La Philosophie à Paris

METAPHYSIQUE / La relativité remplace l'universalité

9 Juin 2024, 11:56am

Publié par La Philosophie

Sokal et Bricmont n'avait pas tort quant à l'usage métaphorique des sicences. par les philosophes  Mais les scientifiques ont prêté le flanc en nommznt "trous noirs" certainers configuration astrales. Reste que au niveaux du transcendantale et de leurs dérivés 'les universaux) c'est-à-idre encore la table actuelle de nos valeurs ainsi que les porte la philosophie jusqu'à jaujourd'hui (philosophie classique et non philosophiede l'époque "quantique" ). Il se trouve que la relativité au sens du principe de relativité énoncé par Gallilée et qui est l'une des trois énonciation de la relativité (viendront, après la principielle, la restreinte et la générale (qui, elle, absout, dissout le temps, dans un espace dynamique ou intervealle d'espace-temps). Ce principe de relativité est en lien avec le principe d'équivalence faible, qui amène l'interite, qui fera aussi que l'on basculera des référentiels galliléens aux référentiels interitels. Des référentiels galliléens ils y en aurait très peu comme les étoiles en mouvement uniformément acéléré et non soumis à une quelqueconque attraction, on pourra pensera à certaien portions de la trajectoire des sondes spatiales.
le principe de relativité s'il avait été compris de Husserl aurait peut-être permis d'éviter le massacre des juifs pendant la seconde guerre mondiale. Posant l'essence et son dérivé ll'intentionalité, Husserl n'a fait que mettre en avant des affiramtion qui se devaient être apodictiques et omnitemmporelles. Husserl a souhaiter que ce soit les affirmation qui soit en quelques sont universelles et non les relations ; il faudrait pour dire que le poids est 9,81 partout dans l'univers, or ce sont pour lui le afait que la physique comme toutes les autre siciences homris mes mathématique (et donc la géométrie dès son orgine) n'enonce que des vérités probables alors même que les et que tout moblie unfiormément accéléré est substituable à un autre ce qui était le premier vers la courbure de l'espace-temps, au sens où c'estcette courbure même de l'intervalle d'espace-temps qui fait que les objets tombent sur Terre, indépendamment de leur masse, de leur forme, mais non de leur compacité qui peut permettre une certaine portance, un certaine intertie de frottement (pseudo-forces dira-t-on, il faudrait creuser).

S'il n'y a pas de gravité ou de force de gravitations à proprement parler, il demeure toutefois des  pseudo-forces telles qu'on les déisgnent actuellement, à savoir ; la force d'inertie, la force de coriolis et la force de marée (entre deux "corps comsiques" orbitant l'untour de l'autre). L'espace est courbe est c'est la densité d'energie (celle des interactions faibles et fortes) qui fait la masse et courbe l'espace. E=mc² pourrait être appeler la formule de la matière mais il n'y a pas à proprement parler de matière. Petite chose amusante, Etienne Klein aime à présenter un carambar et dire que celui-ci parttout les interaction atomique représente à lui seul 70 000 kJ àlors que par la digestion nous zen retirons (laissant la porte ouverte à l'indéisme, au pranisme et au breatherianism, qui ne font qu'énoncé le gaspillage que constitue la digestion, sinon qu'il faut bien voir, par l'embryogénèse notamment que notre tube digestif et notre moelle épinière dont le cerveau n'est que l'extémité ont uqleus. Le cerveau et le système nerveux central se sont développés pour faire court, avec l'usage de la vision et autres "sens", pour suppléer aux information de ceux-ci et aider à faire rentrer de la "matière" digérable dans la "lumière" du tube digestif. Les atomes sont essentiellmeent du "vide" avec des boucles d'énrgie spinant (on ne peut dire orbitant, ni tournant, mais l'anglais est traître là).

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