ARISTOCLES D'ATHENES / Phèdre - dialogue sur la rhétorique de Lysias
Socrate : [227a] Ô l'ami Phèdre *, où vas-tu donc et d'où viens-tu ** ? *
* c'est l'ami qui rend la parole vivante et animée, voir le Lysis, d'où l'incise en forme d'interjection, l'ami en devient même le rival, c'est tout l'art de la joute vanté par Nietzsche dans ses premiers écrits théorétiques. Phèdre, Φαῖδρος Πυθοκλέους Μυρρινούσιος, est le cousin germain du demi-frère de Platon. Demos, Aristocrate comme Platon, il évolue dans les cercles intellectuels d'Athènes, on le retrouve dans le dialogue du Protagoras, un autre sophiste.. ** ποῖ δὴ καὶ πόθεν, où et d'où ? L'anglais wither le rend mieux. Amusant ! On retrouve cela dans les verbe de mouvement russes : notmment пойти.
Phèdre : Je viens de chez Lysias *, fils de Céphale, ô Socrate, et je vais me promener hors les murs, car j'y passe souvent du temps assis là tôt le matin. Mais, suivant les conseils de notre compagnon **, à toi et moi, Acumène ***, je fais mes promenades sur les routes, car il dit qu'elles sont moins fatigantes que que de faire des tours de [227b] drôme *****.
* Lysias ; ** un hétaïre est un membre de club aristocratique d'une cité de l'Héllas classique ; *** Acumène, est comme son fils, Eryximaque présent dans le Banquet, physicien (comprenez médecin) et membre de la guilde de l'Asclépiade (Banquet, 186e) ; il est aussi un ami intime de Phèdre (Banquet, 177a). Alcibiade fait allusion à Acumène comme « le père des discours » d'Eryximaque, et il est également mentionné par Xénophon comme une autorité en matière de régime alimentaire et comme présentement pour ses conseils de vie ; **** stade pour la course à pieds, ce qu'on retrouve dans le mot hyppodrome.
Socrate : Joliment dit, cher ami. Lysias était donc en ville ?
Phèdre : Oui, chez Épicrate, dans le quartier de l'Olympiéion *, dans la villa Morychia **.
* temple de Zeus l'Olympien ; ** ancienne maison de Morichos, aux moeurs dissolus.
Socrate : Alors, quelle était la discussion ? Lysias vous a-t-il régalés de ses discours ?
Phèdre : Tu le sauras, si tu as le loisir de m'accompagner en marchant pour l'écouter.
Socrate : Que dis-tu ? Ne crois-tu pas que je ferais "au-dessus de toute occupation", comme le dit Pindare, l'effort d'écouter ton entretien avec Lysias ?
Phèdre : [227c] Eh bien, approche..
Socrate : Parle, je t'écoute.
Phèdre : Eh bien, Socrate, le propos va t'intéresser ; en effet, le sujet autour duquel nous avons conversé, je ne sais comment le qualifier, sinon qu'il était d'ordre érotique. Lysias a en effet écrit quelque texte tentant de persuader l'un des beaux jeunes hommes, non pas en tant qu'amant, mais c'est là justement où réside son habileté : il affirme qu'il faut accorder ses faveurs à celui qui n'aime pas plutôt qu'à celui qui aime.
Socrate : Oh, le bien né* ! Si seulement il écrivait qu'il faut accorder ses faveurs à un pauvre plutôt qu'à un riche, à un vieillard plutôt qu'à un jeune, et toutes les autres choses qui me concernent, moi comme la plupart d'entre nous ! Alors ses discours seraient vraiment chatoyants et utiles au peuple. Pour ma part, j'ai tellement envie d'entendre ce discours que même si tu faisais ta promenade jusqu'à Mégare et que, n'étant pas encore mort, tu revenais ensuite en passant par les remparts d'Hérodicos**, je ne te lâcherais pas.
* Quel parage ! Quelle noblesse ! Ah la noble personne ! ; ** Ἡρόδικον, Hèrodicos, on remarquera la similitude avec ἐρωτικός. Sans doute une allusion cachée. voir entre autres occurences, Protagoras 316e, République, 406a. Mégare se situe à 42 km d'Athènes soit la distance d'un Mmarathon.
Phèdre : Qu'en dis-tu, rès cher Socrate ? [228a] Penses-tu vraiment que je pourrais, en simple amateur, me souvenir de ce que Lysias, le plus habile des écrivains de notre temps, a composé avec tant de soin pendant une longue période ? Je suis loin de le pouvoir ; et pourtant, je préférerais être capable de cela plutôt que de posséder une grande richesse.
Socrate : Phèdre, si j'ignorais qui est Phèdre, j'aurais oublié aussi qui je suis. Mais ce n'est ni l'un ni l'autre. Je sais bien que, lorsqu'on écoute un discours de Lysias, on ne se contente pas de l'entendre une fois, mais on l'écoute plusieurs fois, demandant à Lysias de le répéter, et celui-ci s'exécuterait volontiers* [228b]. Cela ne lui suffirait même pas ; enfin, il prendrait le papyrus et examinerait les passages qui l'intéressent le plus. Et après avoir fait cela, assis depuis le matin, il se lèverait et partirait en promenade, persuadé, je crois, par le chien, qu'il saurait son discours, sauf s'il était trop long. Il se rendrait hors les murs pour s'exercer à le réciter. Rencontrant alors quelqu'un qui aurait soif d'entendre des discours, il se réjouirait de l'avoir comme compagnon de cette ivresse**, [228c] et lui demandait de continuer. Alors que l'amateur de discours lui demanderait de parler, il feindrait de refuser, prétextant qu'il n'avait pas envie de parler ; mais finalement, il serait prêt à parler, même si personne ne voulait l'écouter, et forcerait son auditeur à entendre. Ainsi donc, Phèdre, demande-lui de faire dès à présent ce qu'il ferait certainement de toute façon.
* à son gré ; ** frénésie ; ** conjure-le, supplie-le.ἐξέμαθον
Phèdre. Pour moi, en vérité, le mieux est de dire tout ce que je peux, car je pense que tu ne me laisseras pas partir avant que je n'aie parlé, de quelque manière que ce soit.
Socrate : Tout à fait, en effet, je crois que que tu es dans le vrai.
Phèdre : [228d] Par conséquent, je vais faire ainsi. Car, ô Socrate, je n'ai pas vraiment retenu * les termes exacts ; cependant, j'ai compris presque toute la pensée générale, et je vais passer en revue chaque point dans l'ordre, en commençant par le premier.
* ἐξέμαθον : le terme est inconnu
Socrate : Mais d'abord, mon cher, montre-moi ce que tu tiens sous ton manteau de la main gauche. Je devine que c'est le discours lui-même. Si c'est le cas, sache que je t'apprécie, et comme Lysias n'en distribue pas, je [souhaite]* en aucun cas m'exercer avec toi. Allez, montre-le-moi.
* δέδοκτα: le terme est inconnu : c'est pour cela que certian élude la phrase : s'il en est ainsi, je t'aime beaucoup, n'en doute pas,
Phèdre : Arrête. Tu as déjoué, Socrate, le souhait que j'avais en toi de m'exercer devant toi. Mais où veux-tu que nous nous asseyions et lisions ?
Socrate : [229a] Tournons le regard vers Ilysos puis trouvons un endroit tranquille où nous pourrons nous asseoir.
Phèdre : Il semble que j'ai bien fait de ne pas porter de chaussures, comme toi d'ailleurs, toujours. Ce sera donc plus facile pour nous de marcher en mouillant nos pieds dans l'eau, ce qui ne sera pas désagréable, surtout à cette période du jour et de l'année.
Socrate : Allons-y, et en même temps, cogitons un endroit où nous asseoir.
Phèdre : Vois-tu ce platane altier là-bas ?
Socrate : Comment ne pas le voir ?
Phèdre: [229b] Il y a là de l'ombre, une brise modérée, et de l'herbe pour s'asseoir ou même s'allonger si nous le souhaitons.
Socrate : Conduis-nous là-bas.
Phèdre : Dis-moi, Socrate, n'est-ce pas de cet endroit, le long de l'Ilissos, que l'on dit que Borée a enlevé Orithye ?
Socrate : C'est ce qu'on dit, en effet.
Phèdre : Alors, est-ce bien ici ? L'eau semble charmante, pure, et transparente, idéale pour que des jeunes filles y jouent.
Socrate : [229c] Non, c'est deux ou trois stades plus bas environ, là où nous traversons en direction d'Agrès ; il y a même un autel de Borée à cet endroit.
Phèdre : Je n'ai pas réfléchi du tout ; mais par Zeus*, Ô Socrate, crois-tu que ce mythologème soit vrai ** ?
* Διός : ce qui donnera notre terme Dieu/Dieux ; la flexion complète : nom. Ζεύς, voc. Ζεῦ, gén. Διός, dat. Διΐ, acc. Δία (ὁ) ; ** πείθῃ vient de πείθω ; μυθολόγημα vient de μυθολογέω, parfois traduit par mythologie ou récit myrhique ; ἀληθὲς peut prendre le sens en anglais de unconcealed, c'est-à-dire ouvert, son opposé renvoyant à ce qui est dissimulé, caché, occulté, tu, tenu secret.
Socrate : Mais, si je doutais comme le font les sages, ne serais-je pas un peu étrange ? Ensuite, je pourrais faire montre de sagesse et dire qu'Orithye, en jouant avec Pharmacie, a été poussé contre les rochers tout proches et qu'ainsi morte, on dit qu'elle a été emportée par un coup de vent de Borée [229d] -- Ou bien, on dit qu'elle a chuté depuis l'Aréopage ; c'est l'autre version de cette histoire. Mais pour moi, Phèdre, ces récits sont charmants, mais ils sont bien trop complexes, fatigants, et pas vraiment l'affaire d'un homme heureux. en d'autres termes, je ne le suis pas du tout, car c'est que cela l'obligerait à corriger le mythe des Centaures, et celui de la Chimère, et ensuite il serait inondé par une foule d'autres histoires aussi absurdes que celles des Gorgones, Pégase, [229e] et autre multitude de créatures * . autres multitudes indisciplinées et monstrueux de toute nature, Si quelqu'un, par incrédulité, s'attaquait à ces histoires, pour les expliquer de manière plausible, comme le ferait quelqu'un de rustique et de sage, cela lui demanderait de nombreuses efforts. Mais moi, je n'ai pas le loisir à cela. Et la raison, cher compagnon, en est celle-ci : je ne suis pas encore capable d'après la formule delphique** de me connaître moi-même ; il me semble donc ridicule [230a] alors que j'ignore encore qui je suis, de m'occuper de ces questions étrangères. C'est pourquoi, laissant de côté tout cela et me fiant à ce qu'on raconte à leur propos, ce que je disais à l'instant, je n"examine pas ces choses mais moi-même. S'il se trouvait que je sois quelque bête plus complexe et désirable typhon plus compliqué et plus désirable, ou un typhon plus moderne. et participant par nature à une sorte de destinée divine et sans orgueil.Mais, ô compagnon, trêve de discussion***, n'est-ce pas là l'arbre vers lequel tu nous conduisais ?
* atopiens ; fabuleuses et extraordinaires ; ** γράμμα : lettre ; *** μεταξύ : dans l'intervalle, au milieu entre, entre les deux : μεταξὺ τῶν λόγων. En allemand : zwischen, dazwischen (cf. Zwischenraum, Intervall).
Phèdre : [230b] En effet, c'est bien celui-là.
Socrate : Par Héra, c'est un endroit magnifique. Ce platane est à la fois large et élancé, par la hauteur de ses branches et son bel belle ombrage. De plus, il est en pleine floraison, rendant l'endroit très parfumé. La source, aussi, est très charmante, coulant sous le platane avec une eau vraiment fraîche, qu'on peut apprécier en y trempant le pied. Il semble même que cet endroit soit consacré à certaines nymphes et à Achéloos, à en juger par les statuettes et les offrandes. [230c] Si tu veux, apprécie aussi la douce brise de ce lieu, qui est très charmant, et le chant des cigales, léger et estival. Mais ce qu'il y a de plus délicat, c'est cette herbe en légère pente, parfaite pour reposer la tête lorsqu'on s'allonge. Tu as vraiment choisi le meilleur endroit, mon cher Phèdre.
Phèdre : Et toi, ô homme extraordinaire, tu sembles vraiment des plus étranges 'invisibles). Ce que tu dis est tout à fait semblable à ce qu’on pourrait entendre de la part d’un étranger, et non d’un homme du pays. [230d]. Ainsi, tu ne sembles jamais quitter la cité pour voyager au-delà de ses limites, ni même sortir tout à fait hors les murs d'enceinte.
Socrate : Pardonne-moi, ô meilleur*. Je suis un érudit**. Or, ni les campagne et ni les arbres ne m’apprennent quoi que ce soit, mais les citadins, oui. Cependant, tu sembles avoir trouvé le remède à mon manque d'excursion. De même que ceux qui nourrissent des animaux affamés les mènent en agitant devant eux des branches ou des fruits, ainsi, en me présentant des discours contenus dans des livres, [230e] tu sembles être en mesure de me faire parcourir tout l’Attique et même ailleurs si tu le souhaites. Et maintenant que nous sommes arrivés ici, je souhaite m’allonger, et toi, prends la posture qui te semblera la plus confortable pour lire, et commence à lire.
* ὦ ἄριστε ; ** Φιλομαθὴς ; τὰ μὲν οὖν χωρία καὶ τὰ δένδρα : ni les hameaux/localités/contrées et ni les arbres δοκῶ : δοκάζω, attendre que, chercher à (1er pers. sg fut ind) ou δοκέω souhaite, attendre. (1er pers.sg pres subj)
expect
Phèdre : Alors écoute.
Te voilà instruit de mes affaires 0, et, j'estime 1 que c'est dans notre intérêt que tu en aies entendu parler ; mais je mérite 2 de ne pas échouer, pour [231a] ce que 3 je ne me trouve 4 pas être ton aimé 5. En effet, les aimants regrettent leurs bonnes actions quand leur désir a cessé ; mais ceux qui n’aiment pas ne connaissent pas ce regret, car ils agissent de leur propre volonté, selon ce qu’ils estiment être le mieux pour leurs affaires, dans la mesure de leurs capacités. Mais De plus, les aimants, conscients de ce qui ne va pas chez eux à cause de l'amour et quelles douleurs ils se sont infligées [231b], en raison de leur passion, se rappellent aussi les bonnes actions qu’ils ont accomplies, et, ajoutant à cela les peines qu’ils ont endurées, estiment avoir déjà largement payé leur dette de gratitude envers ceux qu’ils aiment. De plus, si pour cela [par amour] [231c] les aimants 7 estiment beaucoup ceux qu'ils disent aimer et dont ils sont amoureux et alors ils sont prêts, et par les paroles, et par les actions, à se faire détester des autres pour faire plaisir à ceux qu'ils aiment. Quant à ceux qui tombent amoureux de ces derniers, car on dit qu’ils aiment le plus ceux qu’ils désirent, et qu’ils sont prêts à se faire détester des autres pour plaire à leurs bien-aimés, il est facile de voir, en vérité, que ces mêmes aimants, lorsqu’ils tombent amoureux d’autres personnes, les préféreront à ceux qu’ils aimaient auparavant, et il est évident que, si cela leur semble bon, ils maltraiteront également ces derniers. Comment, alors, pourrait-on se laisser entraîner dans une telle situation, qui ne manquerait pas de mener à un malheur que personne d’avisé ne chercherait à provoquer ? alors comment peuvent-ils avoir bien réfléchi à ces choses, ont-ils décidé où elles se trouvent ? les êtres trouveront le mérite de ton amitié.
