LETTRE A ALAIN BADIOU / Affirmation II sur l'énergie nouvelle
Voici une lettre adressée pour partie à Badiou sur les champs dynamiques et notamment les métiers. Nous reviendrons certainement sur ce qu'est un champ et la connexion constante de celui-ci avec le 'soi' dans une retranscription du cours de Loraux qui porte sans les nommer, sur les deux idéalismes, c'est-à-dire sur les deux manières, la grecque et la moderne, de concevoir l'être c'est-à-dire comme champ cclos et déterliné et comme champ ouvert. Sur la question des métiers nous vous renvoyons au cours d'Eric Lecerf sur le métier qui a lieu cette année un vendredi sur deux et qui porte sur le rapport de sa propre subjectivité au champ que constitue le métier.
Bonjour
Je vous ai doublé, ou plutôt on vous a doublé, finalement je suis plus Badiousien que vous. Au début ce que je détestais votre dépeuplerie. Mais elle a du bon, c'est juste vous qui vous recalquer sur les anciennes erreurs. Si dans le parcours, il y a problème, ce n'est pas l'idée et l'esprit de vengeance qui en suinte qu'il faut interposer. C'est une question de métier. Le mot est lourd parce que le métier n'est pas adossé à l'universel mais à un territoire, à une langue travaillée et de travail. Ce sont les métiers qui ont fait la commune c'est leur amputation, qui a permis l'implantation des marxistes, des déterministes de . Les métiers sont dans la vie active et ne supportent pas la vengeance des universitaires, des arides de coeur, des discoureurs d'abstrait, qui n'ont pas compris que toutes les mathématiques recourait au calcul, à l'opératoire. Et que quand la machine, l'opératoire algorithmique, était empêché, ce n'est pas l'idée qui faut placer mais l'action, le combat pour précisément en combattre les excès. Toute l'énergie se trouve alors réinvestie plutôt qu'à s'évaporer en une bulle spéculative (idéelle ou financière). Une captation du pouvoir, de l'élite qui se couperait du bouillon créatif. Là se joue quelque chose de précis, une connexion à la fois constante et intermittente, la formation d'un champ de forces. Ce qui se connecte au champ de force n'est pas un 'soi' unique, une somme d'instincts physiologiques, qui s'étendrait dans un délire, mais la réunion, la concaténation, la constellation affective de différent 'soi'. Contre cela c'est la force des choses vous ne pouvez que faire, vous êtes emportés et même les éminences du Bien n'y échappent pas, ce le jue aussi des générations qui poussent les aînés à la transformation, plutôt qu'à une reproduction ou un conversion.
Ah si vos idées passaient, l'humanité serait amputée des deux-tiers. Mais quelque part vous répondriez aux souhaits des écologistes, des pandémistes et des malthusiens fascistes. Rappelez-vous, 1975, les khmers et leur grand tribunal de l'égalité. Une grande fête, une orgie badiousienne, le "choix", votre xhoix était vite fait. Dépeuplerie, dépeuplement. A défaut d'entrer dans les familles pour saborder les éducations, exterminons-les. L'Education c'est là où un individu rencontre la lettre ou un soi se connecte avec un champ. Les métiers plus que les arts encore sont les grand connecteurs de la lettre et d'un champ à travers un soi. Il y a trop de contrainte pour votre cerveau ne tienne, trop de défintion. Pour vous il faut réduire, revenir aux bonnes vieilles idées qui ne supporte pas comme chez tous les matérialistes qui cachent leur idéalisme. Les méteirs comme les territoires ne peuvent être r"éduit à des concept, foi de Deleuze qui s'est opéré à les épuisé en vain. Tout contact avec un métiers opère une transformation qui n'est ni reproduction ni conversion. C'est cette transformation qui fait que nous ne sommes pas connectés à l'interminable qui mélancolise tant les professeurs de chaire et d'école, mais à la hauteur d'un défi à relever, d'un projet qui est accomplissement de soi et nous fait travailler avec tant d'autres. Je pourrais délirer seul mais je commence déjà à essaimer, cela va monter en puissance comme le "modernisme" catalan renaissant qui s"appuyait sur les métiers mais n'était pas moderne à la lettre. L'"universel", cette projection d'illusion, n'a jamais supporter son exception qu'est le métier, à l'autre bord même Colbert s'en es pris à eux. Mais il savent mieux que d'autres ce qu'est un collectif par delà les rôles. Les métiers n'ont jamais réclamé la liberté parce qu'ils ont toujours été en capacité de faire les choses, ils savaient la force de l'astreinte, non de tout temps ce sont les indigents que l'on a fait pieds noirs dans les colonies, de faux pionniers.
