DAVID LAPOUJADE PLAGIAIRE ? De quel droit fais-je valoir ma primauté ?
On me fera passer pour un demi-habile, en premiers les demi-habiles eux-mêmes qui sous couvert d’une érudition dont ils pensent être seuls détenteurs, critiquent le peuple, raillent sa façon de se divertir et de se conformer à la hiérarchie sociale. Les demi-habiles sont en fait connectés au divertissement, leur présupposé est celui-ci que l'on se détourner de l' " idée de la mort " par le divertissent mais qu'au fond rien n'évolue (qui est une hantise, objet désigné n'ayant aucune réalité comme la pensée d'avant Platon l'avait envisagé), notre présupposé est que nous sommes déjà dans le changement (au présent dans la seconde renaissance, non pas celle de l'imprimerie mais du numérique) et la transformation.
Pourtant je préfère déranger pour des raisons que je n'expliqueraient pas ici. Il s'agit de s'assurer que c'est bien d'une sourde censure dont j'ai été victime, pour deux raisons :
- le censure sait reconnaître le talent (j’avouerais là mon instinct d'esclave en somme)
- la censure n'étouffe pas le bouillonnement souterrain, dont parle Deleuze. Puisqu'elle n'est pas couplée à la communication, qui produit sa politique du contre-sens. Même si pour Deleuze on souffre davantage du fait d'être forcé à communiquer de l'inintéressant que du brouillage issus des contre-sens.
Une manière de garder sa colère saine, de ne jouer de son ressort que sur un court laps de temps, un peu comme Bergson avouant qu'il ne débutait l'écriture d'un livre que sur le coup de la colère... comme Proust et Picasso voyaient naître leurs idées platoniques du chagrin, ce qui fait que les œuvres qui portent ces idées sont inachevées, malgré les cadres (de bien-séance) circulaire ou rectangulaire.