τῶν ἐμῶν πραγμάτων / ;1, ἀξιῶ de ἀξιόω, penser : "je considère", "je demande", "je pense être digne" ; 2, δέομαι : j'ai besoin, je demande ; 3, διὰ τοῦτο : à cause de cela, pour cette raison, pour la simple raison, parce que... ; 4, ἐραστὴς ; 5, τυγχάνω : "je me trouve être", "je suis" ; 6, "Ceux qui regrettent et se repentent alors de ce qu'ils ont fait, parce qu'ils ont cessent de désirer cela ; mais pour ceux qui n'aiment pas, il n'y a pas de temps pour se repentir b [ce qu’ils estiment être mieux]." ; a, μεταμέλει de μεταμέλω/μεταμέλομαι : ils se repentent ; b, μεταγνῶναι : se repentir ; 7, τοὺς ἐρῶντας ; περὶ πολλοῦ ποιεῖσθαι : tenir en grande estime, estimer beaucoup ; 9, ὧν ἂν ἐρῶσιν : ceux dont ils sont amoureux ; καλῶς ἔχειν : être correct ; διακείμενοι βουλεύονται : étant disposés à prendre des décisions
Si tu observes la loi établie, par peur que les gens n'apprennent ce qui te déshonore, il est probable [232a] que les amoureux, croyant qu’ils sont jalousés 0 par les autres tout comme ils le sont par eux-mêmes, se sentent poussés à se vanter et, par ambition, à montrer à tous que leurs efforts n’ont pas été vains ; mais ceux qui n’aiment pas, étant plus sages, préfèrent choisir ce qui est le meilleur, plutôt que ce qui apporte la gloire aux yeux des autres. le sacrilège. De plus, les aimants attirent nécessairement l’attention sur eux, car on les voit toujours suivre leurs bien-aimés et accomplir toutes sortes d'actions pour eux. Ainsi, lorsque l’on les voit converser ensemble, on suppose qu’il s’agit soit d’un désir passé, soit d’un désir à venir. Mais ceux qui n’aiment pas ne risquent aucun reproche pour leur simple compagnie 1, car on sait qu’il est normal de converser avec quelqu’un soit par amitié, soit pour d’autres plaisirs. Et si tu redoutes qu'une amitié ne puisse se maintenir en cas de différend, et que ce dernier devienne une source commune de malheur pour les deux, tandis que si tu cèdes sur ce qui te tient le plus à cœur, cela pourrait te causer un grand dommage 3, tu aurais raison de te méfier davantage de ceux qui aiment [des aimants]. Car ils ont beaucoup de sujets de souffrance, et ils pensent que tout ce qui arrive est pour leur propre malheur. C'est pourquoi ils détournent leurs bien-aimés de toute autre compagnie, craignant que ceux qui possèdent des richesses ne les surpassent en biens matériels, ou que ceux qui sont éduqués ne deviennent supérieurs en intelligence ; ils se méfient également de ceux qui possèdent d'autres qualités particulières. En te convainquant de les détester, ils te condamnent à la solitude d'amis. Mais si, en prenant en compte ton propre intérêt, tu juges qu'il vaut mieux qu'eux, tu finiras par te retrouver en conflit avec eux. Ceux qui n'aiment pas, mais qui agissent par vertu, ne jalouseraient pas ceux qui les accompagnent, mais haïraient ceux qui ne veulent pas, estimant qu'ils sont négligés par eux mais aidés par ceux qui sont présents. Ainsi, il y a beaucoup plus d'espoir qu'une amitié naisse de ces circonstances que l'inimitié.
0, enviés ; 1, lorsqu'on les accuse de fréquenter quelqu'un ; 3, préjudice ; 4, par anachronisme ou rétropolation on traduit par tu aurais raison de... ou il est raisonnable de te...
Par ailleurs, nombre d'aimants désirent d’abord le corps avant de connaître 1 le caractère de l’autre ou d’être familiarisés avec ses autres qualités, si bien 2 qu’il est incertain [de savoir] s’ils voudront encore être amis lorsque leur désir aura cessé 3. [233a] En revanche, ceux qui n'aiment pas 4, ayant déjà été amis avant d'agir, ne verront pas leur amitié diminuer par les bienfaits qu'ils recevront, mais considéreront ces bienfaits comme les prémices de ce qui est encore à venir 5. Et pour toi, il vaut mieux 6 te fier à moi 7 qu'à un aimant. Car eux, même contre ce qui est le mieux, louent autant les paroles et les actes 8, dans la crainte d'être détesté [233b] et même s'il savent que leurs actions sont pires 9 au travers de leur désir 10. C'est ainsi que l'amour se montre malheureux 11 : il pousse les aimants à considérer comme pénible 12 ce qui ne fait pas de peine aux autres, et obtenir des louanges ce qui n'est pas digne de jouissance. Il est donc bien plus approprié d'éprouver de la pitié pour les aimés que de les envier. Mais si tu m'obéis cf. 7, je serai avec toi, non pas en recherchant le plaisir présent, mais [233c] avec pour objectif un bénéfice futur, ne cédant pas au désir mais en me maîtrisant moi-même. [fin de la correction] Je n’agirai pas par petites querelles pour provoquer une forte inimitié, mais avec de grandes raisons, en gardant lentement une légère colère, ayant de l’indulgence [233d] pour les actions involontaires et essayant de corriger les volontaires. Ce sont là des preuves d'une amitié qui durera longtemps. Si tu penses qu'il n'est pas possible de former une amitié solide sans qu'il y ait de désir amoureux, alors il te faut réfléchir au fait que ni nos fils, ni nos parents, ni nos amis les plus fidèles ne sont devenus précieux pour nous à cause d’un tel désir, mais pour d’autres pratiques
1, ἔγνωσαν : ils ont connu ; 2, ὥστε : de sorte que, si bien que ; 3, ἐπειδὰν παύσωνται : lorsqu'ils cessent ; 4, μὴ ἐρῶσιν : ceux qui n'aiment pas. ; 6, τῶν μελλόντων ἔσεσθαι : qui arriveront comme choses futures, qui seront à venir : on pensera au participe futur du verte être (futura) en latin, ce qui est à être, ce qui n'est pas encore ; 6, προσήκει : il convient de, il est préférable de ; 7, γενέσθαι ἐμοὶ πειθομένῳ : devenir en m'obéissant, suivre mes conseils, devenir mon disciple, mon suivant ; 8, τά τε λεγόμενα καὶ τὰ πραττόμενα : ce qui est dit ou fait, les paroles et les actions, les légomènes et les prattomènes ; 9, χεῖρον : pires : 10, traduire διὰ par l'italien tra, à travers, plutôt que d'indiquer comme classiquement, la cause ou la raison d'une chose, et ce, pour maintenir comme le souhaite Platon la parole animée et vivacen plut^ot que figée dans le biais de la cause unique et le mo,ocausalisme ; 11, δυστυχοῦντας : malheureux, 12, ἀνιαρὰ : pénible à penser.
[reprise de la correction] Et encore, s'il faut faire avant tout plaisir 1 à quelqu'un, autant que ce soit aux plus nécessiteux qu'aux meilleurs 2, mais aux plus démunis ; car, ayant été délivrés des plus grands maux, ils auront envers toi la plus grande gratitude 3 [fin de la correction]. Et en effet, dans les dépenses personnelles, il ne faut pas inviter ses amis, mais ceux qui demandent et ont besoin de satiété ; car ceux-là aimeront, suivront, viendront aux portes, se réjouiront surtout et auront la plus grande reconnaissance, et prieront pour beaucoup de biens pour eux. Mais peut-être qu'il est approprié de ne pas faire des faveurs à ceux qui en ont le plus besoin, mais à ceux qui peuvent rendre la faveur le plus. Non pas seulement à ceux qui demandent, mais à ceux qui sont dignes de la chose. Non pas à ceux qui jouiront de ta beauté, mais à ceux qui, devenus plus âgés, partageront leurs biens. Non pas à ceux qui se vanteront d’avoir agi devant les autres, mais à ceux qui, ayant honte devant tous, garderont le silence. Non pas à ceux qui s'efforcent un court moment, mais à ceux qui resteront amis tout au long de leur vie. Non pas à ceux qui, ayant cessé de désirer, chercheront un prétexte pour l’inimitié, mais à ceux qui, quand le moment sera passé, montreront alors leur propre vertu. Donc, souviens-toi de ce qui a été dit et réfléchis-y : les amis avertissent les amants que leur comportement est mauvais, mais aucun proche n’a jamais blâmé ceux qui n’aiment pas, comme s’ils prenaient de mauvaises décisions pour eux-mêmes à cause de cela.
,1, faire des faveurs, falre plaisir ; 2, les nécessiteux, ceux qui sont dans le besoin, les plus démunis ; 3, il est approprié de, il convient de, il est préférable de.
Peut-être que si vous tombez amoureux de moi, je vous conseille de ne pas vous laisser aller à l'amour. Je ne sais pas si vous répondez à celui qui pose la question, ceux qui posent la question ont cet [234c] esprit. Car il n'est pas possible que celui qui reçoit la grâce ait une valeur égale, ni celui qui prend soin des autres de la même manière, mais il n'y voit aucun mal, mais un bénéfice lui est apporté. Je pense donc aux choses qui me suffisent ; si vous désirez <quoi>, l'abbé est indulgent, demandez-le.
À ton avis, Socrate, quelle en est la raison ?
Socrate : [234d] Démoniaquement avec oὖν, ὦ ἑταῖρε, pour me surprendre. Et c'est ce que j'ai souffert pour toi, ô Phèdre, envers le voyant, car j'ai voulu être trouvé parmi les devins ; car, en tant que prêtre ou moi, tu m'as promis de telles choses, et ensuite je suis entré en communion avec toi, le chef divin. .
Phèdre : Oui, c'est comme ça qu'ils essaient de jouer ?
Socrate : Est-ce qu'ils jouent avec vous et n'apprennent pas ?
Phèdre: [234e] Médamus, Socrate, mais comme je l'ai dit avec raison à l'ami Zeus, si un Grec avait autre chose à dire que cela, je serai ici et là à ce sujet ?
Socrate : Et ce discours est loué par moi, comme les paroles du poète, mais pas seulement, parce qu'il est clair et rond, et exactement un des noms est refusé, mais il m'est venu sous mon [235a] ? le néant ; car c’est seulement à sa rhétorique qu’ils prêtent attention, et ce n’est pas le cas à moins que lui, Lysian, en soit capable. Et si tu l'es, Phèdre, tu ne dis pas que tu l'es, et de cette manière qui, si ces choses sont dites d'un côté et de l'autre, l'un et l'autre le disent excellemment.
Phèdre: [235b] Tu ne dis rien, ô Socrate, car c'est bien ce que dit le discours. En effet, rien n'est réellement dit des êtres dignes, de sorte que, outre les choses qui lui sont dites, on ne peut jamais rien dire de choses de plus en plus dignes.
Socrate : Ce que je vous dis, personne ne le croira, car des vieillards et des sages ont écrit à leur sujet, examinez-moi, si cela vous plaît, je vous pardonnerai.
Phèdre: [235c] où sont-ils ?
Socrate : Or, je ne l'ai pas dit, mais on dit que j'en ai entendu parler, ou de Sappho, le bon, ou d'Anacréon, le sage, ou de quelques écrivains. Pourquoi je dis par présomption ? Que malgré moi je n'en comprenais aucun, alors j'ai vu, conscient de ma propre ignorance ; je manque, je ne suis pas des désirs des autres [235d] les prières pour l'audition seront remplies comme un vase. Mais selon votre compréhension, cela prendra également fin, comme je l'ai entendu de votre part.
Phèdre: Oh, mon courage, vous avez une bonne réputation. Car vous, même si vous m'avez entendu, ne parlez pas, mais ce que vous dites, vous valez mieux que ceux du livre proportionné à Que Delphi soit bénie, non seulement pour moi, mais aussi pour vous.
Socrate : Tu as raison. Mais écoute le reste, car cela empêcherait peut-être l’issue. Ceci donc, Dieu le veut, mais nous reparlerons à l'enfant.
C'est, ô porteurs ; ce qui n'arrive pas à celui qui est député, est dit et fait, mais sans lui [238e] le reste, nous appelons le bien ou le mal de celui qui aime et n'arrive pas à lui. celui qui est doué.
Celui qui n'est pas poussé par le désir est travaillé par le besoin agréable qu'il se prépare comme un chapeau ; mais celui qui ne s'y oppose pas est malade partout, et il le traite d'ennemi égal.
[239a] Il n'est ni méprisé ni considéré comme un amant, il endure enfantinement, mais même lorsqu'il est vaincu, il travaille; mais lorsqu'il est ignorant, un homme sage, un lâche de courage, incapable de parler rhétoriquement, une nuit d'anxiété. Tant de maux, et même plus, selon l'esprit de l'amant, sont la nécessité du bien-aimé, et la nature des êtres [d'eux] ne vient pas, mais ils les préparent, ou la privation de la vaine convoitise. Il n'est pas nécessaire de recourir à la luxure et à bien d'autres rapports avortés et bénéfiques, même s'ils n'étaient pas pratiqués, ils sont une grande cause de mal, mais le plus grand d'entre eux s'ils ne sont pas prudents. C'est ce qu'est la philosophie divine, quand le besoin enfantin de l'amant est satisfait, de peur d'être méprisé ; les autres mécanismes sont comme s'ils étaient toujours ignorants et guettent toujours l'amant, qui me plaît, mais nuisible. à lui-même si c'est le cas. Donc, selon l'intellect, le commissaire est aussi un homme social non rentable et qui a de l'amour.
Quant au corps, guérissez-le partout et de la manière dont il guérit, partout où il devient un maître, qui ici est obligé de persécuter pour de bon, voyez après cela. Il n'atteint ni les persécuteurs doux ni fermes, non pas sous le soleil pur, mais sous l'ombre mêlée de douleurs et de sueurs sans fin, mais expérimentés dans un régime léger et peu viril [239d], dans des couleurs et des mondes différents, qui ornent ses maisons bien que d'autres. puis toujours en s'efforçant de faire ce qu'ils ont fait et qui ne vaut pas la peine, ils continuent, mais ils sont un chapitre déterminé sur un autre, pour un tel corps dans la guerre et dans d'autres nécessités que les grands ennemis osent, mais que les amis et les amants craignent.
Ceci donc, comme delon eateon, le d'efexis rheteon, [239e] tina bénéfice ou tina préjudice concernant la possession, le discours de l'orateur et de la commission est donné. Cela est clair pour moi tous, et même pour le bien-aimé, car un orphelin des philates et des états favorables et pieux est surtout béni s'il est le bien-aimé, car son père et sa mère, ses parents et ses amis seront privés s'il le reçoit ; , [240a] bienheureux et honoré abbé des hedistis lui parlant. Mais ne soyez pas nécessairement traité comme un possesseur d'or ou de tout autre bien, ni comme un vulnérable, ni comme un pauvre, traité avec bienveillance, dont tous les enfants nécessiteux et bien-aimés envient ceux qui sont essentiellement acquis, mais sont heureux quand ils l'ont été. libéré. Qu'ils voient célibataires, sans enfants, sans abri car la plupart du temps un amant enfantin est heureux s'il naît, cette douceur comme la plupart du temps est le fruit des désirs.
Il n'a pas fait d'autres maux, mais les démons mêlés au plaisir de la majorité [240b], qui est une bête, une bête et un grand mal, mais la nature a mélangé les plaisirs d'un homme, et ils les ont comparés comme nuisibles, si, et encore lah de ces frémissements et de ces prétentions qu'on retrouve tous les jours ; et des amoureux enfantins du nuisible et du quotidien [240c] de tout ce qui répugne. Pour les hommes, que même le vieux mot ne plaise pas aux hommes - car je suis égal dans le temps aux plaisirs égaux obtenus par similitude, l'amitié est assurée - mais, néanmoins, leurs relations sexuelles ont aussi une couronne. Et ne faites pas ce qui est nécessaire, donc c'est difficile de tout dire sur tout ; qu'est-ce qui ne va pas avec la dissemblance, en fait, l'amour est enfantin. Car pour le plus jeune, l'aîné n'est ni le jour ni la nuit, mais par [240d] besoin et oisstrus il est reçu, qui avec plaisir ae diodes oui, voyant, ouïe, aptomènes, et tous les sens sont morts chez l'amant, comme avec plaisir Il mais à l'amant, quel conte de fées ou ton plaisir fera-t-il ensemble en même temps, non pas à la dernière venue de l'abomination - en voyant dans les yeux de l'aîné et non dans le temps, mais en suivant les autres, pour cette raison [240e] e dans N'écoute pas, parce que tu ne te traites pas comme un travail de nécessité, n'emprisonne pas le gardé pour tout et à tout le monde, loue et exagère ton audition, comme si tu ne tolérais pas les choses de dormeur, mais tu es ivre à l'insupportable ?
Et il était nuisible et dégoûtant, mais la fin de l'amour dans les temps ultérieurs était infidèle, à qui, après de nombreux vœux et prières, avec une puissance décroissante [241a], il la possédait parce que dans les rapports sexuels à ce moment-là, ils essayaient de susciter l’espoir de bonnes choses. Alors ils ne devraient pas s'exaspérer, changer en eux-mêmes un autre dirigeant et protecteur, l'esprit et la sobriété au profit de l'amour et de la rage, un autre événement qui met fin aux choses enfantines. Et celui qui, pour lui, demande à ceux-là à ce moment-là, se souvenant de ce qui a été fait et dit, comme s'il avait été choisi, mais il n'ose même pas dire que quelque chose d'autre s'est produit, ou comme les serments et les promesses [241b] de le principe insensé précédent [241b] l'entrave, Ils sont déjà alertes et prudents, de sorte que je ne fais pas la même chose avec le précédent et celui-ci se reproduit. Il n'y a pas d'échappatoire, et l'ancien amant, tombé par nécessité, est obligé de fuir les changelings ; mais il est obligé de persécuter ceux qui sont irrités et méprisants, ignorant tout depuis le début, parce qu'il le fait. Je ne vois pas qu'il peut, et par nécessité, être incorruptible, [241c] mais il est bien plus probable qu'il n'aimera pas, et qu'il le fera, et sinon, il devra l'habiller en incrédule, difficile, envieux, abominable ; nuisible à l'essence, nuisible au corps, mais très nuisible à l'éducation de l'âme, qui ni les hommes ni les dieux ne sont plus honorables que la vérité, ne l'est ni ne le sera jamais. Ceux-là donc, ô Pai, qu'ils soient d'accord et sachent que l'amitié d'un amant ne se fait pas avec faveur, mais sous forme de pain, pour l'amour de l'abondance, [241d] comme les loups aiment un agneau et les enfants s'embrassent. un amoureux.