Aux métiers on leur a tout fait, on les a soumis à la surveillance (Des Grecs jusqu'aux corporations), c'est pour cela qu'on croit qu'ne Grec tekhnè (le métier) veut dire surveillance. Les métiers, on les a fait jurer, s'incorporer, on a chercher à les réduire au servage pour garder une force manuelle (le livret ouvrier en France). Mais la libération de ce qui constitue le métier est passé par la machine qui repris toute les tâches opératoires répétitives en des automatismes. Reste l'action, l'initiative, là où se joue précisément le métier, le geste de métier qui n'a rien de métemphyschique mais tout aussi tranchant. Ah les métiers ne sont pas idylliques mais ils constituent le lieu le plus grand de sacrifices et d'inverstissement, c'est bien pour cela que la religion leur est toujours tombé dessus. Elle a senti la concurrence dans l'investissement de croyances et de sacrifices. Les métiers constituent véritablement la force révolutionnaire et précisément s'ils ont échoué une première fois c'est que les métiers étaient trop idéalistes. Paradoxalement la constitution d'une autonomie politique devrait car après chaque révolution sonne le glas de cette phrase "A chacun son métier". Les homme de Bien déterste de ce fait le métier, il leur préfère la sujet assujetti à un Dieu créateur. C'est qu'il y a deux dimensions dans le métier au moins l'un sont défaut, son excès, l'autre son aspect terrible. La prémière c'est l'excellence, il n'y a qu'en arts et en métiers que vous la trouverez, mais l'excellence requiert toujours une protection. La seconde plus saine, plus apte au conflit est la compétence. C'est la compétence des hommes de métier que déteste les politiciens, de Marx à Cheminade. Tout simplement parce que ce n'est pas la machine qui supprime Dieu, mais les métiers qui ayant recours à elle pratiquent la délibération. C'est de tout temps la délibérations des combattants qui fait mettre la prière divine hors des murs de l'atelier car les dieux ne bougeront pas leur petit pouce.
Certes il y aura toujours un retour de la transcendance qui guette (Oh Dieu-Liberté, Oh ma métempsychique, Oh ma logologie). Mais finalement c'est Goethe qui produit son effet et un peu des Héraclitéens isolés en Orient pendant trois siècle. Là à present je me permets d'ajouter un petit délire personnel bien que vécu. Je dirais que c'est une vague de l'Est, preuve que Mitterrand avait raison et que , mais ca c'est l'éternel retour de l'invasion de l'Est. Ce sont les athées et les athées (oui les femmes comme les hommes) qui sot en train de nous envahir, je pense aux allemand(e)s de l'Est, aux tchèques, aux Hongrois(es), qui contrairement aux Polonais(es) sont éminement athées. C'est que nos pauvres françaises ont râté le féminisme, que la femme réellement indépendante est celle des migrations, celle qui rompt avec la mère. Cela touche aussi les asiatiques de chine, des philippines oh une infime partie, car le Parti règne, mais la pratiques d'un nudisme grec Désolé si le dionysiaque se joue de la géopolitique et reprend les invariants des invasions barbares. Vous n'y pouvez rien, juste produire votre discours réactif.
Bon j'ai coupé les liannes du pont volontairement pour que vous ne puissiez arriver à l'autre rive. De Gaulle disait la vieillesse est un naufrage, c'est vousd elle est une dérive (c'est un compliment, et mon geste, et mon geste dirait le platonicien ca c'est pour la conclusion de Logiques des mondes, Rompez avec l'affect, Rompez avec l'affect et surtout pas les rangs dirait Brunschivg). Je vous dis tout cela avant que la philosophie ne bascule en Espagne, pays du moodernisme catalan, de la Gana et du Gusto. C'est simplement un déplacement du spectre solaire depuis les Grecs, les Allemands, les français (finissant), non les hispanophone vont produire tout le boulot. Ils ont qui plus est tout un continent pour travailler leur langue et déjà des expérience politiques qui s'amorcent, des argentins qui créent leur propre monnaie. Le grand point d'interrogation sera l'Afrique animiste.
Reste le Japon et le Bresil comme société où l'on trouvent des réinvestissement révolutionnaires. Sans doute parce que ce sont des pays d'arts martiaux où la subjectivité, son excès de palabre n'a pas prise, puisque l'exercice du corps devient projection de l'esprit hors de celui-ci. Il n'y a pas d'illusion moderne au Japon, pas de liberté, donc pas de symptôme d'incapacité, un esclave, un samouraï pouvait tuer un maître sans problème et par là redonner vie, en donnant la mort à l'un il redonnait la vie à tant d'autres. C'est cela qui a intriguer Guattari et tant d'autres.
