LETTRE / Le rationalisme est né du sommeil de la raison
Extrait d'une lettre à Alexis de Saint-Ours. La prévcédnete lettre étant ici. Pour mieux compredre ce dont il est question voir l'entête de rubrique <physique quantique>.
Certains physiciens finissent pas dire que la physique quantique est une forme de déstabilisation mais c'est peut-être qu'à travers l'équation de schödinger qui définit le vecteur d'état, on cherche trop à imposer des vérités mathématiques. Grand leurre du rationalisme puisque toute démonstration est une fiction et qu'il faut remarquer que le rationalisme est né d'un sommeil de la raison les trois rêves de Descartes de novembre 1619. Je ne reprends là l'expression de Goya "Monstruos nacen del sueño de la Razòn". Ce sont les chimères. Chose étrange qui n'a été relevée par personne ; c'est d'emblée hors de l'usage de la raison que la chimère d'une connaissance absolue a été pensée ou devrais-je dire rêvée par Descartes. Hors tout rêveur, là je me fais "deleuzien", tôt ou tard fonctionne par exclusion, Deleuze prenait l'exemple des avant-garde comme le surréalisme ou le situationnisme : on écarte ce qui ne correspond à nos rêves. On en reste souvent à une critique du cogito mai c'est toute la science "géométrique" et non de finesse qui relève de cet idéalisme. Je sais que vous tenez à l'idéalisme mathématique mais les mathématiques sont au dire de ce même physicien critique envers la physique quantique un langage et non une science, un langage a ses règle alors que la science est soumise à ce que l'on nommait jusque là l'expérience.
Pour moi la grande question est pourquoi si la physique quantique est staticienne les bits informatiques contiennent à coup sûr un électron en état quantique et qu'il n'y a pas d'erreur, le simple mail que je vous envoie n'aurait pas été possible si l'état quantique n'ouvrait qu'à des probabilités. Sans doute sortons du système de la mesure (expérience de mesure) pour celui de l'expérimentation (voir Lumière et matière de Feynmann). Une chose est sur c'est que la réalité de la lumière obéit à sa propre hétéronomie, à ce sue l'on appelait jusque là de "lois", mais la lumière, jaunissant le papier, interagit sur la matière et en tant qu'appéhension récente de l'humanité sur le cerveau humain lui-même (on pourra penser à l'excitation que produit un écran d'ordinateur sur l'hypohise, pour donner un exemple terre à terre sans avoir à dire qu'il y a là un bouleversement de pensée). C'est par exemple une vielle illusion que la symétrie, mais le goût pour celle-ci déborde largement Kant pour toucher nombre de scientifiques encore aujourd'hui. Le même "physicien" dont je n'ai le nom s'opposant à cette brisure de symétrie, contrairement à Omnès ou Petiteau pour qui la physique quantique annonce la fin du réalisme naïf (Bergson dans la définition qu'il donne par moment de la philosophie comme vision naïve portée sur le monde est pris dedans).
Certains physiciens finissent pas dire que la physique quantique est une forme de déstabilisation mais c'est peut-être qu'à travers l'équation de schödinger qui définit le vecteur d'état, on cherche trop à imposer des vérités mathématiques. Grand leurre du rationalisme puisque toute démonstration est une fiction et qu'il faut remarquer que le rationalisme est né d'un sommeil de la raison les trois rêves de Descartes de novembre 1619. Je ne reprends là l'expression de Goya "Monstruos nacen del sueño de la Razòn". Ce sont les chimères. Chose étrange qui n'a été relevée par personne ; c'est d'emblée hors de l'usage de la raison que la chimère d'une connaissance absolue a été pensée ou devrais-je dire rêvée par Descartes. Hors tout rêveur, là je me fais "deleuzien", tôt ou tard fonctionne par exclusion, Deleuze prenait l'exemple des avant-garde comme le surréalisme ou le situationnisme : on écarte ce qui ne correspond à nos rêves. On en reste souvent à une critique du cogito mai c'est toute la science "géométrique" et non de finesse qui relève de cet idéalisme. Je sais que vous tenez à l'idéalisme mathématique mais les mathématiques sont au dire de ce même physicien critique envers la physique quantique un langage et non une science, un langage a ses règle alors que la science est soumise à ce que l'on nommait jusque là l'expérience.
Pour moi la grande question est pourquoi si la physique quantique est staticienne les bits informatiques contiennent à coup sûr un électron en état quantique et qu'il n'y a pas d'erreur, le simple mail que je vous envoie n'aurait pas été possible si l'état quantique n'ouvrait qu'à des probabilités. Sans doute sortons du système de la mesure (expérience de mesure) pour celui de l'expérimentation (voir Lumière et matière de Feynmann). Une chose est sur c'est que la réalité de la lumière obéit à sa propre hétéronomie, à ce sue l'on appelait jusque là de "lois", mais la lumière, jaunissant le papier, interagit sur la matière et en tant qu'appéhension récente de l'humanité sur le cerveau humain lui-même (on pourra penser à l'excitation que produit un écran d'ordinateur sur l'hypohise, pour donner un exemple terre à terre sans avoir à dire qu'il y a là un bouleversement de pensée). C'est par exemple une vielle illusion que la symétrie, mais le goût pour celle-ci déborde largement Kant pour toucher nombre de scientifiques encore aujourd'hui. Le même "physicien" dont je n'ai le nom s'opposant à cette brisure de symétrie, contrairement à Omnès ou Petiteau pour qui la physique quantique annonce la fin du réalisme naïf (Bergson dans la définition qu'il donne par moment de la philosophie comme vision naïve portée sur le monde est pris dedans).
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