C'est ça *, Phèdre. Ce n'est pas grave si vous m'entendez dire la fin, mais je suis déjà à la fin de l'histoire.
* c'est cela sera à l'origine de notre oui, du oc occitan et arpitan, du si castillan, catalan, italien et toscan, puisque'en latin, on dit Hoc ille est. Les transformations dans le temps on été différents métaplasmes comme l'aphérèse, l'apocope et la crase.
Phèdre : Asseyez-vous au milieu de lui, et il en est de même pour celui qui n'aime pas, car il voit que vous lui plaisez, en disant ce qui est bon pour lui. Mais maintenant, Socrate, qu'est-ce que le reste ?
Socrate : Ô Dieu, car j'ai déjà prononcé des louanges, et s'ils ne me louent pas, que me feront-ils, par la providence, dois-je clairement exciter ? Et à quoi ça sert un long discours ? Et donc le mythe selon lequel il souffre ne lui appartient pas, cela [242a] est convaincu ; et je quitte le fleuve de cette malédiction avant que vous ne soyez obligés de faire quelque chose de plus grand.
Phèdre : Dis-le-moi, Socrate, avant que l'incendie ne disparaisse. Ne voyez-vous pas qu'il est déjà presque midi ?
Socrate : Tu es un dieu de la raison, Phèdre, et tu es un dieu habilement merveilleux. Car c'est moi qui parle des événements de ma vie [242b], ou des événements inventés, c'est-à-dire lui raconter ou forcer les autres de cette manière - j'exclus Simmien de Thèbes, mais vous en soutenez bien d'autres - et maintenant tu essaies de raisonner, ça m'est arrivé λογῳ τινὶ ῥηθῆnai.
Phèdre : Vous ne proclamez pas la guerre. Mais pourquoi ne pas faire quoi avec ça ?
Socrate : Dans l'avenir, homme bon, ils traversent la rivière, le démon et ce signe m'est arrivé [242c] - oh, ne m'arrive pas, quoi que je fasse à l'avenir - et quelle voix j'ai louée de sa part, fais-tu écoutez, il ne m'a pas rencontré avant si je me consacre, comme si c'était un péché contre Dieu. Je ne suis pas un devin, je ne suis pas grand du tout, mais aussi mauvais que les lettres, dans la mesure où j'en suis seulement capable, alors je prédis déjà le péché ; Qu'ils disent, ô compagnon, que l'âme aussi soit devin : car j'étais brisé en répétant la parole encore et encore, et combien je souffrais selon Ivykon, pas devant les dieux.
[242d] honore les hommes ;
Maintenant, je ne me souviens plus du péché.
Phèdre : Que dis-tu ?
Socrate : Ô Phèdre, ô Phèdre, telle est la parole que tu m'as dite et que tu m'as forcé de prononcer.
Phèdre : Comment ça ?
Socrate : Bienheureux et pour quelle impiété ; et s'il était pire ?
Phèdre : Aucun, tu dis la vérité.
Socrate : Et alors ?
Phèdre : Kegetai ge dei.
Socrate : Ce n'est pas à cause de Lysius, ce n'est pas à cause de ta parole, que tu as droguée par ma bouche. S'il est, comme il est, un dieu ou un dieu, Eros n'a rien fait de mal, mais à cause de son sommeil, on a parlé de lui comme d'un tel être, c'est pourquoi il a péché à propos de l'amour, parce que la vérité sur lui est ; ridicule, celui qui ne parle pas bien [243a] ne sois pas vraiment modeste comme tu l'es, si tu as trompé quelques hommes, qu'il prospère parmi eux. Moi donc, mon ami, j'ai besoin d'être purifié ; mais pour ceux qui pèchent au sujet de la mythologie, il existe un ancien pur, qu'Homère n'a pas établi, Stisichoros. Car les nations privées de la méchanceté d'Hélène ne l'ont pas ignoré comme Homère, mais un musicien qui connaît la cause et qui est responsable...
C'est une raison honorable,
Tu n'as pas fait un bon rêve,
[243b] οὐδ᾽ Ἵκεο Pergame de Troie ;
Et pourquoi n’ont-ils pas tous négligé ce qu’on appelle Palinidea parachrima. Moi donc, plus sage que ceux-là, je suis né ainsi ; avant qu'ils ne souffrent de la méchanceté de l'Amour, je le tente de lui donner la palinida, nue sur la tête et non, comme alors, couverte de maigreur.
Phèdre : Tutoni, ὦ Socrate, ce n'est pas du tout le cas si je le dis.
Socrate : [243c] Et puisque, bon Phèdre, tu veux dire que la raison a été soulevée, c'est aussi ce que tu dis dans le livre. Car si vous écoutez le sort de notre bravoure et de nos actes, la morale d'un autre, ou même plus tôt, lorsque vous tombez amoureux, en disant qu'à cause d'un petit, grand ennemi, les amants sont perdus et ont une envie et une souffrance enfantines, comment pouvez-vous tu ne le comprends pas ? tu es un marin brisé et sans amour libre en vue, et s'ils nous voient et confessent que nous mentons sur l'amour ?
Phèdre : Ἀσος νὴ Di᾽, ὦ Socrate.
Socrate : C'est ce que je semble faire, et c'est l'amour, je souhaite pour une bonne raison que vous m'écoutiez.
Phèdre : Mais sache qu'il en est ainsi ; car quand tu entends les louanges de ton amant, Lysien sous mon [243e] est obligé d'écrire sur son discours.
Socrate : Je le crois, pour ce que tu es.
Phèdre: Dis qu'ils sont courageux.
Socrate : Où vas-tu à qui on dit ?
Phèdre : Il est près de toi, il est proche, quand tu veux.
SOCRATE : Ainsi disent-ils, ô brave homme, comprends comme le [244a] ancien discours de Phèdre de Pythocleus, l'homme de Myrrhinus, qui fut plus tard appelé Stisichorus d'Euphimus, Himeraeus. Et il est dit ici que ce n'est pas une parole honnête que si un homme présent aime un homme qui ne veut pas, il sera plutôt content, car il ne se met pas en colère, mais il punit. Car s'il s'agissait simplement de rage, c'est mal, ce serait bien si on le disait, mais maintenant le plus grand de nos biens se fait par la rage, tante menti dosi didonomeni. Car il n'y a pas de prophètes à Delphes, ni de prêtres à [244b] Dodone, qui travaillent bien dans la Grèce privée et publique, mais qui sont punis pour peu de temps ou teintés de beaucoup de gloire. Beaucoup de prédicateurs de l'avenir ont été corrigés, passons à autre chose ; loin si tous ceux qui le disent. Alors il n'est pas digne de se plaindre, car même les anciens, quand les noms étaient fixés, n'étaient ni honteux ni honteux, [244c] car si l'on ne fait pas au beau, par qui l'avenir est jugé, ils appelaient cela nommer une manche, impliquant ce nom. Mais comme un être bon, quand cela arrive par le destin divin, c'est ce qu'ils pensaient que c'était le cas, mais ceux qui le contestaient maintenant l'appelaient un oracle. Et le jour des présomptueux, demandant l'avenir à travers les poulets et les autres signes, de sorte que de l'intellect des hommes, ils l'appellent aussi histoire, ioniste, [244d] que les jeunes invoquent désormais le dernier et le plus honorable. divination iconoclaste, nom du nom de l'œuvre de l'œuvre, tant les anciens témoignent de la folie d'une sagesse venue de Dieu plutôt que des hommes.
Mais des maladies et des douleurs des plus grands, qui n'ont pas vu des messages de l'ancienne génération la rage née et prophétisée, qui ont vu [244e] la délivrance trouvée, se réfugiant dans les dieux de joie et d'adoration, dont je les ai purifiés et ayant des rites pour le présent et le futur, elle trouva une solution aux justes manédites et aux dépossédés [245a] des maux présents. Et troisièmement, des Muses, la rage, recevant une âme douce et innocente, s'élevant et s'écriant contre les ᾠdas et contre d'autres poésies, une myriade d'œuvres anciennes ornant l'accompli qui, sans la rage des Muses, arrive aux portes ; de la poésie, convaincu comme tel d'être un poète capable d'art, il était aussi imparfait, et la poésie des enragés ou des condamnés apparut.
[245b] Tant et si bien, et quand je navigue, j'ai une colère provoquée par les dieux, ils disent de bonnes œuvres. N'ayons pas peur de cela, que nos paroles ne nous dérangent pas, comme si celui qui est ému par le safran choisissait un ami, mais alors à ce spectacle j'apporte les victoires, car l'amour ne profite pas à l'amant. et le bien-aimé des dieux. Au contraire, nous qui sommes éprouvés, comme par le plus grand bonheur [245c] devant les dieux, une telle fureur est donnée ; mais si vous ne le prouvez pas, vous souffrirez comme un incroyant, mais sage comme un croyant. Voyez donc d'abord la nature de l'âme concernant le divin et l'être humain, voyant les passions et les œuvres véritables, et comprenant ; mais voici le début de la preuve ;
Âme toute immortelle. Car l'immeuble est immortel ; le second est en mouvement et le second est en mouvement, tantôt il a du mouvement, tantôt il a la vie. Seulement, ils ne se meuvent pas, ils ne cessent pas d'être eux-mêmes, ils ne cessent pas non plus d'être mûs, mais aussi pour les autres, ce qui meut est la source et le commencement du mouvement.
[245d] En commençant par les célibataires. Car dès le commencement, tout ce qui est fait est fait par nécessité, mais non à partir d'une seule chose ; Et parce qu’il est vierge et incorruptible, ce besoin l’est. Car dès le commencement, ni ceci ni ceci n'en naissent jamais, ni rien d'autre n'en naît, car dès le commencement tout est fait. Ainsi, ils ne bougent pas sans principe. Mais cela n'est ni libéré ni rendu possible, ou bien tous les cieux [245e] et toute la terre ont été pressés ensemble en un seul, et donc rien n'a été déplacé de son lieu de naissance. Mais pour une âme immortelle, autodéterminée et autonome, il n’y a aucune raison de dire ces choses. Car tout corps qui n'est pas mû du dehors est inanimé, mais qui lui est donné du dedans, animé, comme de la même nature que l'âme ; s'il en est ainsi, rien d'autre ne soit lui-même mobile ou animé. âme, du besoin d'une âme à naître et immortelle si c'était le cas.
De l’immortalité de celui-ci, j’en parlerai ici de l’idée. Qui qu'il soit, il est toujours divin et d'une longue histoire, mais là où il est, il est humain et humble : c'est pourquoi nous disons. Eoikete de symphyte en vertu d'une paire hypotérique et heniochus. De Dieu donc, tous ces biens sont bons et issus du bien, [246b] mais le bien des autres est mêlé. Et tout d'abord chez nous la frontière principale est heureuse, comme parmi les chevaux, celui qui est bon pour lui et bon et parmi ceux-là, celui qui est contre vous et contre lui, il n'est pas difficile et difficile par nécessité ; et autour de nous heniochisis.
Pourquoi, alors, la vie mortelle et immortelle est appelée pirates. Une âme s'occupe toujours de l'inanimé, mais elle patrouille toujours dans le ciel, sinon dans d'autres elle semble avoir disparu. Parfait [246c] mais alors, et le météore ailé, tu gouvernes le monde entier, mais l'ailé est porté jusqu'à ce qu'il soit perçu comme une chose solide, dans laquelle tu as habité, prenant un corps terrestre, il essaie de se déplacer par que le pouvoir, la vie, l'univers est appelé, l'âme et le corps sont morts, un mortel reçoit un nom ; mais un immortel ne vient pas d'une parole, mais ils sont créés sans voir ni pouvoir comprendre [246d] Dieu, immortel et vivre, avoir une âme et avoir un corps, et le temps éternel de ces concours. Mais ces choses que je dis, en tant qu'ami de Dieu, voici ce que je dirai : et comprenons la cause de la perte des ailes par lesquelles l'âme coule. Ce n'est pas comme ça.
L'air puissant et ailé s'envola, emportant là-haut la race des dieux, et il leur fut annoncé que le corps de l'âme divine et du dieu [246e] est bon, sage, bon, et tout cela à cause de lui ; celui-ci n'est pas nourri. En effet, le plumage de l'âme augmente, mais il décline et se dissout malgré le mal et contre les adversaires. Le grand Zeus, qui règne dans le ciel, sur un char à oiseau blanc, va le premier, décorant et prenant soin de tout ; puis vient une armée de dieux et de démons, [247a] décorée en onze parties. Car Hestia reste seule dans la maison des dieux, mais parmi les autres, ceux qui sont classés parmi les douze seigneurs-dieux sont classés selon le rang dans lequel chacun était classé. Nombreux donc et bienheureux sont les spectacles et les sorties dans le ciel, vers lesquels revient la génération divine des bienheureux, chacun faisant ce qui lui est propre, et alors l'ae veut et est fort, car l'envie est en dehors de la danse divine. Mais quand ils vont vers la mer et vers la mer, mais sur l'arc céleste, ils se dirigent vers les montagnes, où les véhicules des dieux, êtres également doux, se déplacent avec l'argent, mais les autres magies lourdement et lourdement ; il n'a pas été bien brisé par les hénioches. Il n'y a pas de douleur et je vais jusqu'au bout de l'âme. Car ceux qui sont immortels sont appelés vainqueurs, s'ils naissent à la fin, ils voyagent dehors et se tiennent du côté sud du ciel, tandis qu'en restant immobiles, le circuit fait le tour, et ils sont considérés comme étant en dehors du ciel. ciel.
Mais ce lieu paradisiaque n’a été loué par aucun poète. Mais il a ici - car il est alors audacieux de dire la vérité, sinon il parle aussi de la vérité - parce qu'il est incolore et informe et n'a pas de lumière, en effet alors, d'une âme gouvernée uniquement par un esprit contemplatif, dont le Le genre de la vraie science a cette [247d] place. Si donc l'esprit de Dieu se nourrit de connaissance et de connaissance, et que la grâce de chaque âme qui lui appartient est reçue, voyant au fil du temps qu'Il vous aime et le considérant comme vrai, elle se nourrit et souffre, jusqu'au cycle du cercle y intervient. Mais dans cette période, cela détermine la justice, et cela détermine la sagesse, et cela détermine la science, non pas à laquelle la genèse est présente, non pas pour être dans un autre [247e] autre lieu que nous appelons maintenant, mais dans ce qui est effectivement comme la science · Et la joie comme les êtres étaient effectivement vus et focalisés, j'ai regardé à nouveau vers l'intérieur du ciel, d'où ils venaient. Lorsqu'elle arriva à la crèche, le conducteur du char installa les chevaux, lui apporta de l'ambroisie et l'arrosa de nectar.
[248a] Et celle-ci est la vie des dieux ; et les autres âmes, celle qui était excellente pour Dieu et qui fut élevée, sortirent au-delà de la tête de l'héniochus vers le lieu extérieur et prirent part à la procession, bruyante par les chevaux et la magie qui déterminait les êtres ; ils étaient à quatre heures, mais alors que les chevaux se précipitaient, ils ne m'ont pas vu, ni eux non plus. Quant aux autres, planant sans ascendant, ils se suivent, s'affaiblissent, se comportent comme des sous-marins, se marchent les uns sur les autres et se forcent, l'un à l'autre est tenté de naître. Du bruit, alors, de la brume et de l'eau se font enfin, où par la méchanceté des pauvres beaucoup sont estropiés, et beaucoup d'ailes sont brisées, mais tous ceux qui souffrent beaucoup, imparfaits aux yeux de l'être, s'en vont ; et devenir une nourriture glorifiée dans le besoin. Là où il y a beaucoup d'étude de la vérité, voyez le champ où elle est, où il n'y a pas de loi due à l'âme excellente de là [248c] leimzonus se produit là, la nature de la plume, là où l'âme est creuse, se nourrit de ce. Ode Thesmos te Adrasteia. Si une âme est née comme disciple de Dieu, ce qui est vrai, jusqu'à la période suivante, elle est patiente, et si cela est possible, c'est inoffensif mais quand je me suis affaibli, je ne vois pas, et quelle chance a été utilisée ; par oubli et méchanceté, vous vous ennuyez abondamment, mais si vous vous ennuyez, envolez-vous et tombez sur la terre, alors cette loi [248d] n'est implantée dans aucune nature bestiale dans la première génération, mais la plupart l'ont vue comme le fils d'un homme philosophe né ou amateur de musique et d'érotisme, et le deuxième dans un roi de droit ou de guerre iko et le premier, le troisième dans le domaine politique ou économique ou financier, le quatrième dans le philoponus <ou> sur le corps du le corps, le cinquième dans la vie divine [248e] ou l'exécuteur testamentaire ; le sixième est le poétique ou l'imitation de l'autre, ἑ semaine créatrice ἢ agricole, sophistique ou démocratique, tyrannique. Même ainsi, celui qui n'agit pas justement reçoit un sort éternel, et celui qui n'agit pas injustement, un sort misérable ; car de là d'où vient chaque âme, elle n'atteint pas ces myriades, car elles ne fuient pas avant. une telle époque - sauf celle de l'enfant philosophe ou du pédophile avec la philosophie, et c'est la troisième période du millénaire, si cette vie est accomplie trois fois, alors vous devenez trois mille ailes, et elles s'en vont. Quant aux autres, quand ils auront fini leur première vie, ils seront jugés, mais vous serez jugés, ceux qui viennent aux tribunaux sous la terre seront jugés, ceux qui seront jugés dans les lieux célestes sous le Jugement seront il jugea dignement qui dans [249b] l'homme voyait qu'il vivait la vie. Et pour les mille, tous deux, tirés au sort et choisissant la seconde vie, sont séparés à qui chacun veut ; car même dans la vie d'une bête, une âme humaine naît, et d'une bête qui était autrefois un homme, il redevient un homme. Parce que je n'ai jamais vu la vérité sous cette forme. Car c'est un homme uni dans une sorte de soi-disant, de plusieurs sens [249c] rassemblés dans un seul calcul ; c'est un souvenir de ceux où notre âme a vu qu'elle s'est unie à Dieu et a vaincu ce qu'elle est maintenant, et effectivement monté vers Dieu. Car il n'est pas juste que l'intellect du philosophe s'élève seul, car pour ceux pour qui Dieu est Dieu, il y a une mémoire par la puissance. Mais qu'on ne se souvienne pas d'un tel homme, qui est convenablement habillé, qui est parfait et accomplit la cérémonie, qui devient vraiment parfait seul, mais qui, s'abstenant des [249d] études humaines et se tournant vers le divin, est réprimandé par beaucoup comme un motivateur, mais qui en inspire finalement beaucoup.
