La Philosophie à Paris

GEOPOLITIQUE / Précisions sur l'Etat et sur le nouvel ordre mondial

19 Juillet 2010, 08:07am

Publié par Anthony Le Cazals

Quand je lis les propos déformant de certaines personnes je reste criconspect : "L'Etat c'est le mal et vous êtes contre tout discours institutionnalisé". J'éclate même de rire. A manichéen manichéen et demi. Et vous ne pouvez rien contre de telles réduction. D'où c'est précisions : je suis comme Marx et Proudhon et même la plupart des libéraux, je pense que c'est à la société civile de déterminer l'Etat et non l'inverse. Tous les discours institutionnels sont dès lors des discours grégaires et non des affirmations personnelles et par là impersonnelles.

 

Les esprit retors me qualifieront alors de marxiste et Proudhonistes et les pauvres esprits libéraux se trouverons bien tristes de penser comme Marx. Il faut d'avance préciser que les penseurs libéraux sont de bien piètres penseurs ou de manière plus criante ne sont pas des penseurs en ce qu'ils réfléchissent leur : qui est pris dans sa facilité ne peut en juger librement. Réfléchir n'est pas penser, car tout le monde en est capable hors les plus faibles (appelez à raison débiles). Donc prenons le cas de quelques idéologues libéraux : Nassim Taleb, Alain Minc. L'un comme l'autre ont une forte influence sur le temps. Pourtant le pape de l'excédence (Nassim Taleb), ne fait que substituer aux modèle de la finances ses propres modèles excédents ou fractales avec un tour de passe-passe plein de mauvaise foi qui consiste à donner tous les tort aux courbes de Gauss tout en reconnaissant que Gauss n'est pas à l'origine de ces courbes. C'est là qu'apparaît la source financière et non plus esthétique des modèles fractales de Mandelbroot adaptés aux systèmes instables. Mais on en reste par ces modèles à une refelxion systèmique où le dominant engendre les profit sous couvert de scepticisme empirique. Alain Minc quant à lui est le summum de la suppression de toute pensée, dès l'introduction de son Keynes, il n'hésite pas à dire que l'overmensh de Nietzsche le surhomme est l'homme supérieur, rabattement fatal à toute la pensée, puisque le surhomme n'est ni une bête humaine surévoluée ni l'aboutissment désastreux du platono-christiannisme : le bourgeois, l'homme supérieur que Nietzsche qualifie sanscesse d'homme raté par rapport au créateur qui lui ne parvient encore à advenir sauf lors de la renaissance italienne sous la forme d'un type décadent on pensera là pour partie à son propre auto-protrait mais surtout pleinement à Wagner qui s'agenouille devant le christianisme. Le surhomme est la direction que prennent les créateurs, c'est LE SENS DE LA TERRE. C'est tout cela que rateront les libéraux car leur but premier est l'accomplissment de la mian invisible sur le monde entier, l'accomplissment de la providence divine au travers de la mondialisation, qui sera simplement le premier type raté de gouvernement de la Terre, le dit "nouvel ordre mondial".

 

Ce sont actuellement comme à la renaissance (période de grande peste cf. Florence en 1484) des logiques de pensée qui s'affrontent encore indirectement le parti de Sarpi et Galilée, le parti de Cues et Bruneleschi (les platoniciens), le parti des aristotéliciens. Chacun ayant d'ailleurs son université Pise, Padoue ou Florence. C'est enrtre cela que naviguère les grands génie de la renaissance Vinci, Michel-Ange, Raphael, Machiavel.

 

 

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