Certes l'humainté ainis que l'homme de Bien déteste les métier, il va voir le potier pour lui demander Qu'est-ce que la poterie ? S'i potier répond par une idée il est perdu, s'il répond, c'est un métier il a gagné. Mais allons plus loin que l'humanité pour bien comprendre que son côté terrible, son côté habile est dans les métiers.. Si Foucault s'est planté dans le souci se soi c'est précisément que comme avec Socrate la jeunesse manquait d'éducation, mais qu'en se souciant de ses vertus (communautaire) on néglige ses actions, le gain que comporte toute prise de risque sitôt qu'on se place à la hauteur. Foucault n'avait rien compris à la tékhnè, au métier, il réduisait cela à de l'enseignement, alors que c'est une pratique qui ne se transmet pas, c'est l'exigence qui elle se transmet, reste à savoir si on la place dans la compétence ou dans l'excellece. Même chose pour Althusser et vous Badiou. car vous êtes trois penseurs de l'inhumanité. Vient alors la surhumanité, ô je pourrais m'acharner à la théoriser, mais autant que le capitalisme on voit cette force émerger avec les siècles, non pas suivant le parcours des Phéniciens, des Vénitiens, des marchands de la Hanse, des Florentins et des restes du récent empire Hollando-Britannique. Non le savoir-faire a eu un parcours parallèle mais c'est à travers lui la société civile qui émerge, s'émancipe de l'Etat, souhait de Proudhon, Blanqui et Marx. La Commune fut un excès d'idéalisme dans ce parcours et un piège puisque l'Etat mis main basse sur la production et que les marxistes déterminites apparurent mais dès lors que les métiers délibèreront publiquement, il en sera changer des crises car ce sont eux qui savent que l'on part de rien et qui respectent par là les plus humbles sans avoir de compassion, en se tenant près des lettres et loin des religions, pas plus qu'il ne sont l'Etat qui spécule dans ses universités ou la finance qui spécule dans ses marchés. Le sujet ne peut se trouner que soit vers la reproduction d'une corrumption, d'une imposture inhumaine (Badiou), soit vers une conversion (Prado, Lecerf, Douailler) alors que le métiers par le jeu des générations et de la transformation interne qu'il requiert se renverse perpétuelmeent lui-même, évitant tout excès spéculatif.
Je n'en appelle pas au Métier, je ne suis pas fou à ce point, non c'est le métier qui parle à travers moi. Tout un chant, une laisse, une épopée donc le retour des grands récits et la fin du 'post-modernisme' dont vous êtes.
Bonjour
Je vous ai doublé, ou plutôt on vous a doublé, finalement je suis plus Badiousien que vous. Au début ce que je détestais votre dépeuplerie. Mais elle a du bon, c'est juste vous qui vous recalquer sur les anciennes erreurs. Si dans le parcours, il y a problème, ce n'est pas l'idée et l'esprit de vengeance qui en suinte qu'il faut interposer. C'est une question de métier. Le mot est lourd parce que le métier n'est pas adossé à l'universel mais à un territoire, à une langue travaillée et de travail. Ce sont les métiers qui ont fait la commune c'est leur amputation, qui a permis l'implantation des marxistes, des déterministes de . Les métiers sont dans la vie active et ne supportent pas la vengeance des universitaires, des arides de coeur, des discoureurs d'abstrait, qui n'ont pas compris que toutes les mathématiques recourait au calcul, à l'opératoire. Et que quand la machine, l'opératoire algorithmique, était empêché, ce n'est pas l'idée qui faut placer mais l'action, le combat pour précisément en combattre les excès. Toute l'énergie se trouve alors réinvestie plutôt qu'à s'évaporer en une bulle spéculative (idéelle ou financière). Une captation du pouvoir, de l'élite qui se couperait du bouillon créatif. Là se joue quelque chose de précis, une connexion à la fois constante et intermittente, la formation d'un champ de forces. Ce qui se connecte au champ de force n'est pas un 'soi' unique, une somme d'instincts physiologiques, qui s'étendrait dans un délire, mais la réunion, la concaténation, la constellation affective de différent 'soi'. Contre cela c'est la force des choses vous ne pouvez que faire, vous êtes emportés et même les éminences du Bien n'y échappent pas, ce le jue aussi des générations qui poussent les aînés à la transformation, plutôt qu'à une reproduction ou un conversion.