N'est-ce pas donc tout le discours sur la quatrième manie - qui, lorsque la beauté des jours, se souvenant de la vérité, voltige et voltige volontairement, faible, comme une poule qu'ils voient en haut, mais en bas la négligente, elle a une cause victorieusement soumise -- car [249e] c'est pourquoi elle devient excellente de tous les enthousiasmes et excellente pour celui qui et celui qui la participe, et parce que cette participante à la colère est appelée l'amant du bien. Car il est dit que toute âme d'un homme est née, ou qu'il n'est pas venu [250a] à cette vie ; mais de là il ne mourra pas, ni ce qu'il a vu brièvement alors, ni ce dans lequel il est tombé ne sont arrivés. , de sorte qu'ils ont oublié les sermons sur l'injustice que j'ai vu alors faire les saints. Quelques-uns ne manquent pas d'une mémoire suffisamment présente ; c'est-à-dire que lorsqu'ils voient quelle est la ressemblance, ils s'étonnent et ne deviennent rien en eux, ce qui n'est pas la passion de l'ignorance [250b] parce qu'elle n'est pas suffisamment ressentie. . La justice et la sobriété et toutes les autres âmes honnêtes n'ont pas brillé dans ces ressemblances, mais à travers leurs organes obscurs et quelques-unes sur les icônes de la race qui ont été vues, bénis sommes-nous, qui suivons avec moi, et d'autres avec ; d'autres dieux, qui voient et accomplissent les rites qu'ils appellent [250c] bienheureux, dont nous sommes enragés dans leur ensemble et sommes indifférents aux maux que nous en ὑστερῳ χρονῳ yyempenen, le tout et simplement et rapidement et des spectres bénis, initiés et surveillants dans l'aube claire, des êtres purs et insignifiants de ce que nous appelons maintenant des corps errants, liés d'une manière pointue.
C'est donc pour cela que je suis reconnaissant en mémoire, pour lequel le désir d'alors maintenant est discuté plus en détail ; mais pour les bonnes choses, comme nous disons, [250d] pour ceux qui ont brillé, pour ceux qui devaient venir, nous les avons saisis. cela à travers le sentiment de colère des jours à venir. Car tu nous vois l'aigreur des sens qui vient du corps, ce que tu ne vois pas, car c'est la plus évidente [250e] et la moins importante. Celui donc, qui n'est ni vierge ni corrompu, ne se comporte pas là de telle manière, considérant son nom comme le sien, qu'il ne respecte pas la loi, mais il n'obéit pas aux lois à quatre pattes de plaisir, et il ne se livre pas à des présupposés [251a] non par nature, le plaisir des persécuteurs s'exerce ; mais le plaisir astucieux, celui de ces temps, où il voyait un visage divin bien imité, ou une vision d'un corps, au début il a été horrifié et que dire des signes qui lui ont été offerts à ce moment-là, il a vu des signes qu'il respecte Dieu, et s'il ne lui donne pas une gloire de rage féroce, maléfique comme une statue et un dieu pour les enfants. En voyant celui qui, d'horreur, change [251b] et reçoit de l'âme de l'eau et de la chaleur, car en recevant le flux du cal à travers les sables, la nature de la plume s'échauffe, et en s'échauffant, les choses concernant l'expiration, qui sont déjà mélangés sous la dureté, sont chauffés. Il n'a pas germé, mais lorsque la nourriture a été versée, il a germé de la racine, et la tige de l'aile a surgi sous toutes les espèces de l'âme, car tout était une fois. ailé.
[251c] Zeí oún en toúto óli kaí anakikíei, kaí óper tó tón odontofyoúnton páthos perí toús odóntas gígnetai ótan árti fýosin, knísís te kaí aganáktisis perí tá oúla, taftón dí péponthen i toú pterofyeín archoménou psychí: zeí te kaí aganakteí kaí gargalízetai fýousa tá pterá. Ótan mén oún vlépousa prós tó toú paidós kállos, ekeíthen méri epiónta kaí réont᾽--á dí diá tafta ímeros kaleítai--dechoméni [tón ímeron] árditaí te kaí thermaínitai, lofá te tís odýnis [251d] kaí gégithen: ótan dé chorís génitai kaí afchmísi, tá tón diexódon stómata í tó pterón ormá, synavainómena mýsanta apoklíei tín vlástin toú pteroú, i d᾽ entós metá toú imérou apokekliméni, pidósa oíon tá sfýzonta, tí diexódo enchríei ekásti tí kath᾽ aftín, óste pása kentouméni kýklo i psychí oistrá kaí odynátai, mnímin d᾽ af échousa toú kaloú gégithen. Ek dé amfotéron memeigménon adimoneí te tí atopía toú páthous kaí aporoúsa lyttá, kaí emmanís [251e] oúsa oúte nyktós dýnatai kathévdein oúte meth᾽ iméran oú án í ménein, theí dé pothoúsa ópou án oíitai ópsesthai tón échonta tó kállos: idoúsa dé kaí epochetefsaméni ímeron élyse mén tá tóte sympefragména, anapnoín dé lavoúsa kéntron te kaí odínon élixen, idonín d᾽ af táftin glykytátin en tó [252a] parónti karpoútai. Óthen dí ekoúsa eínai ouk apoleípetai, oudé tina toú kaloú perí pleíonos poieítai, allá mitéron te kaí adelfón kaí etaíron pánton lélistai, kaí ousías di᾽ améleian apollyménis par᾽ oudén títhetai, nomímon dé kaí efschimónon, oís pró toú ekallopízeto, pánton katafronísasa doulévein etoími kaí koimásthai ópou án eá tis engytáto toú póthou: prós gár tó sévesthai tón tó kállos [252b] échonta iatrón ívrike mónon tón megíston pónon. Toúto dé tó páthos, ó paí kalé, prós ón dí moi o lógos, ánthropoi mén érota onomázousin, theoí dé ó kaloúsin akoúsas eikótos diá neótita gelási. Légousi dé oímaí tines Omiridón ek tón apothéton epón dýo épi eis tón érota, ón tó éteron yvristikón pány kaí ou sfódra ti émmetron: ymnoúsi dé óde-- [252c] tón d᾽ ítoi thnitoí mén érota kaloúsi potinón, athánatoi dé Ptérota, diá pterofýtor᾽ anánkin. Toútois dí éxesti mén peíthesthai, éxestin dé mí: ómos dé í ge aitía kaí tó páthos tón erónton toúto ekeíno tynchánei ón. Tón mén oún Diós opadón o liftheís emvrithésteron dýnatai férein tó toú pteronýmou áchthos: ósoi dé Áreós te therapeftaí kaí met᾽ ekeínou periepóloun, ótan yp᾽ Érotos alósi kaí ti oiithósin adikeísthai ypó toú eroménou, fonikoí kaí étoimoi kathierévein aftoús te kaí tá paidiká. [252d] Kaí oúto kath᾽ ékaston theón, oú ékastos ín choreftís, ekeínon timón te kaí mimoúmenos eis tó dynatón zí, éos án í adiáfthoros kaí tín tíde prótin génesin viotévi, kaí toúto tó trópo prós te toús eroménous kaí toús állous omileí te kaí prosféretai. Tón te oún érota tón kalón prós trópou eklégetai ékastos, kaí os theón aftón ekeínon ónta eaftó oíon ágalma tektaínetaí te kaí katakosmeí, os [252e] timíson te kaí orgiáson. Oi mén dí oún Diós díón tina eínai zitoúsi tín psychín tón yf᾽ aftón erómenon: skopoúsin oún ei filósofós te kaí igemonikós tín fýsin, kaí ótan aftón evróntes erasthósi, pán poioúsin ópos toioútos éstai. Eán oún mí próteron emvevósi tó epitidévmati, tóte epicheirísantes manthánousí te óthen án ti dýnontai kaí aftoí metérchontai, ichnévontes dé par᾽ eaftón anevrískein [253a] tín toú sfetérou theoú fýsin efporoúsi diá tó syntónos inankásthai prós tón theón vlépein, kaí efaptómenoi aftoú tí mními enthousióntes ex ekeínou lamvánousi tá éthi kaí tá epitidévmata, kath᾽ óson dynatón theoú anthrópo metascheín: kaí toúton dí tón erómenon aitiómenoi éti te mállon agapósi, kán ek Diós arýtosin ósper ai vákchai, epí tín toú eroménou psychín epantloúntes poioúsin os dynatón [253b] omoiótaton tó sfetéro theó. Ósoi d᾽ af meth᾽ Íras eíponto, vasilikón zitoúsi, kaí evróntes perí toúton pánta drósin tá aftá. Oi dé Apóllonós te kaí ekástou tón theón oúto katá tón theón ióntes zitoúsi tón sféteron paída pefykénai, kaí ótan ktísontai, mimoúmenoi aftoí te kaí tá paidiká peíthontes kaí rythmízontes eis tó ekeínou epitídevma kaí idéan ágousin, ósi ekásto dýnamis, ou fthóno oud᾽ anelefthéro dysmeneía chrómenoi prós tá paidiká, all᾽ eis omoiótita [253c] aftoís kaí tó theó ón án timósi pásan pántos óti málista peirómenoi ágein oúto poioúsi. Prothymía mén oún tón os alithós erónton kaí teletí, eán ge diapráxontai ó prothymoúntai í légo, oúto kalí te kaí evdaimonikí ypó toú di᾽ érota manéntos fílou tó filithénti gígnetai, eán airethí: alísketai dé dí o airetheís toióde trópo.
Afficher plus
4 389 / 5 000
[251c] Tout vit en cela et s'élève, et à cause de la poussée dentaire, la passion pour les dents devient quand elles poussent, vous êtes en colère et indigné contre les yeux, l'âme du prince ailé s'en moque : vivez et soyez indigné et chatouiller ce sont des ailes naturelles. Quand alors j'ai regardé la beauté de l'enfant, de là des parties sont apparues et ont dit : pourquoi s'appelle-t-il hymeron ? reçu [l'hymeron] il est mouillé et réchauffé, il a un goût de douleur [251d] et il rit mais quand ; il naît sans et ahmis, les bouches des passages vers lesquels l'aile se précipite, d'un commun accord, il exclut la végétation de l'aile, le d après le jour se sépare, sautant comme les pulsants, dans le passage, chacun d'eux est oint par elle, pour qu'elle brode en cercle ὴ ἰστρᾷ Et ça fait mal, parce que j'avais un souvenir de bons moments. Mais du mélange des deux, il aspire à l'atopie de la passion, et s'en libère, et il est obsédé [251e], de sorte qu'il ne peut rester ni la nuit ni le jour, mais il convoite partout où il peut voir celui qui a la beauté et un hyméron doué. Il dénoua les choses qui étaient alors liées ensemble, mais il poussa un soupir de soulagement des centres et des tourbillons, et il récolta le plaisir de cette douceur dans le [252a] présent. Ce n'est pas le cas, pas le bien du bien du bien, mais les martyrs et les sœurs et les partenaires, et l'autre, lieu de travail et sommeil où, s'il y en a, près des convoitises, car il respecte la beauté [252b] , avoir un médecin ne guérit que les plus grandes douleurs.
Mais cette passion, oh vas-y, à qui le mot me dit, les hommes l'appellent amour, mais ce qu'ils appellent des dieux tu l'entends et tu ris à cause de la jeunesse. Et on dit que je suis un des Homériens qui ont écrit deux épopées sur l'amour, où l'autre est un tissu blasphématoire et ce qu'ils mesurent n'est pas sévère mais ici louange ;
252c
Immortels, mais Ptérotas, à cause du besoin des ptérophyteurs.
Pourtant, cela ne s'est pas terminé sans conviction, et cela n'a pas pris fin, mais la cause et la passion des amants, ceci et cela se trouvent.
Parmi ceux qui suivent Zeus, celui qui est le plus souillé peut supporter la colère du ptéroyme ; mais ceux qui sont guéris par Areos et errent avec lui, lorsqu'ils voient une injustice de la part du bien-aimé, sont des meurtriers et sont prêts à se consacrer. eux et les enfants.
[252d] Et de la même manière que chaque dieu, pour qui chacun était un danseur, il l'honore et l'imite autant qu'il peut, jusqu'à ce qu'il soit incorruptible et vive sa première naissance, et ainsi il parle aux amants. et d'autres sont offerts. C'est pourquoi l'amour du bien est choisi en quelque sorte par chacun, et comme un dieu qui est pour lui-même une statue, il est étendu et décoré, [252e] honoré et régalé. Ceux qui ne voient pas la voie de Dieu recherchent l’âme de celui qu’ils aiment. S'ils ne font pas semblant, alors, après avoir essayé de deviner d'où ils sont capables, ils se déplacent aussi, mais, en se cherchant eux-mêmes, ils découvrent [253a] la nature du dieu divin, en étant forcés de voir et toucher Dieu excité par sa mémoire, ils reçoivent l'éthos et les présages, dans la mesure où ils passent à un homme fort de Dieu et ils ne font pas tomber amoureux l'éromène, même comme le bacchai, sur le âme des amoureux, chante comme s'ils étaient forts [253b]. Ceux qui étaient avec lui dirent : demandez un roi, et quand ils le découvriront, ils feront toujours ces choses. Et les Apollos, étant ainsi selon le dieu, recherchent le maître des enfants, et quand ils les auront obtenus, les imitant et persuadant les enfants, et s'adaptant à cet euphémisme et à cette vision, ils ne s'élèveront pas pour envier un mécontentement féroce entaché de choses enfantines. , mais à la ressemblance [253c] d'eux-mêmes et de Dieu, qu'ils honorent pourtant, parce qu'en effet ils sont tentés d'agir ainsi.
Volonté donc de ceux qui aiment vraiment, et cérémonie, s'ils commettent ce qu'ils veulent me dire, si bon et heureux de la part de l'ami qui reste par amour pour celui qui est embrassé, s'il se repent mais celui qui ; se repent n’est pas ému de cette manière.
