Charles Ramond
Charles Ramond est l'introducteur d'une philosohie des termes, telle qu'elle appraît dans son introduction du Vocabulaire de Jacques Derrida et même si Derrida a produit aussi en superposition une philosophie des concepts. Antonia Soulez dit de lui qu'au moins, il fait ce qu'il dit et que son séminiare apporte au département, contrairement au groupe politique qui s'est approprié le département et qui a un tant créé une dissisdence à la Maison des Science Jumaines (Pris-Nord) pour les 4 professeurs qui ne souhaitaient pas être otage du blocage annuel et printanier de la salle A028. Ce que l'on retrouve chez Deleuze et dans son choix d'enseigner dans les préfabriqués tout en sachant que chaque matin après que son dilletante chauffeur et dealer Richard Pinhas soit venu l'amener, il falliat qu'il négocie avec les gardes rouges envoyés par Badiou pour s'assurer de pouvoir faire cour. Mais ceci nous éloigne de Charles Ramon grand spécialiste entre autres de Jacques Derrida et de Baruch Spinoza.
Il est aussi un défenseur de la charité, ce qu'il évoque succintement lors de l'intervention de catherine Malabou sur Spinoza. En tant que défensenur de l'accueil charitable qui est la base à une formation à (étude scientifique des textes plutôt qu'une éducation à la sauvagerie militante telle que défendue non par Goethe cette fois mais par Antonia Birnbaum, la féminsite cynique. On peut ainsi tenter un raprochement à la la philosophie de Merleau-Ponty. Merleau-Ponty affirme que le christianisme ne peut être compris comme une manifestation de dégradation de la vie ; c’est même, selon lui, exactement le contraire : le christianisme, estime-t-il, est « amour » et, par là, « surabondance de vie9 ». C’est pourquoi le christianisme lui paraît indissociable d’un engagement actif pour la justice ou la charité et contre la souffrance — indissociable, autrement dit, d’une « politique chrétienne ».