PHILOSOPHIE / La certitude chez Descartes
Descartes est dans une pensée du fondement. Le fondement est
toujours second, il réclame toujours un second coup comme confirmation, fondation de ce qui était origial pour devenir l'originaire (l'origine).
L'hypothèse d'un malin génie l'empêcherait de connaître ce qui existe hors de lui. C'est pourquoi la seconde certitude qu'établit Déscartes écarte en même temps l'hypothèse d'un Dieu trompeur. Cette hypothèse est développer dans la troisième méditation. Il consiste à dire que l'idée de Dieu que Descartes a en lui ne peut avoir été mise par aucune autre créature que Lui-même, pour la simple raison que le concept d'une substance infinie ne peut que l'on fomre à propos de Dieu ne peut pas émaner d'un "moi", de la finitude d'humaine. C'est donc Dieu lui-même qui serait cause de son idée en "moi", en Descartes. On est dans un pensée du Pli, de la distinction entre un monde intérieur et un monde extérieur, et la question devient alors celle du lien de connaissance entre les deux empires (dont avec Spinoza nous avons pu critiqué l' "existence"). La preuve de 'lexistence de Dieu permet d'écarter l'hypothèse du malin génie puisque Dieu est garant de la connaisance, dans la mesure où iol ne peut nous vouloir nous tromper. Dieu n'est pas responsable de nos erreurs, mais c'est pour Descartes reprenant Augustin, le libre-arbitre, l' "esprit" de l'homme. Ainsi assuré que les "phénomènes" du "monde extérieur" sont "connaissables", Descartes peut avancer dans sa quête de certitudes. Alors viendra le Discours sur la méthode et la phyisque mécaniste de Descartes qui est une digestion et une régurgitation de la révolution copernicienne et des acquis de la physique de Galilée. Avec cette différence que le monde Descartes est dualiste, d'une côté la pensée immatérielle et inétendue et de l'autre la matière idénetifiée à l'espace régi par les nouvelles lois de la physique; C'est de là que repartira Spinoza (in Principes métaphyisques de la philoosphie de Descartes), même s'il critiquera le dualiste, l'empire dans l'empire que serait la conscience humaine ainsi que le traitement des passions par Descartes.
La question que l'on peutr se poser est alors existe-t-il une certitude immmédiate, la réponse avec Nietzsche serait non, et Wittgenstien confirmerait par cette simple phrase, prise dans ses derniers carnets, 'la seule certitude que onus ayons c'est la capacité d'agir de notre corps'. En effet on ne peut le savoir immédiatement, il faut l'expérimenter, l'éprouver cette même capacité pouvant augmenter puisqu'on on ne sait pas ce que peut un corps.
voir aussi la vérité chez Aristote.
L'hypothèse d'un malin génie l'empêcherait de connaître ce qui existe hors de lui. C'est pourquoi la seconde certitude qu'établit Déscartes écarte en même temps l'hypothèse d'un Dieu trompeur. Cette hypothèse est développer dans la troisième méditation. Il consiste à dire que l'idée de Dieu que Descartes a en lui ne peut avoir été mise par aucune autre créature que Lui-même, pour la simple raison que le concept d'une substance infinie ne peut que l'on fomre à propos de Dieu ne peut pas émaner d'un "moi", de la finitude d'humaine. C'est donc Dieu lui-même qui serait cause de son idée en "moi", en Descartes. On est dans un pensée du Pli, de la distinction entre un monde intérieur et un monde extérieur, et la question devient alors celle du lien de connaissance entre les deux empires (dont avec Spinoza nous avons pu critiqué l' "existence"). La preuve de 'lexistence de Dieu permet d'écarter l'hypothèse du malin génie puisque Dieu est garant de la connaisance, dans la mesure où iol ne peut nous vouloir nous tromper. Dieu n'est pas responsable de nos erreurs, mais c'est pour Descartes reprenant Augustin, le libre-arbitre, l' "esprit" de l'homme. Ainsi assuré que les "phénomènes" du "monde extérieur" sont "connaissables", Descartes peut avancer dans sa quête de certitudes. Alors viendra le Discours sur la méthode et la phyisque mécaniste de Descartes qui est une digestion et une régurgitation de la révolution copernicienne et des acquis de la physique de Galilée. Avec cette différence que le monde Descartes est dualiste, d'une côté la pensée immatérielle et inétendue et de l'autre la matière idénetifiée à l'espace régi par les nouvelles lois de la physique; C'est de là que repartira Spinoza (in Principes métaphyisques de la philoosphie de Descartes), même s'il critiquera le dualiste, l'empire dans l'empire que serait la conscience humaine ainsi que le traitement des passions par Descartes.
La question que l'on peutr se poser est alors existe-t-il une certitude immmédiate, la réponse avec Nietzsche serait non, et Wittgenstien confirmerait par cette simple phrase, prise dans ses derniers carnets, 'la seule certitude que onus ayons c'est la capacité d'agir de notre corps'. En effet on ne peut le savoir immédiatement, il faut l'expérimenter, l'éprouver cette même capacité pouvant augmenter puisqu'on on ne sait pas ce que peut un corps.
voir aussi la vérité chez Aristote.
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