Comme au début de cette fable nous divisons chaque âme par un cheveu, un hippoforme en deux d'une même espèce, et une espèce hénioch [253d] en une troisième, et maintenant je garde ces choses pour nous. Mais parmi les chevaux, l'homme, famen, est bon, et le d ne l'est pas ; mais la vertu du vice bon ou mauvais, nous ne le savons pas, mais maintenant nous lisons. Ils l'ont vu debout en beauté, droit et émacié, sec, au visage blanc, mélanome, aimé de beauté et de vraie gloire, nu, pleurant seulement [253 e d᾽ aὖ scholios, beaucoup, il est bien élevé, kraterauchin, bref- au cou, au visage sombre, à la peau foncée, glaucomateux, infâme, partenaire de l'orgueil et de l'arrogance, environ eta lascif, sourd, un fléau avec les centres de mogis hypeikans. Quand donc le cavalier vit l'amoureuse omma, toute son âme se sentit chaude, chatouillée et remplie de désir [254a], celui qui obéit au cavalier des chevaux, qu'il se dépêche, il se possède sans se précipiter vers lui à Romen ὂ et ; ni des centres des hénioches, ni du fléau, car il a honte, mais il amène les jupes de force, et toutes les choses fournies au conjoint et aux hénioches, il les oblige à être enfantins et à se souvenir de la poésie de l'aphrodisiaque grâce. Mais ceux qui s'opposaient à moi au début [254b] étaient indignés, comme si j'étais forcé de souffrir illégalement et finalement, alors que le mal n'avait pas de fin et que je marchais dans la douleur, ils savaient et avouaient qu'ils avaient fait ce qui était allégué. Et ce qui lui arrivait et je vis les yeux des enfants pétiller. Et quand il vit sa belle nature, il la revit avec sobriété sur un pur piédestal, et quand il la vit, il tomba, et quand il fut forcé de [254c], il tira les cordes comme ce tas, comme sur Le les reins sont nus, tu as assis le cheval, celui qui était petit pour ne pas objecter, mais celui qui était trop petit. Il sortit de l'autre côté, et celui qui était sous le poids et la sueur de toute son âme, et à la fin de l'agonie qu'il avait sous les rênes du cadavre, en expirant sa colère, le méprisa beaucoup. en tant que lâches, ils engraissent hardiment la classe et la confession ; et encore une fois, sans hésiter devant ceux qui sont forcés, ils peuvent féliciter ceux qui sont adonnés à cette raison. Quand fut venu l'heure fixée [à laquelle] il feignait la réminiscence, se dépêchant, déambulant, il força les enfants à venir à lui sur ce terrain, et comme ils étaient proches, il se baissa et étendit ses rênes, réprimandant la bride, avec impudence ᾽ [254e] Si tu souffres de cette passion, comme d'une peste, tu briseras la bride du dos du cheval avec violence, tu briseras la langue et les mâchoires, et tu jetteras les jambes et les hanches au le sol ὀDYNAIS ἔDOKEN . Mais quand la méchanceté de cet homme qui souffre depuis longtemps prend fin, il est déjà humilié par la providence de Dieu, et quand il voit le bien, il est saisi de peur, comme cela arrive déjà à l'âme de l'amant pour les enfants que vous êtes ; Qu'ils soient tous guéris comme s'ils étaient guéris, non par la forme de la prière, mais par une véritable compassion, et il doit être l'ami de celui qui est guéri, même si dans le passé il a été calomnié par ses camarades. ou par d'autres, disant qu'ils l'approchaient comme une beauté pour cela il est repoussé par l'orateur, mais déjà le produit du temps que l'âge et la dette l'ont amené [255b] à l'ajouter au discours car personne ne le blâme ; mauvais ami pour un mauvais ami, et un bon ami n'est pas non plus un bon ami. Ayant attendu et reçu parole et parole, d'ici la faveur faite au mendiant surprend le mendiant, se rendant compte que tous les autres amis de l'univers, et même ceux qui lui sont proches, n'ont pas le sort d'amitié accordé à l'ami divin. . Mais quand il chronique cet acte et s'approche de l'aptestha dans les gymnases et dans les autres discours, [255c] alors déjà la source de ce discours, que Zeus Ganymède appelait Héron, très apporté à l'amant, le moi ὸν ἔδι, il coule de l'apostat ; et tout esprit ou esprit séparé du lisse et du solide est ramené d'où il a coulé, de sorte que la parole du bien retourne au bien à travers les traces qui sont tombées sur l'âme à son arrivée et elles furent ranimés, [255d ] les passages des ailes s'enflammèrent et les ailés se précipitèrent et l'âme de l'amant se remplit d'amour. Il est comme ça, mais ce qu'il se demande, et même parce qu'il n'a pas vu de l'autre côté, il n'a pas de mots, mais celui qui est aveuglé par les yeux d'autrui peut dire qu'il ne l'a pas, comme dans un miroir. il se regarde au jour le jour. Et quand il me prend, ça finit avec cette douleur, et quand il part, il la convoite et la convoite, j'ai une idole [255e] d'amour sans homme, il l'appelle et il paraît que ce n'est pas de l'amour, mais amitié. Mais il désire celui-là plus étroitement que moi, encore plus faiblement, pour voir, toucher, embrasser, condescendre et dire, celui qui est là, fait ensuite rapidement ce qui suit ; Ainsi, dans le sommeil de l'amant, le cheval indompté a ce qu'il dit au cheval, et est digne de bien des peines [256a] tu jouis peu ; mais celui des enfants n'a rien à dire, mais le mépris et le besoin entourent l'amant et les baisers, aussi férocement qu'ils s'embrassent, quand ils sont d'accord, celui à qui on ne refuse pas sa part sera donné à l'amant. , s'il le demande ; omozyx aὖ avec l'heniochus à cela avec aedos et la parole s'y oppose. Si donc, grâce à une alimentation ordonnée et à la philosophie, les meilleures choses de l'esprit sont vaincues, les bienheureux [256b] et les monothéistes échapperont-ils, les retenant ainsi que les êtres du monde, asservissant ceux avec qui le mal de l'âme a été incité, et libérer ceux qui sont libres les derniers événements serviles et légers des trois luttes des véritables Olympiens d'un Neniki, dans lesquels ni la sagesse humaine ni la fureur divine ne peuvent être trouvées pour le plus grand bien de l'homme. Mais s'il ne mange pas plus lourdement et sans philosophie, elles lui sont utiles. Ainsi, si par ivresse ou par quelque autre négligence je le souille, reçois les âmes des innocents, apporte-lui les plus bénies de toutes celles qui ont été volées. et engagés ; et ayant fait le reste, ils y sont déjà habitués, rarement, sinon tous, ceux qui le font sont livrés à l'intellect. J'aime ceci et cela, mais celui-ci, les autres [256d] par amour et dehors je suis né, vous croyez les grands, je suis donné et accepté, ceux qui n'ont pas le droit de se livrer à des ennemis ne viennent jamais. Mais dans le dernier cas, ils s'éloignent du corps, de sorte qu'ils n'agissent pas avec une certaine rage érotique ; car ce n'est pas une loi pour ceux qui ont déjà rompu la voie céleste de venir dans les ténèbres et la voie souterraine, mais pour vivre une vie heureuse εῖν [256e ] les uns avec les autres en voyageant et en omoptères par amour, quand ils naissent, ils naissent.
C'est ainsi, ô enfant, que l'amitié d'un amant t'est accordée ; mais de l'intimité sans amour, la beauté d'un mortel est retenue, tu es mortel et économe, la liberté louée par beaucoup comme une vertu [257a] de l'homme. âme d'un ami, écoute, neuf mille ans autour de la terre vallonnée et sous la terre qu'ils ont fournie.
C'est à toi, ô ami Éros, que notre pouvoir qui est beau et excellent est donné et exposé aux palinidia, et les autres aussi aux noms poétiques imposés par Phèdre. Mais d'avance, pardonne-moi et pour la grâce que j'ai, s'il te plaît et aie pitié de mon art érotique, que tu ne quittes pas et ne retires pas par colère, car l'année est plus tôt ou plus tard que les bonnes sont honnêtes.
[257b] Aux premiers, pour une raison quelconque, nous vous disons : Phèdre, et moi, Lysien, le père de la parole, étant la cause de telles paroles, cessez de telles paroles, et sur la philosophie, comme son frère Polémarque est évité. , évité, afin que l'amant, où qu'il soit, puisse désormais être vêtu de kathaper, mais simplement pour l'amour avec des mots philosophiques, la vie est écrite.
smikrá apolafsai: o dé tón paidikón échei mén oudén eipeín, spargón dé kaí aporón perivállei tón erastín kaí fileí, os sfódr᾽ évnoun aspazómenos, ótan te synkatakéontai, oíós esti mí án aparnithínai tó aftoú méros charísasthai tó erónti, ei deitheíi tycheín: o dé omózyx af metá toú inióchou prós tafta met᾽ aidoús kaí lógou antiteínei. Eán mén dí oún eis tetagménin te díaitan kaí filosofían nikísi tá veltío tís dianoías agagónta, makárion mén [256b] kaí omonoitikón tón entháde víon diágousin, enkrateís aftón kaí kósmioi óntes, doulosámenoi mén ó kakía psychís enegígneto, eleftherósantes dé ó aretí: teleftísantes dé dí ypópteroi kaí elafroí gegonótes tón trión palaismáton tón os alithós Olympiakón én nenikíkasin, oú meízon agathón oúte sofrosýni anthropíni oúte theía manía dynatí porísai anthrópo. Eán dé dí diaíti fortikotéra te kaí [256c] afilosófo, filotímo dé chrísontai, tách᾽ án pou en méthais í tini álli ameleía tó akolásto aftoín ypozygío lavónte tás psychás afroúrous, synagagónte eis taftón, tín ypó tón pollón makaristín aíresin eilésthin te kaí diepraxásthin: kaí diapraxaméno tó loipón ídi chróntai mén aftí, spanía dé, áte ou pási dedogména tí dianoía práttontes. Fílo mén oún kaí toúto, ítton dé ekeínon, allíloin [256d] diá te toú érotos kaí éxo genoméno diágousi, písteis tás megístas igouméno allíloin dedokénai te kaí dedéchthai, ás ou themitón eínai lýsantas eis échthran poté eltheín. En dé tí teleftí ápteroi mén, ormikótes dé pteroústhai ekvaínousi toú sómatos, óste ou smikrón áthlon tís erotikís manías férontai: eis gár skóton kaí tín ypó gís poreían ou nómos estín éti eltheín toís katirgménois ídi tís ypouraníou poreías, allá fanón víon diágontas evdaimoneín [256e] met᾽ allílon porevoménous, kaí omoptérous érotos chárin, ótan génontai, genésthai. Tafta tosafta, ó paí, kaí theía oúto soi dorísetai i par᾽ erastoú filía: i dé apó toú mí eróntos oikeiótis, sofrosýni thnití kekraméni, thnitá te kaí feidolá oikonomoúsa, aneleftherían ypó plíthous epainouménin os aretín [257a] tí fíli psychí entekoúsa, ennéa chiliádas etón perí gín kylindouménin aftín kaí ypó gís ánoun paréxei. Áfti soi, ó fíle Éros, eis imetéran dýnamin óti kallísti kaí arísti dédotaí te kaí ektéteistai palinodía, tá te álla kaí toís onómasin inankasméni poiitikoís tisin diá Faídron eirísthai. Allá tón protéron te syngnómin kaí tónde chárin échon, evmenís kaí íleos tín erotikín moi téchnin ín édokas míte aféli míte pirósis di᾽ orgín, dídou t᾽ éti mállon í nýn pará toís kaloís tímion eínai. [257b] En tó prósthen d᾽ eí ti lógo soi apichés eípomen Faídrós te kaí egó, Lysían tón toú lógou patéra aitiómenos pave tón toioúton lógon, epí filosofían dé, ósper adelfós aftoú Polémarchos tétraptai, trépson, ína kaí o erastís óde aftoú mikéti epamfoterízi katháper nýn, all᾽ aplós prós érota metá filosófon lógon tón víon poiítai.
Afficher plus
5 000 / 5 000
tu jouis peu ; mais celui des enfants n'a rien à dire, mais le mépris et le besoin entourent l'amant et les baisers, aussi férocement qu'ils s'embrassent, quand ils sont d'accord, celui à qui on ne refuse pas sa part sera donné à l'amant. , s'il le demande ; omozyx aὖ avec l'heniochus à cela avec aedos et la parole s'y oppose. Si donc, grâce à une alimentation ordonnée et à la philosophie, les meilleures choses de l'esprit sont vaincues, les bienheureux [256b] et les monothéistes échapperont-ils, les retenant ainsi que les êtres du monde, asservissant ceux avec qui le mal de l'âme a été incité, et libérer ceux qui sont libres les derniers événements serviles et légers des trois luttes des véritables Olympiens d'un Neniki, dans lesquels ni la sagesse humaine ni la fureur divine ne peuvent être trouvées pour le plus grand bien de l'homme. Mais s'il ne mange pas plus lourdement et sans philosophie, elles lui sont utiles. Ainsi, si par ivresse ou par quelque autre négligence je le souille, reçois les âmes des innocents, apporte-lui les plus bénies de toutes celles qui ont été volées. et engagés ; et ayant fait le reste, ils y sont déjà habitués, rarement, sinon tous, ceux qui le font sont livrés à l'intellect. J'aime ceci et cela, mais celui-ci, les autres [256d] par amour et dehors je suis né, vous croyez les grands, je suis donné et accepté, ceux qui n'ont pas le droit de se livrer à des ennemis ne viennent jamais. Mais dans le dernier cas, ils s'éloignent du corps, de sorte qu'ils n'agissent pas avec une certaine rage érotique ; car ce n'est pas une loi pour ceux qui ont déjà rompu la voie céleste de venir dans les ténèbres et la voie souterraine, mais pour vivre une vie heureuse εῖν [256e ] les uns avec les autres en voyageant et en omoptères par amour, quand ils naissent, ils naissent.
C'est ainsi, ô enfant, que l'amitié d'un amant t'est accordée ; mais de l'intimité sans amour, la beauté d'un mortel est retenue, tu es mortel et économe, la liberté louée par beaucoup comme une vertu [257a] de l'homme. âme d'un ami, écoute, neuf mille ans autour de la terre vallonnée et sous la terre qu'ils ont fournie.
C'est à toi, ô ami Éros, que notre pouvoir qui est beau et excellent est donné et exposé aux palinidia, et les autres aussi aux noms poétiques imposés par Phèdre. Mais d'avance, pardonne-moi et pour la grâce que j'ai, s'il te plaît et aie pitié de mon art érotique, que tu ne quittes pas et ne retires pas par colère, car l'année est plus tôt ou plus tard que les bonnes sont honnêtes.
[257b] Aux premiers, pour une raison quelconque, nous vous disons : Phèdre, et moi, Lysien, le père de la parole, étant la cause de telles paroles, cessez de telles paroles, et sur la philosophie, comme son frère Polémarque est évité. , évité, afin que l'amant, où qu'il soit, puisse désormais être vêtu de kathaper, mais simplement pour l'amour avec des mots philosophiques, la vie est écrite.
Socrate : Il ne doit pas être un philosophe parmi ceux qui lui appartiennent. On dit que ces hommes sont nés avant les Muses, et quand ils sont nés des Muses, certains d'entre eux à ce moment-là ont été surpris par le plaisir, [259c] de sorte qu'ils leur ont donné à manger et à boire, et quand ils les ont finis , ils se sont égarés là où la place une race est née avec ça, prends ce vieil homme aux Muses, on ne verra pas de nourriture naître, mais il aura faim et mangera directement du soleil, jusqu'à ce que ce soit fini, et après ça il viendra chez les Muses et récitera leurs chants en l'honneur des morts. A Terpsichore donc, ceux qui le récitaient dans les chœurs [259d], et à Eratos ceux dans l'érotikos, et les autres de la même manière, selon le type de chaque honneur mais à Calliope et à elle, Uranie préside la philosophie ; en vous poursuivant et en honorant leur musique qu'ils prêchent, qu'ils parlent des Muses du ciel et des paroles des dieux et des hommes, ils ont une belle voix. Parmi tant d'autres, il n'y a pas un seul mot qui ne soit pas lu à midi.
Phèdre : Lekteon gyὰr oὖn.
Socrate : [259e] Maintenant, pour l'instant nous réfléchissons, réfléchissez au mot là où il est bien dit et écrit et là où il ne l'est pas.
Phèdre : Delon.
Socrate : Eh bien, n’y a-t-il pas des gens qui, dotés d’un esprit bien discipliné, connaissent la vérité, où qu’elle se trouve ?
Phèdre : J'en ai entendu parler, mon ami Socrate, il n'est pas nécessaire [260a] que le futur orateur parle de ce qui est juste, mais de ce qui est glorieux, s'il faut en juger beaucoup, non pas vraiment de bon ou de bon, mais de ce qui est glorieux ; c'est la persuasion, mais pas de la vérité.
Socrate : « Même une épopée abandonnée », c'est ce que disent les sages, ô Phèdre, mais ils ont l'intention de ne rien dire et, même maintenant, on dit que cela ne peut être pardonné ;
Phèdre : Tu as raison.
Socrate : Ce n’est pas notre intention.
Phèdre : Comment ?
Socrate : [260b] Si je devais lutter contre toi, je défendrais un cheval bien possédé, mais j'ignorerais le cheval, tant d'imbéciles j'ai la chance de voir autour de toi, car Phèdre, le cheval qui mène le la plupart du temps des animaux, est-ce que...
Phèdre : Geloῖon c᾽ ἅν, ὦ Socrate,
Socrate : Non, mais si tu n'étudies pas par habitude, tu feras un discours à la gloire du cheval, afin que tu nommes et dises que tu es digne de la maison et des soldats, et que tu es utile et au celui qui est fort [260c] sk oui et d'autres très utiles.
Phèdre : Pangelion c᾽ ἂν ἤδι εἴι.
Socrate : Alors ne le considérez-vous pas ridicule et comme un ami, ou le voyez-vous aussi comme un ennemi [est-il un ami ?]
Phèdre : On dirait.
Socrate : Quand donc le rhéteur, ignorant le bien et le mal, a également été convaincu, non de l'ombre du mal, comme on le loue, mais du mal comme du bien, et il persuade la gloire de la multitude de faire le mal au lieu du bien. .qui peut-il récolter alors le fruit rhétorique [260d] qu'ils ont semé ?
Phèdre : Oὐ pany ge epieicῆ.
Socrate : Alors, mon cher, avons-nous appris l'art de la parole plus que nous ne le devrions ? Je suis un conseil, ayant reçu cela, alors ils me reçoivent, alors je parle, comme si, sans moi, les êtres voyaient cela ; il n'y a rien, mais plutôt l'art de persuader.