Ah si vos idées passaient, l'humanité serait amputée des deux-tiers. Mais quelque part vous répondriez aux souhaits des écologistes, des pandémistes et des malthusiens fascistes. Rappelez-vous, 1975, les khmers et leur grand tribunal de l'égalité. Une grande fête, une orgie badiousienne, le "choix", votre xhoix était vite fait. Dépeuplerie, dépeuplement. A défaut d'entrer dans les familles pour saborder les éducations, exterminons-les. L'Education c'est là où un individu rencontre la lettre ou un soi se connecte avec un champ. Les métiers plus que les arts encore sont les grand connecteurs de la lettre et d'un champ à travers un soi. Il y a trop de contrainte pour votre cerveau ne tienne, trop de défintion. Pour vous il faut réduire, revenir aux bonnes vieilles idées qui ne supporte pas comme chez tous les matérialistes qui cachent leur idéalisme. Les méteirs comme les territoires ne peuvent être r"éduit à des concept, foi de Deleuze qui s'est opéré à les épuisé en vain. Tout contact avec un métiers opère une transformation qui n'est ni reproduction ni conversion. C'est cette transformation qui fait que nous ne sommes pas connectés à l'interminable qui mélancolise tant les professeurs de chaire et d'école, mais à la hauteur d'un défi à relever, d'un projet qui est accomplissement de soi et nous fait travailler avec tant d'autres. Je pourrais délirer seul mais je commence déjà à essaimer, cela va monter en puissance comme le "modernisme" catalan renaissant qui s"appuyait sur les métiers mais n'était pas moderne à la lettre. L'"universel", cette projection d'illusion, n'a jamais supporter son exception qu'est le métier, à l'autre bord même Colbert s'en es pris à eux. Mais il savent mieux que d'autres ce qu'est un collectif par delà les rôles. Les métiers n'ont jamais réclamé la liberté parce qu'ils ont toujours été en capacité de faire les choses, ils savaient la force de l'astreinte, non de tout temps ce sont les indigents que l'on a fait pieds noirs dans les colonies, de faux pionniers.
Aux métiers on leur a tout fait, on les a soumis à la surveillance (Des Grecs jusqu'aux corporations), c'est pour cela qu'on croit qu'ne Grec tekhnè (le métier) veut dire surveillance. Les métiers, on les a fait jurer, s'incorporer, on a chercher à les réduire au servage pour garder une force manuelle (le livret ouvrier en France). Mais la libération de ce qui constitue le métier est passé par la machine qui repris toute les tâches opératoires répétitives en des automatismes. Reste l'action, l'initiative, là où se joue précisément le métier, le geste de métier qui n'a rien de métemphyschique mais tout aussi tranchant. Ah les métiers ne sont pas idylliques mais ils constituent le lieu le plus grand de sacrifices et d'inverstissement, c'est bien pour cela que la religion leur est toujours tombé dessus. Elle a senti la concurrence dans l'investissement de croyances et de sacrifices. Les métiers constituent véritablement la force révolutionnaire et précisément s'ils ont échoué une première fois c'est que les métiers étaient trop idéalistes. Paradoxalement la constitution d'une autonomie politique devrait car après chaque révolution sonne le glas de cette phrase "A chacun son métier". Les homme de Bien déterste de ce fait le métier, il leur préfère la sujet assujetti à un Dieu créateur. C'est qu'il y a deux dimensions dans le métier au moins l'un sont défaut, son excès, l'autre son aspect terrible. La prémière c'est l'excellence, il n'y a qu'en arts et en métiers que vous la trouverez, mais l'excellence requiert toujours une protection. La seconde plus saine, plus apte au conflit est la compétence. C'est la compétence des hommes de métier que déteste les politiciens, de Marx à Cheminade. Tout simplement parce que ce n'est pas la machine qui supprime Dieu, mais les métiers qui ayant recours à elle pratiquent la délibération. C'est de tout temps la délibérations des combattants qui fait mettre la prière divine hors des murs de l'atelier car les dieux ne bougeront pas leur petit pouce.
Certes il y aura toujours un retour de la transcendance qui guette (Oh Dieu-Liberté, Oh ma métempsychique, Oh ma logologie). Mais finalement c'est Goethe qui produit son effet et un peu des Héraclitéens isolés en Orient pendant trois siècle. Là à present je me permets d'ajouter un petit délire personnel bien que vécu. Je dirais que c'est une vague de l'Est, preuve que Mitterrand avait raison et que , mais ca c'est l'éternel retour de l'invasion de l'Est. Ce sont les athées et les athées (oui les femmes comme les hommes) qui sot en train de nous envahir, je pense aux allemand(e)s de l'Est, aux tchèques, aux Hongrois(es), qui contrairement aux Polonais(es) sont éminement athées. C'est que nos pauvres françaises ont râté le féminisme, que la femme réellement indépendante est celle des migrations, celle qui rompt avec la mère. Cela touche aussi les asiatiques de chine, des philippines oh une infime partie, car le Parti règne, mais la pratiques d'un nudisme grec Désolé si le dionysiaque se joue de la géopolitique et reprend les invariants des invasions barbares. Vous n'y pouvez rien, juste produire votre discours réactif.
