PENSEE / Sujet, Structure et nouvelle vague
Le sujet
Kir'N'Dir (Que dois-je faire ?)
La structure
http://www.agoravox.tv/article.php3?id_article=21279
Lévi-Strauss : "Le travail de la science n'a pas de sens"
Le milieu où sujet et dispositif se mélange. Un sauf-conduit agambemien pour Coupat.
Mais Est-ce là la véritable éducation ? Et agamben n'est pas le seul à faire se confondre sujet et structure, mais là où il les ferait se dissoudre dans une activité politique autonome, Paul Jorion les fera se réunir disnat que toutes les décisions consciente d'un sujet émerge d'une structure totalement inconsciente, allant en ce sens plus loin que son maîttre Lacan.
A quoi reconnaît-on un sujet il se pose toujours la question que dois-je faire ? En arabe on dira Kir'n'Dir (cf.
La vidéo infra). Le sujet n'a pas d'inspiration, de dynamique enthousiaste qui d'emblée emporte, il arrive les mains dans les poches et se dit mais que
vais-je bien pouvoir inventer pour sauver les apparences, c'est Warhol inventant la Soupe Campbell et les paillettes du Pop'art. C'est qu'il faut bien participé à la société des services de
biens, s'y insérer et être redevable. C'est toute la différence avec Nietzsche ou Marx. Chez Nietzsche, il y a cette différence très simple entre ce qui est donné et ce qui est demandé ou réclamé
par une situation, une société. Si l'on arrive avec une énergie débordante on a nul besoin de se raccrocher à une transcendance qui vous ferait vous dépasser et on a pas non plus besoin de se
laisser porter par l'immanence, non l'enthousiasme est là et les rencontres surgissent opinément précisément parce que l'on évite les sujets, vous savez ces bobos pas encore sorti de l'oedipe
familial, ce ne sont guère des gens que l'on rencontre ni même des objets (à l'heure de l'internet des objets) mais bien des énergies souvent calquées sur des fabulations. Le sujet lui retient
une Idée, mais juste une idée. Une idée ne permet nullement de penser mais de projeter toute sa vision idéaliste qui se délimite en un "monde". Notre bellâtre associe son idée parfois à une
autre, par exemple l'égalité, mais cela ne le fait pas penser bien loin, pour autant. Souvent cela aboutit à des livres qui ont l'apparence de livre philosophique par le charabia abscons mais qui
n'en sont pas comme "Critique de la raison dialectique". Le sujet est obnubilé par sa liberté et s' enferme. C'est que la liberté du sujet n'est pas exactement celle qu'on croit la liberté est
travail sur la situation, engagement concret du sujet et finit par produire l'énoncé suivant : "l'enfer c'est les autres". A trop prendre les autres sur un pied d'égalité, on finit par être
bouffe par autrui, à constitue son je est un autre et non la richesse d'un Dedans, d'une force ployée en soi. Dès lors qu'on se constitue une situation (Sartre, Debord), un territoire (Deleuze),
un monde (Leibniz, Husserl), une patrie (Heimat de Hedegger), un jeu de charme opère et la furtivité s'oblitère. S'il y a imposture, c'est simplement que le sujet s'engage d'ans la situation et
par là produit une discours idéologique, qui reconnaîtra d'une part ce qui est bon, profitable, utile et de l'autre ce que est mauvais, malsain, méchant, simplement parce que sa faculté de
digestion n'est plus assuré : comprenez qu'il est apte à oublier et qu'il ressasse avec rancoeur ou nostalgie. C'est toujours au creux de la vague que se repère les sujets, les soumis à la
grammaire de la transcendance.
Kir'N'Dir (Que dois-je faire ?)