Phèdre: [260e] Est-ce juste, ai-je dit ces choses ?
Socrate : Femi, si les raisons qui la suivent témoignent qu'elle est un art. Car quand ils écoutent les arguments de leurs professeurs et protestants, selon lesquels c'est faux et que ce n'est pas de l'art, mais une tribulation naïve ; et ils disent, dit Lacon, que l'art honorable sans la vérité ne s'obtient pas, ni l'art ni l'art. est-il jamais né.
Phèdre : [261a] Regarde ces paroles, ô Socrate ; mais réfléchis bien à ce qu'elles disent et à la manière dont elles les produisent.
Socrate : Allez, braves gens, beaux enfants, persuadez Phèdre comme s'il n'était pas capable de philosopher, il n'en était pas capable quand on dit qu'il ne fait rien. Laissons Phèdre répondre.
Phèdre : Vous demandez.
Socrate : Eh bien, ce n'est pas toute la rhétorique si l'art est un divertissement par les mots, non seulement dans les tribunaux et dans toutes les autres associations publiques, mais aussi dans les petits [261b] et les grands, et il n'y a rien plus honorable que Juste à propos de grandes choses ou de mauvaises choses qui arrivent. Comment entendez-vous cela ?
Phèdre : Pas avec Zeus, ils ne circuleront pas comme ça, mais en fait je sais qu'à propos des épreuves on parle et on écrit de l'art, et on dit aussi du demi-dieu mais je n'en ai plus entendu parler ;
Socrate : Mais l'art de Nestor et d'Ulysse était-il seulement entendu des mots, que ceux qui ont étudié chez Ilias ont co-écrits, mais celui de Palamidus était-il un événement inaudible ?
Phèdre : [261c] Et oui, je suis né des Nestoriens, si vous ne construisez pas un Nestor Gorgien, ou un Thrasymaque et Théodore Ulysse.
Socrate : Isus. Mais que font les adversaires devant les tribunaux ?
Phèdre : C'est ça.
Socrate : À propos des justes et des injustes ?
Phèdre : Oui.
Socrate : Celui qui commet cet acte ne leur paraît [261d] à ce moment-là, mais quand il le veut, injuste ?
Phèdre : Quoi ?
Socrate : Et par démagogie, ne font-ils pas ces choses à la ville, tote me agatha, tote de᾽ tanantia ?
Phèdre : Oui.
Socrate : N'est-ce pas l'art d'Éléatien Palamède, de faire apparaître aux auditeurs que ces choses sont semblables et différentes, qu'elles sont une et plusieurs, et qu'elles demeurent et naissent ?
Phèdre : C'est bon.
Socrate : Eh bien, il ne s'agit pas seulement de jugement [261e] et de démagogie, mais, comme de maison, de tout ce qu'on appelle l'art unique, car il est, s'il l'est, à qui il est partout tout comme possible. et autant que possible, également semblable à un autre et caché dans la lumière.
Phèdre : Pourquoi tu ne dis pas ça ?
Socrate : Pourquoi demandent-ils une comparution ? La tricherie est-elle plus ou moins fréquente alors qu'ils sont très différents ?
Phèdre : [262a] Ἀ τοῖς ὀliγον.
Socrate : Mais regardez plutôt les petits transitoires, s'ils surviennent au contraire ou s'ils sont grands.
Phèdre: Pourquoi ?
Socrate : Voyez donc que l'avenir en trompe un autre, mais que celui-ci ne se trompe pas, la ressemblance et la dissemblance des êtres sont précisément connues.
Phèdre : Nécessité avec oὖn.
Socrate : Si vous ignorez vraiment chacun d’eux, diagnostiquez-vous la ressemblance de l’inconnu, petit et grand, chez les autres ?
Phèdre : [262b] Impossible.
Socrate : Ils glorifient ceux qui sont plus que des êtres, et ils se trompent, car cette passion s'est infiltrée à travers les ressemblances de certains.
Phèdre : Cela se passe comme ça.
Socrate : Est-ce donc, en tant que technicien, qu'il transmet peu à peu par similitudes d'un être à l'autre, ou y échappe-t-il, qui ne sait pas ce qu'il y a dans chacun des êtres ?
Phèdre : Jamais.
Socrate : [262c] La parole est donc un art, ô homme, qui ne connaît pas la vérité, mais la glorifie à la légère, ridiculement, comme une maison, et sans art.
Phèdre : En danger.
SOCRATE : Dans le discours lysien donc, qui amènez-vous, et où disons-nous, qu'ils voient ce qui, là où nous mangeons, est le naïf et le rusé ?
Phèdre : De toute façon, même aujourd’hui, comme on dit, ils n’ont pas suffisamment d’exemples.
Socrate : Et avec un diseur de bonne aventure, comme hôte, [262d] à cause de quel exemple, comme s'il s'agissait d'un véritable conflit pour la raison de l'audience. Et moi, ô Phèdre, je blâme les dieux locaux, et peut-être même les Muses, les prophètes, les ᾠeds au-dessus de la tête, les étouffants, si ce vieil homme était le nôtre, car il n'était pas appelé partageur parce qu'il enseignait l'art. .
Phèdre : Quoi qu'il en soit, dites seulement ce que vous voulez dire.
Socrate : Alors raconte-moi le début du discours de Lysias.
Phèdre : "[262e] Tu me fais confiance pour nos affaires, et comme je pense que ces choses sont dans notre intérêt, tu écoutes. Mais je mérite de ne pas souffrir à cause de cela, comme je te le demande, parce que tu ne m'aimes pas si Cela vous arrive. Il se repentira alors de moi" --
Socrate : Arrêtez. Pourquoi alors cet homme pèche-t-il et parle-t-il naïvement ?
Phèdre : [263a] Oui.
Socrate : Eh bien, n'est-ce donc pas la même chose que nous ayons à peu près une de ces choses de manière monotone, et environ une année en opposition ?
Phèdre : J'essaie de comprendre ce que tu dis, parce que je ne l'ai pas dit plus clairement.
Socrate : Lorsqu'il les appelait fer ou argent, n'avons-nous pas tous ressenti la même chose ?
Phèdre : Et bien.
Socrate : Qu'est-ce qui est juste ou bon ?
Phèdre : Tissu avec oὖn.
Socrate : [263b] Si nous sommes d'accord avec eux, mais pas avec les autres.
Phèdre : C'est vrai.
Socrate : Poterothi, alors, nous sommes plus trompeurs, et la rhétorique peut être plus grande chez poteros ?
Phèdre : Illusion, où nous errons.
Socrate : Ils ne connaissent pas l'avenir de l'art de la rhétorique sans d'abord voir ces choses dans la manière dont elles sont divisées et sans apercevoir quelque caractère de chaque espèce, où la foule doit s'égarer et où elle ne s'égare pas.
Phèdre: [263c] Ce serait bien, ô Socrate, que tu comprennes cela.
Socrate : Alors je dis à chacun qui arrive, ne vous attardez pas, mais ressentez avec acuité ce qui arrivera à la race dans le futur.
Phèdre : Quoi ?
Socrate : Et alors ?
Phèdre: Parmi les indiscutables : ou si tu te pardonnes, ils diront ce que tu as dit de lui, en quoi il fait du mal à l'amant, et pourquoi, alors qu'arrive le plus grand des biens ?
Socrate : [263d] Vous dites bien, mais il a aussi dit alors -- moi, pour l'amour des enthousiastes, je ne me souviens de rien -- s'il y avait un peu d'amour au début du discours.
Phèdre : Que Zeus soit féroce.
Socrate : Eh bien, ce que vous appelez les nymphes plus techniques, Acheleus et Pana Hermos Lysius de Céphalos, sont des raisons. Je ne dis pas, mais Lysias, étant le début de l'érotique, nous a fait comprendre l'amour des êtres qu'il [263e] entendait, et dont il avait déjà écrit le dernier mot, a-t-il voulu qu'on relise son début ?
Phèdre : Qu'il vous soit fait ; tout ce que vous demandez n'est pas pour vous.
Socrate : Dis-le, afin que je l'entende.
Phèdre : "Tu crois à nos affaires, et comme je pense que ces choses sont bonnes pour nous, tu entends. Je mérite [264a] mais ne souffre pas à cause de cela, parce que tu ne m'aimes pas. Alors je me repentirai de ce que j'ai fait. faites, à cause du désir, cessez ; " --
SOCRATE : Qu'il voie qui, où et ce que nous demandons, qui, non pas depuis le début, mais depuis la fin, par nécessité, essaie de parler, et commence par celui qui a cessé d'être amant, de parler enfantinement. des choses. Ai-je rien dit, Phèdre, ami chef ?
Phèdre : [264b] C'est-à-dire Socrate, le dernier dont est écrit le discours.
Socrate : Quel est le sens du mot afondi ; co N'as-tu pas une sorte de besoin de logographie qu'il a dit de cette façon ?
Phèdre : Tu es le Christ, car avec la terre les biens de Celui-là [264c] sont ainsi précisément partagés.
SOCRATE Mais alors, je vous le dis, si chaque parole est considérée comme un être vivant, elle est constituée d'un corps de ce qu'elle a, de sorte qu'elle n'est ni sans tête ni vide, mais elle a aussi en elle-même des fins qui appartiennent à chacun. l'autre et s'écrivent dans le tout.
Phèdre : Pourquoi pas ?
Socrate : Considérez le discours de votre partenaire, qu'il soit comme ceci ou autrement, et trouvez que l'épigramme que Midas aux Phrygiens vous a fait écrire n'est pas différente.
Phèdre: [264d] Qui est-ce et qu'est-ce que c'est ?
Socrate : Et alors...
Je suis une vierge de bronze, Midas, sous le signe de laquelle je mens.
S'il y a de l'eau et de grands arbres,
Je ne me suis pas attardé sur un monticule,
J'annonce à Midas qu'il y est enterré.
[264e] Qu'il ne diffère pas de lui, ni en premier ni en dernier, ce que tu dis, tu le penses comme moi.
Phèdre : Tu penses ce que nous disons, Socrate.
SOCRATE : Ils me montrent cela, pour que je ne te déteste pas, fuyons - même s'ils me donnent souvent des exemples à ceux qui les voient, s'ils essaient de les imiter, voyons les autres raisons. Ἦν Ἦν Ἦν ἐν ὐτοῖς, comme je le souhaite, προῆκον ἰεῖν τοῖς νουλομένης πρὶ λόγον οπεῖν.
Phèdre : [265a] De qui parles-tu ?
Socrate : Contre ce qu'il était ; car celui qui aime comme il aime, celui qui voit ce qu'il ne voit pas est content, dit-il.
Phèdre : Et plutôt viril.
SOCRATE Qu'ils soient vrais, car ils sont maniaques ; voici ce que cherchent les hommes. Le jardin maniaque que nous avons quitté, c'est l'amour. Ἦ gar?
Phèdre : Oui.
Socrate : Il existe deux sortes de manies, l'une causée par des maladies humaines, et l'autre causée par le changement divin des licites.
Phèdre : [265b] Pany ge.
Socrate : Des quatre dieux, divisés en quatre parties, les oracles d'Apollon étaient divins, celui de Dionysos l'opéra, celui d'Aphrodite et d'Éros le quatrième, l'amour de l'amour, et je ne voyais pas où prétendait l'amour, Peut-être touché par ta vérité, même si autrement évoqué, non charmés par un discours improbable, [265c] ton hymne mythique nous l'avons modestement et gracieusement prétendu à toi et au despote de l'amour, ô Phèdre, porteuse de bons enfants.
Phèdre : Eh bien, tu n'as pas l'air d'écouter.
SOCRATE C'est ce que nous semblons en recevoir, comme si le discours devait passer du mensonge à la louange.
Phèdre : Comment donc dis-tu cela ?
Socrate : Il me semble que les enfants croient à d'autres choses ; celles-ci et celles que l'on dit par hasard sont deux choses, [265d] s'ils prennent ce pouvoir par la force, ils ne sont pas ingrats.
Phèdre : Quelle ville ?
Socrate : Car on voit les frontières de la pluralité dispersée, de sorte que chacun est déterminé à enseigner ce qu'il veut enseigner. Quant aux paroles sur l'Amour -- qui sont certaines -- qu'elles aient été ou non mal choisies, qu'elles soient claires et qu'elles se l'avouent pour cette raison.
Phèdre : Qu'en dis-tu, Socrate ?
Socrate : [265e] Encore une fois, ils peuvent couper les objets dans lesquels ils tombent, et n'essayer d'en manger aucune partie, tachée à la manière d'un mauvais cuisinier, mais d'un corps double et homonyme tombé, ombre ; , et ceux appelés à droite, ainsi aussi celui de la paranoïa, comme <une> en nous une espèce péphycée, la raison, qui la coupait à gauche, encore cette intersection ne revenait pas avant en On l'appelait du nom de Schoni, l'amour des justes, le droit de la manie de la manie Qu'est-ce qu'une bonne chose.
Phèdre : Vous dites la vérité.
Socrate : Ce n'est pas ce qu'a fait Phèdre, cet amoureux des divisions et des synagogues, pour qu'ils puissent dire et penser Dieu. Et les hommes et ceux qui ont ce pouvoir agissent que j'aie raison ou non, à Dieu ne plaise, mais j'appelle [266c] ainsi jusque-là dialecticiens. Mais maintenant, vous et Lysius, ayant appris ce qu'ils réclament, ou est-ce là l'art des mots, auquel Thrasymaque et les autres sages de couleur disent que c'est un fait, et qui sont les autres qui les accordent comme rois comme ils veulent ?
Phèdre : Des rois et des hommes, pas des scientifiques, demandez-vous. Mais ceci avec l’espèce proprement dite semblait bon, dialectiquement bon ; mais le test rhétorique m’échappe.
SOCRATE [266d] Comment peut-on dire que ce qui reste est pris ?
Phèdre : Et combien de fois, Socrate, sont-ils écrits dans les livres sur les discours de l'art.
Socrate : [Et] eh bien, tu es patient. Préface Je suis le premier comme tu dis au début ; c'est ce que tu dis -- hein gar -- L'élégance de l'art ?
Phèdre : [266e] Oui.
Socrate : Deuxièmement, ne racontez pas de témoignage à ce sujet, troisièmement, des présomptions, quatrièmement, vingt ; et ils me croiront et ils croiront, dit le meilleur rhéteur byzantin.
Phèdre : Appelez-vous le bricoleur Théodoron ?
Socrate : [267a] Quoi ? Mais nous ne nous tournons pas contre le plus beau Parion Einas, qu'ils ont d'abord signalé et flatté - que ceux qui l'ont vu et les calomniateurs l'aient mis en mesure le disent pour l'amour de la mémoire - car c'est un homme sage. Mais voyons Gorgias, qui, avant les vérités, je voyais plutôt les deux choses comme honorables, le petit, le grand et le grand, le petit phénomène, qui, par les paroles du langage, [267b] les choses nouvelles et anciennes contre les nouvelles, brièveté des mots et infinie Quand Prodicus entendit cela, il rit, et il fut le seul à voir l'art de la parole, ni longue ni courte, mais modérée.
Phèdre : Sagement, ô Prodike.
Socrate : Ne dit-on pas Hippien ?
Phèdre : Quoi ?
Socrate : Mais comment pouvons-nous exprimer les paroles de Paul par un musée de mots -- tels que [267c] double langage et opinion et iconologie -- de noms et de Lycymnias qui lui ont été donnés pour la poésie d'éloge funèbre ?
Phèdre : Protagorea, ὦ Socrate, tu ne le pensais pas ?
Socrate : La justice est tout, ô Pai, et bien d'autres bonnes choses. Il me semble que la force de Chalcédoine, qui n'est pas vexatoire dans la vieillesse et blessée par la faim, est en colère contre beaucoup d'hommes méchants [267d], le diable est aux commandes. Mais la fin des mots communs à toutes les maisons connectées est que là où certaines ne sont pas mentionnées, d'autres sont nommées différemment.
Phèdre : Dites-vous toujours que vous vous souvenez du dernier lorsque vous entendez parler des défunts ?
Socrate : C’est ce que je dis, et qu’avez-vous d’autre à dire sur l’art ?
Phèdre : Petit et indigne, dit-on.
Socrate : [268a] Ne voyons pas les petites choses, mais ces choses sont cachées sous la surface des œufs.
Phèdre : Et c'est bien pour toi, Socrate, si tu vois une multitude de serviteurs.
Socrate : Il a un fils. Mais, ô démon, regarde, toi aussi, et il te semble donc qu'ils sont aussi puissants que moi.
Phèdre : Seulement du spectacle.
Socrate : Dis-moi, s'il s'est approché de ton compagnon Eryximaque ou de son père Acumène, dis que « je crois qu'ils offrent ce corps, afin qu'ils réchauffent [268b] mon corps et mon âme, et s'il ne brille pas sur moi, je périront, s'il en est ainsi, en dessous de leur séparation, et bien d'autres choses semblables ; et croyant cela, je suis un digne médecin, et à qui d'autre dois-je livrer cette science, " et s'ils entendent et disent ?
