LETTRE A BADIOU / Question II ou de l'imposture
Lettre à laquelle Badiou n'a point répondu. La philosophie n'étant ni immanente ni transcendante pour lui, on pourra toujours s'étonner de voir un sujet transit par la vérité et des voir la vérité comme les idées petres immanentes aux corps ("j'ai touours conçu la vérité comme un trajet aléatoire, une équipée post-évenementielle sans loi extérieure" BdDC) mais c'est surtout le cadre moral de ce qui produisent la vérité (BdMP) qu'il faudrait interroger, on pourra les quantifier en millions de morts (puisque n'ayant aucune notion d'économie pas même d'économie politique marxienne, c'est toute une société qui s'effondrerait avec Badiou). Il faut parfois d'un geste sain fendre la toile que tisse la tarentule pour pouvoir passer.
"Cher formidable ami
Vous vous rendez compte vous préchez un réalisme des idées tout platonicien, mais les idées il n'y en a que dans votre tête, car drrière cela vous avez atteint le point d'imposture et vous le savez reconstituant un idéalisme transcendantal des plus durs avec un seul monde (le Réel succédanné de l'"Etre" que vous avez fait inconsister comme bien d'autres avant vous) et surtout de l'Un comme Dieu-Liberté, ainsi se trouve reconstituer la triade identitaire du Sujet, du Réel et de l'Un (Moi, monde, Dieu). Bref vous sonnez "faux" dirait-on moralement ou creux comme ces idées revolutionnaires que vous faites tourner pensant que cela produira un émoussement. La preuve de votre idéalisme est dans la discussion que nous avions eu sur "la vérité" comme joignant "les vérités", faisant espace d'illusions idéaliste qui s'aggrandit.
La question serait mais quand commencez vous dans le tournoiement de vos illusions successives (Révolution, Contradiction maoiste) à dire le vrai, si je dois donner un cadre moral (heum heum "éthique") à ma question. Car nous sommes passez des la transcendance du Bien et de la Vérité à l'immanence des vérités incorporées dans les corps. Mais il n'y a ni transcendance, ni immanence, juste de l'audace (boldness, parrhesia). Ce que votre vanité ne pourra jamais reconnaître.
Cette imposture se nomme Inhumanité (et Althusser ne l'a pas tenue). Elle n'est que le retournement de votre Un contre votre Deux, une version à peine édulcorée de l'esprit de vengeance à force d'avoir parcouru tant d'aridité (Nemesis). Mais vos paroles d'Amour sont très belles car il faut bien rendre viable ce qui ne l'est pas dirait Bergson.
Sur ce je vous laisse dans quelque désistement de l'agitation et du langage, autrement nommée politesse.
Cher Ami" AM
Vous vous rendez compte vous préchez un réalisme des idées tout platonicien, mais les idées il n'y en a que dans votre tête, car drrière cela vous avez atteint le point d'imposture et vous le savez reconstituant un idéalisme transcendantal des plus durs avec un seul monde (le Réel succédanné de l'"Etre" que vous avez fait inconsister comme bien d'autres avant vous) et surtout de l'Un comme Dieu-Liberté, ainsi se trouve reconstituer la triade identitaire du Sujet, du Réel et de l'Un (Moi, monde, Dieu). Bref vous sonnez "faux" dirait-on moralement ou creux comme ces idées revolutionnaires que vous faites tourner pensant que cela produira un émoussement. La preuve de votre idéalisme est dans la discussion que nous avions eu sur "la vérité" comme joignant "les vérités", faisant espace d'illusions idéaliste qui s'aggrandit.
La question serait mais quand commencez vous dans le tournoiement de vos illusions successives (Révolution, Contradiction maoiste) à dire le vrai, si je dois donner un cadre moral (heum heum "éthique") à ma question. Car nous sommes passez des la transcendance du Bien et de la Vérité à l'immanence des vérités incorporées dans les corps. Mais il n'y a ni transcendance, ni immanence, juste de l'audace (boldness, parrhesia). Ce que votre vanité ne pourra jamais reconnaître.
Cette imposture se nomme Inhumanité (et Althusser ne l'a pas tenue). Elle n'est que le retournement de votre Un contre votre Deux, une version à peine édulcorée de l'esprit de vengeance à force d'avoir parcouru tant d'aridité (Nemesis). Mais vos paroles d'Amour sont très belles car il faut bien rendre viable ce qui ne l'est pas dirait Bergson.
Sur ce je vous laisse dans quelque désistement de l'agitation et du langage, autrement nommée politesse.
Cher Ami" AM
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