La structure
Nous avons d'autre part, après le sujet ben entendu, la structure. La structure comme le sujet ne se départit pas d'une
pensée symétrique, mais c'est avant tout une méthode déterministe. L'objet du structuralisme, tel est le nom de la méthode, n'est jamais autre chose qu'un système. Cette méthode peut s'appliquer
pour déterminer les règle de syntaxe d'une langue ou les règles de parenté d'une société mais à chaque fois une symétrie doit être reproduite, partage entre signifiant et signifié, partage
entre homme et femme ou entre société froide-société chaude. e structuralisme est un effet de mode qui, en tant que mode a créé de la confusion car comme pour le sujet il ne s'agit pas de
philosophie. Le structuralisme est un intellectualisme qui recrée sa propre symbolique et ses propres rituels de reconnaissance (Académie française, ENS, Collège de France, tous les
structuraliste français y finiront). C'est tout cela qui fera dire à Godard que "la réalité c'est le cinéma". C'est là que s'ouvre en parallèle aux intellectualisme du sujet et de la structure,
la nouvelle vague.
http://www.agoravox.tv/article.php3?id_article=21279
Lévi-Strauss : "Le travail de la science n'a pas de sens"
Le milieu où sujet et dispositif se mélange. Un sauf-conduit agambemien pour Coupat.
Mais Est-ce là la véritable éducation ? Et agamben n'est pas le seul à faire se confondre sujet et structure, mais là où il les ferait se dissoudre dans une activité politique autonome, Paul Jorion les fera se réunir disnat que toutes les décisions consciente d'un sujet émerge d'une structure totalement inconsciente, allant en ce sens plus loin que son maîttre Lacan.
La nouvelle vague
C'est que surgissent toujours les périodes et les époques de bouillonnement. Oh elles ne durent jamais, heureusement, mais se produisent de-ci de-là, dès lors que les sujets qui réfléchissent sur leur petite intériorité ou leur petit secret de famille n'envahissent plus l'avant-scène. C'est que l'effervescence les dépasse. Ils ont l'humeur plombée par essence, par nature, par idiote syncrasie. Une sorte de grande mélancolie, de procrastination et d'atermoiement les remplit et les vide. Et surgit alors la nouvelle vague et cette prise de position du mouvement dans la rue, assez proche du modernisme catalan, de la palabre des Ramblas. Cela s'agite, les intellectuels essayent de suivre ou mieux se laisse portés par la vague quand ils sont plus aptes mais là est le sine qua non de la pensée négligente, elle émerge toujours loin des faiseurs de symétrie, dans le bouillonnement artistique de celui qui dit chiche. Tel était le paysage des années 60, avec d'un côté, le sujet existentialiste qui très vite arrive hors course et la conscience humaniste d'un Merleau-Ponty qui avait beau s'entrelacer dans son chiasme il ne parvenait à sortir de sa chair et de l'autre côté Lévi-Strauss rejoint par Detienne, Vernant, Bourdieu, Lacan, frôlé par Foucault qui appartenait déjà à la sphère des Blanchot, Barthes, Bataille, Koslovski et des sadiens. Mais en somme structure et sujet ne porte que sur des systèmes système mondain pour le sujet qui ne sait comment s'en dépêtrer, système de grammaire ou de parenté qui est le digne rejeton de l'institution familiale. Dans les deux cas il n'y a pas d'éducation a proprement parler, il ne s'agt donc pas de philosophie ou de sagesse. La dimension déictique sauf chez Sartre (mais qui n'est que l'ailleurs rêvé du communisme) est absente. Merleau-Ponty lui restait circonvenu, Levi-Strauss avouait tout cela n'a pas de sens, ainsi de suite. Les époques passent heureusement et les cerveaux se développent autrement et parfois étrangement quand la capacité de rebond face à ce à quoi on ne s'attendait pas est grande. Ce n'est plus une affaire de symétrie entre des homologies ou de repérer des analogies comme pour le sujet, mais de tendance qui s'aggrave, de groupe qui se constitue et se défont (thématique bersgonienne), finissent par se recouper ou se rencontrer. Mais à chaque fois l'invention, la nouveauté, la brèche issue du combat sont dissymétriques. C'est alors que se produit la schize, que vous vous tenez sur la brèche et qu'en sommes vous êtes un animal aux aguets. Ce n'est plus l'affaire d'un animal épié ou pourchassé mais d'une fauve affûté, d'un Lion devenu Enfant. L'enfant est celui qui a la capacité de s'inventer des histoires mais surtout de les mettre à profit dans une certaine récréation en se moquant des utilités et des nécessités de la vie d'adultes, adultes qui souvent n'ont pas réglé ler problème d'oedipe c'est-à-dire d'interagir autrement qu'avec autrui autrement qu'avec un schéma de transfert, en envisager davantage les forces et les énergie que les personnes ou la rencontre des gens.