Phèdre : Que fait-il d'autre s'il est présent et qu'il voit, et qui sont chacun d'eux et jusqu'où ?
Socrate : Eh bien, dis donc : « Oudamos ; mais je mérite cela [268c] pour moi-même, ayant appris qui c'est [à qui] tu demandes ?
Phèdre : Alors si je rêve qu'un homme est en colère, et que d'après un livre dont vous avez entendu parler, ou qu'un médecin apothicaire à succès semble être des faits, rien n'est de l'art.
SOCRATE Et si Sophocle et Euripide venaient leur parler d'une petite chose, vous parlez longuement et d'un grand drap, quand cela vous plaît, avec amertume, et au contraire, effrayant et menaçant, comme [268d ] d'autres choses et l'enseigner. La poésie tragique est-elle une tradition ?
Phèdre : Et si ceux-là, ô Socrate, je blasphème, y voient-ils une tragédie ou quoi d'autre ?
Socrate : Mais je ne suis pas un paysan, mais en tant que musicien, un homme d'harmonie, car il n'est pas celui qui aiguise et alourdit [268e] une corde, qui ne soit pas sauvagement méchant, sombre. " Mais si tu es un musicien, d'abord, si tu crois à l'avenir harmonieux, tu ne gênes pas celui qui a l'harmonie parce que tu crois aux leçons nécessaires à l'harmonie, mais pas à l'harmonie ika.
Phèdre : Avec raison.
Socrate : [269a] Sophocle lui reproche également de montrer les choses tragiques mais pas le tragique, et Acumène les choses médicales mais pas médicales.
Phèdre : Pantapasi hommes.
SOCRATE : Que feraient Adraste ou Périclès s'ils entendaient où nous dormons avec toutes les ruses, les brachylogues, les euphémismes et toutes les autres choses qui se sont passées sous les œufs dont on pense, plus [269b] qu'eux, comme moi. Et vous, sous les paysans, dites aux ignorants, en écrivant ces choses et en les enseignant comme un art rhétorique, ou si vous êtes plus sages que nous, même si vous êtes confus en disant : « Ô Phèdre et Socrate, il n'est pas nécessaire pour que vous échouiez, mais pour me connaître Les croyants sont choisis comme impossibles. Il a été décidé ce qu'est la rhétorique, et de cette passion les leçons nécessaires à l'art de la rhétorique ont été découvertes, et celles-ci, sans les enseigner aux autres, sont finalement rhétoriquement non enseignées. , et on dit probablement que chacun d'eux est le même bien qu'il ne s'agisse d'aucune œuvre <ὅν>, que les étudiants en arts les voient par eux-mêmes dans les discours".
Phèdre : Mais ne t'expose pas, ô Socrate, à un tel art, que ces hommes enseignent et écrivent comme de la rhétorique, et comme s'ils faisaient du prosélytisme pour la vérité, mais vois l'art de la parole, de la rhétorique et de l'art possible ; comment et où si vous pouvez les trouver ?
Socrate : Mon pouvoir, ô Phèdre, est de naître combattant, si -- peut-être est-ce nécessaire -- ils ont un tel talent, si tu as un caractère rhétorique, sois un orateur éloquent, apprends et étudies ; s'il en manque, vous êtes imparfait. Mais quant à son art, ni Lysias ni Thrasymaque ne le suivent, cela me semble être la méthode.
Phèdre : Mais où ?
Socrate : [269e] Il est en danger, ὦ ariste, même Périclès naît toujours dans la rhétorique.
Phèdre : Quoi ?
Socrate : Tous les grands hommes des arts sont attachés [270a] à l'étude et à la météorologie de la nature, car ils l'exaltent et sont toujours revêtus du Créateur ultime. Et Périclès au sage est exalté : car je suis venu à Anaxagoras, plein de météorologie, et sur la nature de l'esprit et de l'intellect, arrivant là où Anaxagoras était un poète d'une grande éloquence, de là il a attiré l'attention sur l'art de la parole étant son.
Phèdre : Comment dis-tu cela ?
Socrate : [270b] Celui qui est l'art de la médecine et de la rhétorique.
Phèdre : Comment ça ?
Socrate : Dans deux bêtes, veille à ce que la nature soit choisie, le corps d'un côté et l'âme de l'autre côté, si tu viens, ne broie pas seulement avec l'expérience, mais fais, en m'offrant des médicaments et de la nourriture, la santé et la persuasion avec mots, et avec elle, vous parlez et tentez une persuasion légitime. Laissez-les agir s'ils le veulent et s'ils sont bons.
Phèdre : C'est comme ça, Socrate.
Socrate : [270c] De l'âme donc, de la nature, en vertu de la parole, pouvez-vous comprendre ce qui est possible sans la nature tout entière ?
Phèdre : Moi, Hippocrate, je demande aux Asclépiades de voir ce que l'on croit, pas sur le corps sans cette méthode.
SOCRATE : Eh bien, mon ami, dit-il, laissez Hippocrate parler à Hippocrate, en examinant le discours, s'il est d'accord.
Phèdre : Femi.
Socrate : Ce qu’ils disent de la nature signifie ce que dit Hippocrate et la vraie raison. Il n'y a aucune compréhension ici [270d] de leur nature ; premièrement, s'ils sont simples ou multiples, en ce qui nous concerne, ils sont techniques et qui d'autre est fort, ensuite, s'ils sont simples, ils visent sa puissance, à quoi fin ? dans le, ils agissent l'un ou l'autre dans la souffrance sous lui, mais s'il a beaucoup de choses, celles-ci sont numérotées, car s'il y en a une, ils voient cela en chacun, à qui cela arrive-t-il ou à quoi font-ils souffrir sous lui ?
Phèdre : Il est en danger, ὦ Socrate.
Socrate : Sans cela, la méthode est comme [270e] un chemin aveugle. Cependant, il ne rend pas celui qui est montré inférieur à ceux qui sont aveugles ou sourds, mais plutôt comme si, s'il les transformait en mots, il montrait l'essence de la nature de ce à quoi il déguise les mots.
Phèdre : Quoi ?
Socrate : [271a] Il n'est pas dans la même situation que lui dans tout cela ; Ἦ gar?
Phèdre : Oui.
Socrate : Disons que Thrasymaque, et quiconque étudie l'art de la rhétorique, doit d'abord écrire avec précision et faire un poème, sachant que l'âme est la même, ou que le corps est un et le même, ou que le corps est le même. est de forme multiple ; il s’agit, par nature, d’une démonstration.
Phèdre : Pantapasi hommes.
Socrate : Deuxièmement, ne lui dites pas ce qu'ils font ou souffrent à cause de lui.
Phèdre : Quoi ?
Socrate: [271b] Et troisièmement, ne pas ordonner les genres de parole et d'âme et les souffrances de ceux-ci selon chaque cause, en adaptant chacun à chacun et en enseignant où et quand selon quelles raisons par lesquelles cause on est nécessairement convaincu et l'autre n'est pas cru.
Phèdre : Eh bien, si, comme ἔοικ᾽, ἔχοι ἔτος.
Socrate : Même par oὖn, ὦ ami, l'art autrement indiqué ou appelé art n'est jamais dit ou écrit, ni quoi [271c] d'autre ni ceci. Mais ceux qui écrivent maintenant, là où vous écoutez, sont rusés dans l'art des mots et se cachent, espions des âmes autour des échoppes ; avant de parler et d'écrire de cette manière, ne nous laissons pas persuader par leur art d'écrire.
Phèdre : Tu as ça ?
Socrate : Avec ces mots, ils disent non aux eupetes ; mais comme ils l'écrivent, s'ils en ont techniquement autant qu'ils le peuvent, ils disent que je le ferai.
Phèdre : Dis ville.
Socrate : Parce que la puissance de la parole est donc un divertissement, [271d] il faut le futur rhéteur, connaissant l'âme ce qu'elle a déjà. Il y a donc tant et tant, et tant et tant, d'où les uns sont tels, et les uns sont tels ; mais de celles-ci ne sont pas ainsi divisées, il y a donc tant et tant de sortes, chacune. Ceux donc qui, pour telle ou telle raison, croient telle ou telle chose, et ceux qui, à cause de telle ou telle raison, ne croient pas suffisamment, après que ces choses ont été vues dans les actes, [271e] cela peut suivre avec acuité dans le cœur, ou bien rien n'est maintenant dit à celui qui a alors entendu les mêmes paroles. Ce n'était pas le cas avec lequel il était convaincu, produit par les puissants de l'auteur de celles-ci, que [272a] pas les raisons de la Je suis convaincu, ces choses ont déjà toujours existé, en acceptant les temps de ce qui se dit et ce qui se fait, du langage court et puis et de l'élinologie et de la souffrance de chacun qui sait raisonner, de cette opportunité et diagnostic intempestif, eh bien et enfin l'art est fini, avant d᾽ non mais parce que s'ils; [272b] manquent de parole, d'enseignement ou d'écriture, mais s'ils parlent, ceux qui ne sont pas convaincus se retiennent. "Et alors ? Peut-être que l'écrivain, ô Phèdre et Socrate, le pense ? Sinon, comment les soi-disant mots de l'art sont-ils acceptables ?"
Phèdre : Impossible, Socrate, autrement ; même si cela ne semble pas une mince affaire.
Socrate : Vous dites la vérité. Toutes ces onze fois, en tournant les raisons de haut en bas, observez si [272c] les mots et les plus courts apparaissent sur cette route, afin qu'ils n'apprennent pas trop d'elle et de la trachée, mais du petit nombre et de la proie. Mais quel genre d'aide recevez-vous de Lysius ou d'autres, du moins disent-ils en souvenir.
Phèdre : J'ai eu de l'expérience, mais pas maintenant parce que je l'ai fait.
SOCRATE Alors, qu'est-ce que je veux dire à qui de ces choses j'ai entendu ?
Phèdre : Quoi ?
Socrate : On dit, ô Phèdre, que le loup a raison de dire.
Phèdre : [272d] Et c'est ce qu'il dit.
SOCRATE Mais ils ne ressemblent pas à cela et ne rabaissent pas ceux qui sont loin ; car nous disons au début de ce discours qu'il n'y a aucune vérité dans la crainte des choses justes et bonnes, ou des hommes de ce genre. nourriture naturelle, l’avenir est présent avec éloquence. Car ils ont transgressé, dans les jugements de ces vérités il ne reste que du possible ; Car ils ne disent pas parfois que ces choses ont été faites, à moins qu'elles n'aient été réellement faites, mais les vingt choses, en accusation et en excuses, et en disant qu'il n'est pas un persécuteur, beaucoup de gens se réjouissent de la vérité, car cela est à cause de [273a] toute la raison, devenant l'art perdu de poriser.
Phèdre : Ces choses, Socrate, tu as résolu ce que ceux qui disent des discours prétendent être techniques ; car souviens-toi que dans le premier court terme nous arrivons à la maturité, mais essaie que tout cela soit à ceux qui parlent de ces choses.
Socrate : Mais ne suivez pas exactement Tessias ; on nous dit, et alors Tessias ne dit rien d'autre [273b] que ce que dit le peuple ou ce que pense la foule.
Phèdre : Quoi d'autre ?
Socrate : Ceci, en tant que chef de famille, est sage, mais ils l'ont écrit comme si tu étais un homme faible, fort et lâche, portant des vêtements ou autre chose C'est évident de sa part C'est la faute d'un homme, mais celui-ci me contrôle comme il l'était , et il sera maltraité [273c] car si je n'essayais pas de faire ça donner livraison à l'adversaire ? Et à propos d'argent, ne laissez pas cela être ce que vous dites. Oὐ gar, ὦ Phèdre ?
Phèdre : Quoi ?
SOCRATE : Eh bien, si Teisias ou quelqu'un d'autre qui a de la chance et d'où il tire son nom, se réjouit d'un art caché. Atar, ὦ etaire, à cela nous dirons plus tard ou pas --
Phèdre : [273d] Qui ?
Socrate : Parce que, ô Teisia, avant même ta mort, nous disions ainsi à beaucoup, à cause de la similitude de la vérité, qu'il arrive que nous touchions les similitudes parce que nous sommes passés parce que partout il y a une ; qui connaît bien la vérité est trouvé. Mais si vous dites autre chose sur l'art de parler, écoutons-le ; sinon, nous sommes convaincus que nous avons traversé un sommeil, comme si les natures de ceux qu'on entend [273e] n'étaient pas énumérées, et que les êtres le soient. réparti selon les espèces, et avec une idée forte chacun comprend, même s'il est un technicien des mots dans la mesure du possible pour une personne. Mais ces choses ne s'acquièrent jamais sans beaucoup de travail ; ce qu'il dit et fait aux hommes n'est pas la faute du sage, mais les bienheureux des dieux sont appelés force, et par grâce il fait tout ce qui est en son pouvoir. Car donc, ô Teisia, que les plus sages d'entre nous, qui sont également doués [274a], étudient l'esprit du possesseur, car il n'est pas passif, mais bon seigneur et issu de bonnes choses. Si la période est longue, ne soyez pas surpris, car il existe de nombreuses circonstances, pas comme vous le pensez. Qu'il en soit ainsi, comme le dit la parole, s'ils le veulent, et ces choses en sont bien faites.
Phèdre : On dirait que cela est dit, Socrate, parce que personne ne le sait.
Socrate : Mais même ceux qui font le bien au bien et [274b] souffrent, car si cela leur arrive, ils souffriront.
Phèdre : Et bien.
Socrate : Je connais autant que je peux l’art et la naïveté des mots.
Phèdre : Quoi ?
Socrate : Les d'euprepeias d'écrire sur l'indécence, parce que c'est bien fait si on l'a et là où c'est indécent, alors. Ἦ gar?
Phèdre : Oui.
Socrate : Est-ce donc que Dieu se contente de paroles sur les actes ou de paroles ?
Phèdre : Oudamos, et toi ?
Socrate: [274c] J'ai entendu dire que j'ai déjà dit que c'était vrai. Mais si nous trouvons cela, et si nous étions membres des gloires humaines ?
Phèdre : Rires, mais qu'en dites-vous ?
Socrate : J'ai entendu parler de la naissance des anciens dieux à Naucratin en Égypte, où ils adoraient un prêtre qu'ils n'appellent pas Hévin, mais le nom du démon est Theuth. Ce n'est pas le premier nombre que l'on trouve en calcul, et [274d] en géométrie et en astronomie, et dans l'année du lancer et du cube, et pas même des lettres. Vasileos vit alors l'existence de toute l'Égypte autour de la grande ville de Haute-Égypte, que les Grecs appellent Thèbes, et du dieu Ammon reto Ἀντινα εκαστι. Vous avez un avantage à réussir, car que ce soit bon ou non [274e], ils dis, si j'ai péché, cela ne s'accomplira pas. On parle beaucoup de chacun des arts des deux côtés ; la médecine de la mémoire et de la sagesse a été trouvée. » Il dit : « Ô artisans Theut, l'un n'est pas fort dans les arts, et l'autre juge de ce qui présente un certain degré de préjudice et d'avantage pour les futurs chrétiens ; et maintenant [275a] toi, père des lettres, par faveur du contraire tu as dit ou c'est possible. Car les érudits ont oublié cela dans leurs âmes par négligence de la mémoire, mais par la foi d'écrire de l'extérieur sous d'autres types, ils ne sont pas donnés à ceux dont on ne se souvient pas, ils n'ont d'autre médicament que la mémoire pour laquelle ils se souviennent ; ceux qui sont nés sans enseignement, les polynômes [275b] sont glorieux, ignorants comme dans la multitude des êtres, et ils sont malheureux, glorifiant les faits au lieu d'être sages.
Phèdre : Socrate, vous, Égyptiens et Opodapiens, si vous voulez raisonner, qui êtes-vous ?
Socrate : Tous deux, mon ami, dans le chêne sacré de Zeus de Dodonée, parlèrent des oracles sur les premières naissances. Pour eux donc, s'ils ne sont pas aussi sages que vous, jeunes gens, ils écouteront la malédiction du chêne et de la pierre, si seulement [275c] la vérité est dite ; pour vous, peut-être, ce que je dis n'est pas différent d'eux. N'est-ce pas là votre objectif, que ce soit vrai ou non ?
Phèdre Tu as raison de me réprimander et de m'éprouver au sujet des lettres, dit le Thébain.
Socrate : Personne qui voit l'art d'écrire n'est déprimé, et donc celui qui admet ce qui est clair et certain dans les lettres, pleines de nombreuses prières et à l'oreille des oracles d'Ammons, est ignorant, maintenant ce qu'il voit sont des raisons. ] écrit pour supporter l'eidot sur où si ᾖ ceux écrits.
Phèdre : C'est vrai.
Socrate : Malheur à lui, ô Phèdre, que ceci soit écrit et aussi véritablement comme un tableau. Et parce que ses actes étaient vivants, si elle ne soulève rien, elle se tait pudiquement. Il en est de même des paroles : gloire à eux, s'ils les disent avec ce qu'ils pensent, s'ils apprennent en écoutant ce qui est dit, mais ce que cela signifie seulement cela, hélas. Mais quand on écrit apax [275e], il se roule partout, pareil à ceux qui vivent, comme à qui il n'appartient pas, et on ne croit pas que ceux qui voient oui et non disent. Mais lorsqu'il est souillé et qu'il n'est pas jugé par le père, il est considéré comme un secoureur, car il ne défend ni n'est aidé par sa force.