Bon j'ai coupé les liannes du pont volontairement pour que vous ne puissiez arriver à l'autre rive. De Gaulle disait la vieillesse est un naufrage, c'est vousd elle est une dérive (c'est un compliment, et mon geste, et mon geste dirait le platonicien ca c'est pour la conclusion de Logiques des mondes, Rompez avec l'affect, Rompez avec l'affect et surtout pas les rangs dirait Brunschivg). Je vous dis tout cela avant que la philosophie ne bascule en Espagne, pays du moodernisme catalan, de la Gana et du Gusto. C'est simplement un déplacement du spectre solaire depuis les Grecs, les Allemands, les français (finissant), non les hispanophone vont produire tout le boulot. Ils ont qui plus est tout un continent pour travailler leur langue et déjà des expérience politiques qui s'amorcent, des argentins qui créent leur propre monnaie. Le grand point d'interrogation sera l'Afrique animiste.
Reste le Japon et le Bresil comme société où l'on trouvent des réinvestissement révolutionnaires. Sans doute parce que ce sont des pays d'arts martiaux où la subjectivité, son excès de palabre n'a pas prise, puisque l'exercice du corps devient projection de l'esprit hors de celui-ci. Il n'y a pas d'illusion moderne au Japon, pas de liberté, donc pas de symptôme d'incapacité, un esclave, un samouraï pouvait tuer un maître sans problème et par là redonner vie, en donnant la mort à l'un il redonnait la vie à tant d'autres. C'est cela qui a intriguer Guattari et tant d'autres.
Certes l'humainté ainis que l'homme de Bien déteste les métier, il va voir le potier pour lui demander Qu'est-ce que la poterie ? S'i potier répond par une idée il est perdu, s'il répond, c'est un métier il a gagné. Mais allons plus loin que l'humanité pour bien comprendre que son côté terrible, son côté habile est dans les métiers.. Si Foucault s'est planté dans le souci se soi c'est précisément que comme avec Socrate la jeunesse manquait d'éducation, mais qu'en se souciant de ses vertus (communautaire) on néglige ses actions, le gain que comporte toute prise de risque sitôt qu'on se place à la hauteur. Foucault n'avait rien compris à la tékhnè, au métier, il réduisait cela à de l'enseignement, alors que c'est une pratique qui ne se transmet pas, c'est l'exigence qui elle se transmet, reste à savoir si on la place dans la compétence ou dans l'excellece. Même chose pour Althusser et vous Badiou. car vous êtes trois penseurs de l'inhumanité. Vient alors la surhumanité, ô je pourrais m'acharner à la théoriser, mais autant que le capitalisme on voit cette force émerger avec les siècles, non pas suivant le parcours des Phéniciens, des Vénitiens, des marchands de la Hanse, des Florentins et des restes du récent empire Hollando-Britannique. Non le savoir-faire a eu un parcours parallèle mais c'est à travers lui la société civile qui émerge, s'émancipe de l'Etat, souhait de Proudhon, Blanqui et Marx. La Commune fut un excès d'idéalisme dans ce parcours et un piège puisque l'Etat mis main basse sur la production et que les marxistes déterminites apparurent mais dès lors que les métiers délibèreront publiquement, il en sera changer des crises car ce sont eux qui savent que l'on part de rien et qui respectent par là les plus humbles sans avoir de compassion, en se tenant près des lettres et loin des religions, pas plus qu'il ne sont l'Etat qui spécule dans ses universités ou la finance qui spécule dans ses marchés. Le sujet ne peut se trouner que soit vers la reproduction d'une corrumption, d'une imposture inhumaine (Badiou), soit vers une conversion (Prado, Lecerf, Douailler) alors que le métiers par le jeu des générations et de la transformation interne qu'il requiert se renverse perpétuelmeent lui-même, évitant tout excès spéculatif.
Je n'en appelle pas au Métier, je ne suis pas fou à ce point, non c'est le métier qui parle à travers moi. Tout un chant, une laisse, une épopée donc le retour des grands récits et la fin du 'post-modernisme' dont vous êtes.
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