Les temps (tenses and not time in english) sont pourtant anciens chez les Héllènes attiques et les Romain latins, mais il forme par réduction, par ineertie, le cadre banal de notre quotidienneté. Alors que ce que nous perceovns les mieux ce sont le cycle journalier du diurne et du noctune et le cycle annuel des saison dont on a vu autre du caladirer islamique de 354 jour qu'il étiat plus dur à saisir que les 365,28 jours de la révolution terreste autour de l'astre solaire.
ce texte se temine sur un constat qui en fait le titre et un aporie en ce que rien, en grammaire, n'y est substituer. Ce n'est pas à nous de transofmrer la langue mais aux générations à venur de poètes. Changer de grammaire suppose de nouveaux poètes, une nouvelle ère de poètes comme homère et les rhapsodes (ces grammairens qui connaiddaitent otut Homère et se faisaient attaqué par Platon précisément parce que leur opinions lui apparaissaient comme ne pouvant même pas se réclamait du statut intermédiaire d'opinions vraies).
Les valeurs transcendantales ont forgés les universaux et de là les opinions vraies fixistes unviersalistes et dynamiques naturalistes. Mais c'est tout cela que d'un revers de la main il faut faire tomber de la table des valeurs pour y sbstituer celles de la relativité de l'intervalle de l'espace-temps (les naturalistes comme Dewey ou Deleuze le pense encore comme un bloc) empirique très emprunt de métaphores, d'intuitions, de réfexions somme toute.
Ce discours n'est pas une rélfexion mais un préciopité, un carambolage de partis-pris, une mùanière de penser pour pousser plus loin des hypothèse.
Dans le même ordre d'idée, s'in l'on fait reposer la musique (tonale et modale) sur le cycle ou module arithmétique de l'octave et ce que celle-ci produit du comma, pluseirus commas, donc du rebus - un peu comme les vielles unités de mésure comme la coudée qui n'avaitent rien de digitale ou décimale - suivant qu'on est anglo-saxons ou latins au passage. Alotrs l'universalité de la fiction d'un temps qui pase ou d'un temps qui dure (durationis transcendantale dans la critique de la faculté de jugéee mais déjà dans l'Ethique de Spinoza, partie II, le transcendantal n'est pas soumis au temporel, il est retroactivement rétropolé comme omnitemporel dès lors que produit avec une trop grande facilité, ineptie quant à la réalité et la complexité de ce qui nous entoure)
* ce pourquoi on peut dire cette phrase propre à l'empirisime-scepticisme que plus tu en sait moins tu en sais, le piège de Husserl en quelque sorte, puisqu'il fallait ne pas tomber en bon kantien dans l'empiricmse-scepticisme alors que le fanatisme-dogmatisme menaçait)