C'est que surgissent toujours les périodes et les époques de bouillonnement. Oh elles ne durent jamais, heureusement, mais se produisent de-ci de-là, dès lors que les sujets qui réfléchissent sur leur petite intériorité ou leur petit secret de famille n'envahissent plus l'avant-scène. C'est que l'effervescence les dépasse. Ils ont l'humeur plombée par essence, par nature, par idiote syncrasie. Une sorte de grande mélancolie, de procrastination et d'atermoiement les remplit et les vide. Et surgit alors la nouvelle vague et cette prise de position du mouvement dans la rue, assez proche du modernisme catalan, de la palabre des Ramblas. Cela s'agite, les intellectuels essayent de suivre ou mieux se laisse portés par la vague quand ils sont plus aptes mais là est le sine qua non de la pensée négligente, elle émerge toujours loin des faiseurs de symétrie, dans le bouillonnement artistique de celui qui dit chiche. Tel était le paysage des années 60, avec d'un côté, le sujet existentialiste qui très vite arrive hors course et la conscience humaniste d'un Merleau-Ponty qui avait beau s'entrelacer dans son chiasme il ne parvenait à sortir de sa chair et de l'autre côté Lévi-Strauss rejoint par Detienne, Vernant, Bourdieu, Lacan, frôlé par Foucault qui appartenait déjà à la sphère des Blanchot, Barthes, Bataille, Koslovski et des sadiens. Mais en somme structure et sujet ne porte que sur des systèmes système mondain pour le sujet qui ne sait comment s'en dépêtrer, système de grammaire ou de parenté qui est le digne rejeton de l'institution familiale. Dans les deux cas il n'y a pas d'éducation a proprement parler, il ne s'agt donc pas de philosophie ou de sagesse. La dimension déictique sauf chez Sartre (mais qui n'est que l'ailleurs rêvé du communisme) est absente. Merleau-Ponty lui restait circonvenu, Levi-Strauss avouait tout cela n'a pas de sens, ainsi de suite. Les époques passent heureusement et les cerveaux se développent autrement et parfois étrangement quand la capacité de rebond face à ce à quoi on ne s'attendait pas est grande. Ce n'est plus une affaire de symétrie entre des homologies ou de repérer des analogies comme pour le sujet, mais de tendance qui s'aggrave, de groupe qui se constitue et se défont (thématique bersgonienne), finissent par se recouper ou se rencontrer. Mais à chaque fois l'invention, la nouveauté, la brèche issue du combat sont dissymétriques. C'est alors que se produit la schize, que vous vous tenez sur la brèche et qu'en sommes vous êtes un animal aux aguets. Ce n'est plus l'affaire d'un animal épié ou pourchassé mais d'une fauve affûté, d'un Lion devenu Enfant. L'enfant est celui qui a la capacité de s'inventer des histoires mais surtout de les mettre à profit dans une certaine récréation en se moquant des utilités et des nécessités de la vie d'adultes, adultes qui souvent n'ont pas réglé ler problème d'oedipe c'est-à-dire d'interagir autrement qu'avec autrui autrement qu'avec un schéma de transfert, en envisager davantage les forces et les énergie que les personnes ou la rencontre des gens.
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