Phèdre : Et cela vous est dit avec raison.
Socrate : [276a] Quoi d'autre ?
Phèdre : Tina et comment appelles-tu le gignomenon ?
Socrate : Ce qui est écrit avec la science dans l'âme du manthanone, fort s'il se défend, mais de la science ils parlent et se taisent à ceux qui voient.
Phèdre : Tu appelles la parole parlée vivante et animée, là où l'image écrite est justement dite.
Socrate : [276b] Pandapasi avec oὖn. Alors dis-moi : le fermier qui a une pensée là où les graines sont semées et où naissent les fruits, qu'il étudie si dans les jardins d'Adonis les joies des huit jours sont bonnes, ou si ce ne sont pas des enfants à cause de la fête. quand et qui ; Mais si celui qui a étudié, dans le domaine agricole, s'il travaille, sème à l'avenir, s'il est amoureux, au huitième mois, qu'est-ce qu'il sème à la fin ?
Phèdre : [276c] Ainsi, ὦ Socrate, j'étudie les choses, et les choses autrement, si tu me dis qui.
Socrate : Et ceux qui ont la connaissance du juste, du bien et du bien, ont-ils la nourriture du paysan dans leurs propres semences ?
Phèdre : Ἥkista ge.
Socrate : Étudie donc ceci dans l'eau, écris à l'encre avec des rouleaux de roseau avec les paroles des faibles, à moins qu'ils ne soient aidés par la parole, mais aux faibles, enseigne la vérité.
Phèdre : Aucun d’entre eux.
Socrate : [276d] Non, mais les jardins en lettres, comme une maison, il sème pour le bien des enfants et il écrit, quand il n'écrit pas, en accumulant des souvenirs pour lui-même, dans l'oubli de la vieillesse s'il le faut, et tout ce qui suit le même chemin, soyez conscient de ceux que vous considérez comme nés doux ; quand d'autres enfants ont besoin des autres, banquetant et brûlant ces autres et tous leurs frères, alors lui, comme il était, commande à la place de ceux que j'appelle les playboys. .
Phèdre: [276e] Tu parles bêtement des méchants enfants, ô Socrate, qui jouent avec les paroles des puissants, de la justice, et d'autres dont tu parles de mythologie.
Socrate : Eh bien, mon ami Phèdre, voici comment cela se passe : je ne suis pas beaucoup plus doué pour l'apprendre, quand, colorés par l'art de la dialectique, ils écoutent l'âme, plantent et sèment des arguments scientifiques qui aident ceux qui ceux qui plantent [277a] sont capables et non stériles, mais ont une semence dont d'autres naissent chez d'autres, c'est l'immortalité accordée par celui qui est capable, et le possesseur est béni dans la mesure où l'homme en est réellement capable.
Phèdre : Vous parlez très bien de cette année.
Socrate : Maintenant, Phèdre, jugeons ces confesseurs.
Phèdre : Lesquelles ?
SOCRATE Si nous ne voyons pas que nous en avons délibéré, nous arrivons là, comme à Lysias, nous examinons les paroles [277b] écrites, et ces paroles qui sont écrites avec art et naïveté. Ce qui est si astucieux et qui ne me prouve pas me paraît modéré.
Phèdre : Gloire à toi, mais rappelle-moi encore comment.
Socrate : Avant que chacun connaisse la vérité sur ce qu'il dit ou écrit, par là il est déterminé partout où il devient fort, déterminé encore par les espèces jusqu'à ce qu'on croie à l'incorruptible, à la nature de l'âme selon celles-ci, le [277c] adapté Chaque nature découvre un genre, donc elle ennoblit et décore la parole, diverse avec des âmes diverses et deux discours harmonieux, mais simple, simple, ne fait pas devant la force de s'asseoir autant qu'il en est venu à manier le genre de la parole, ni ce que vous enseignez-le ni ce que vous le persuadez, comme nous l'a tous dit celui qui nous a précédé.
Phèdre : C'est donc toujours ainsi que cela se présentait.
Socrate : [277d] Qu'en est-il donc du bien ou du beau, c'est que les raisons sont dites et écrites, et quand cela arrive dans un procès, on dit si c'est laid ou non, c'est pourquoi il n'a pas déclaré ce qui a été dit un peu plus tôt. --
Phèdre : Lesquelles ?
Socrate : Que Lysias ou d'autres aient jamais écrit ou rédigé des lois en privé ou en public, vous écrivez un recueil d'écrits politiques et dans celui-ci beaucoup de certitude et de clarté, j'ai donc honte de l'écrivain, qu'il l'ignore ou qu'il l'ignore. non. te et onar des justes [277e] et des injustes, et des méchants et des bons, cela n'échappe pas à la vérité, et cela n'est pas surprenant, même si toute la foule la loue.
Phèdre : ὐ γὰρ οὖν.
Socrate : Il y a beaucoup de besoin dans le discours écrit sur chaque enfant, et aucun discours n'est jamais écrit sans une mesure de grand mérite, et il n'est pas non plus dit comme les coquins sans interrogatoire et persuasion, onze ont été éprouvés, mais à [ 278a] pour eux. le meilleur des événements a été rappelé, mais pour ceux qui ont été instruits et pour le plaisir d'apprendre, ce qui a été dit et ce qui a été écrit dans l'âme sur le juste et le bien et le bien [dans] seul l'abbé des anciens est aussi parfaits et dignes d'étude ; c'est à cause de lui que vous êtes appelés qui vous êtes vraiment, d'abord en lui, si vous vous trouvez en lui, ensuite si vous êtes ses fils [278b] et ses frères, mais dans le changement des autres. les âmes qu'ils ont inspirées ; et d'autres se réjouissent en lui : celui-ci mais celui-là, un homme est en danger, ô Phèdre, c'est un homme dont vous et moi serons heureux si cela arrive à vous et à moi.
Phèdre : Je fais donc toujours de mon mieux et je te souhaite ce que tu dis.
Socrate : Ils ne croient pas encore
Phèdre : Avez-vous les noms de Dieu ?
Socrate : Ce qu'un homme sage, ô Phèdre, appelle comme un grand homme, et cela est dû à Dieu seul ; mais qu'il soit philosophe ou tel, qu'il soit à la fois digne et écouté avec amour.
Phèdre : Et en aucun cas.
Socrate : Y a-t-il quelqu'un qui n'ait pas eu une personne plus honorable qui ait rencontré ou écrit de haut en bas dans le temps, se tournant vers d'autres [278e] et emportant, dans une épreuve que vous ajoutez un poète ou un écrivain de mots ou un nomographe ?
Phèdre : Quoi ?
Socrate : Ce sont des phrases similaires.
Phèdre : Et toi ?
Socrate : Tu as ça ?
Phèdre : Isocrate le bon ; qu'en dis-tu, Socrate ?
SOCRATE Jeune homme, Phèdre, Isocrate : quels hommes je devine [279a] contre lui, qu'ils disent que je le ferai.
Phèdre : Quelle ville ?
Socrate : Prouve-moi que, selon Lysias, ce sont des raisons de la nature, qu'il doit être plus généreux, afin qu'il ne naisse pas un merveilleux produit de son âge, s'il essaie maintenant, ou des querelles d'enfants de ceux-là. qui n'est jamais né. raisonne, Ne lui cache pas ces choses, mais je les lui donnerai comme une impulsion divine, ô ami, insuffle-leur de la philosophie [279b] dans l'esprit d'un homme ; Je ne proclame donc pas ces choses devant les dieux comme je l'étais l'enfant Isocrate, mais vous les faites comme vous Lysias.
Phèdre : Qu'il en soit ainsi ; mais voyons, car la noyade s'est également produite plus tard.
Socrate : Où doit aller un homme bienheureux ?
Phèdre : Quoi ?
SOCRATE : Ami Pan et tous les autres dieux, montre-moi que de bonnes choses arrivent ici et là ; mais ce que j'ai à l'extérieur, pour ceux à l'intérieur, ce sont mes amis. Mais je considère le sage comme riche, et l'abondance de l'or est à moi, à condition qu'il n'apporte ni n'agisse, autre que le sage.En revanche, ô Phèdre, je ne suis pas dans la modération.
Phèdre : Et je partage ces choses, car les choses des amis sont communes.
Socrate : Allo,s
* peut-on la rapprocher de l'expression d'allant et d'approbation, Yo Man ?
Socrate : Celui qui est inscrit avec connaissance dans l'âme de celui qui apprend, capable de se défendre lui-même et, en tant que connaissant, de parler ou de se taire selon ce qui est nécessaire.
Phèdre : Tu parles donc d'un discours vivant et animé, dont l'écrit serait une simple image, si l'on peut dire, qui exprime quelque chose de juste.
Socrate : Tout à fait. Alors dis-moi ceci : un cultivateur qui connaît les semences qu'il entretient et qu'il souhaite voir croître, préfèrerait-il avec soin observer des jardins d'Adonis, admirant leur beauté pendant huit jours, ou bien préférerait-il se consacrer à son art agricole et, après avoir semé les graines au moment approprié, se réjouir du produit qu'il récolte à la fin du huitième mois ?
Phèdre : : Assurément, il préférerait le second choix. Il est clair qu'il s'engagerait avec sérieux dans son travail et se réjouirait des fruits de son travail.
Socrate : N'est-il pas vrai que, lorsqu'il s'agit d'écrire des discours avec de l'encre sur de l'eau, ils ne peuvent pas aider eux-mêmes ou enseigner efficacement la vérité ?
Phèdre [276d] : En effet, il est évident que ce n'est pas le cas.
Socrate : Les écrits semblent être, être comme des jardins semés pour l'émerveillement et l'amusement, mais lorsqu'ils sont écrits, ils accumulent des notes de rappel pour leur auteur, qui, s'il parvient à la vieillesse, trouvera du plaisir à observer ces idéees [eidos] comme elles se forment, tandis que ceux qui utilisent d'autres distractions et festins se trouvent dans une situation différente. Alors celui qui s'occupe des jardins d'écriture, comme il semble, jouera à son tour avec les autres, alors que ceux-ci se consacrent à d'autres activités.
Phèdre [276e] : Tu parles, Socrate, d'une manière très générale et triviale du jeu dans les discours, ce qui contraste avec les discours que tu as dits sur la justice et sur d'autres choses.
Socrate : En effet, cher Phèdre, il en est ainsi. Mais il me semble qu'un véritable engagement et une meilleure compréhension se forment lorsque quelqu'un utilise l'art dialectique, plantant et semant des discours avec connaissance. Ces discours, qui aident réellement celui qui les a plantés, sont fertiles, non stériles, et peuvent produire des fruits éternels dans diverses circonstances, apportant du bonheur à celui qui les possède autant que possible pour un être humain.
Phèdre : Car cela semble beaucoup plus beau, ce que tu dis.
Socrate : Maintenant, donc, nous pouvons juger ces choses, ô Phèdre, étant donné que ces points ont été acceptés.
Phèdre : Quels points ?
Socrate : Nous avons atteint le point où nous souhaitons examiner cela, à savoir comment nous pourrions examiner le reproche adressé à Lysias au sujet de l'écriture des discours, et examiner les discours eux-mêmes, qu'ils soient écrits avec ou sans art. Il me semble que ce qui est fait avec art est déjà suffisamment clair.
Phèdre : Cela m'a semblé en effet ainsi ; mais rappelle-moi comment.
Socrate : Avant que quelqu'un ne sache la vérité de chaque discours, soit sur ce qu'il dit ou écrit, il doit être capable de définir toute chose en elle-même, puis de décomposer chaque chose en espèces jusqu'à l'atomique, en distinguant la nature de l'âme, et trouver la forme appropriée pour chaque nature, ainsi il composera et embellira le discours, en fournissant des discours variés pour diverses âmes et harmonieux pour les âmes harmonieuses, et simples pour les simples. Il ne peut pas être fait avec art jusqu'à ce que soit adapté le genre des discours selon leur nature, ni pour enseigner ni pour convaincre, comme l'a indiqué précédemment le discours de tous.
Phèdre : Tout cela semble vraiment ainsi.
Socrate ; Que dire encore de la beauté ou de la laideur de parler et d'écrire des discours, et de savoir si, en justice, il pourrait être une honte ou non ; ne l'a-t-il pas déjà indiqué légèrement plus haut ?
Phèdre : Quels points ?
Socrate: Comme si Lysias ou quelqu'un d'autre avait écrit ou écrira des lois, soit en privé soit en public, en rédigeant un ouvrage politique et en le considérant comme ayant une certaine solidité et clarté ; cela serait une honte pour l'écrivain, que ce soit quelqu'un qui le dit ou non ; car ignorer ce qui est juste et injuste, et ce qui est bon et mauvais, n'échappe pas à la vérité et n'est pas blâmable, même si toute la foule le loue.
Phèdre : En effet, ce n'est pas le cas.
Socrate : Celui qui considère qu'il est nécessaire d'avoir beaucoup de jeux dans le discours écrit, et jamais aucun discours dans la mesure ou sans mesure digne d'étude, ni de dire quoi que ce soit comme les rhapsodes sans examen et enseignement pour persuader, mais que ceux qui savent vraiment connaissent les meilleurs souvenirs de l'écriture, et que dans les enseignements, à des fins d'apprentissage, les discours réellement écrits dans l'âme sur la justice, la beauté, et le bien sont considérés comme clairs, parfaits et dignes d'étude ; ces discours doivent être dits comme des fils légitimes, d'abord ceux en eux-mêmes, s'ils sont trouvés, ensuite ceux qui sont leurs descendants et frères, soufflés également dans d'autres âmes selon leur mérite ; tandis que les autres doivent être laissés à la joie -- cet homme, ô Phèdre, semble risquer d'être celui que nous souhaiterions être comme toi et moi.
Phèdre : En effet, je souhaite et je prie pour ce que tu dis.
Socrate : Ainsi, il est alors nécessaire pour nous d'avoir une mesure raisonnable pour les discours ; et toi aussi, en allant, fais savoir à Lysias que nous sommes descendus à l'Arcadie et au temple des Nymphes, et que nous avons entendu des discours, ceux qui ont ordonné de parler à Lysias et à tout autre qui compose des discours, ainsi qu'Homère et tout autre qui compose une poésie simple ou une ode ; et Troisième à Solon et à quiconque a écrit des lois dans les discours politiques. Si celui qui a composé cela sait comment il est vrai, et possède la capacité d'aider, en allant au contrôle sur ce qu'il a écrit, et en étant capable de démontrer les écrits comme étant faibles, il n'est pas nécessaire de dire que ce genre est un surnom pour celui-ci, mais pour ce sur quoi il a travaillé.
Phèdre : Quels surnoms donc lui attribuerais-tu ?
Socrate : Il me semble que le surnom "sage" est grand et convenable uniquement pour le dieu ; mais "philosophe" ou quelque chose de ce genre, c'est plus approprié et harmonieux pour lui et plus exact.
Phèdre : Et rien du genre ?
Socrate : Alors, celui qui n'a rien de plus précieux que ce qu'il a composé ou écrit, en tournant et retournant avec le temps, en collant et en enlevant, en justice, comment l'appellerais-tu, un poète ou un écrivain de discours ou un législateur ?
Phèdre : Que serait-ce donc ?
Socrate : Alors, explique cela à l'ami.
Phèdre : Et toi, que diras-tu ? Comment procéderas-tu ? Il ne faut pas non plus passer à côté de ton ami.
Socrate ; Quel ami ?
Phèdre : Isocrate le bon ; que lui annonceras-tu, ô Socrate ? Comment dirons-nous qu'il est ?
Socrate : Ainsi, mon ami Phèdre, voici comment : je ne suis pas beaucoup plus doué pour l'apprendre, lorsque ceux qui sont colorés par l'art de la dialectique, s'enhardissent et les écoutent, plantent et sèment des discours scientifiques, que ceux qui plantent [277a] sont capables d'aider et ne sont pas infructueux, mais ont une semence dont d'autres naissent chez d'autres, qui sont capables de donner l'immortalité et qui bénissent celui qui l'a, dans la mesure où l'homme en est capable.
Socrate [276a] : omment pouvons-nous appeler un véritable frère, selon la manière dont il est créé, et plus il devient de plus en plus fort ?
Socrate : [276a] Mais alors, comment pouvons-nous appeler un autre discours, frère du premier, qui se distingue par la manière dont il naît * plus fort et plus puissant que celui-ci ** ?
* φύεται, pensez à physis, la nature, pas encore né, ce qui est à naître, bref la nature, participe future de nasceo, là où future est participe future de esse, c'est aussi ce qui croît, ce qui pousse, bref la croissance était naturelle là où pour nous la croissance est économique avant tout, l'intérêt de Platon se tourne bien vers ce qui est vivant et animé et non ce qui figée dans la pierre ou fixé une fois pour toute, le dogme ; ** ἀμείνων καὶ δυνατώτερος, amène, meilleur, plus brave, plus vertueux.
Phèdre : Quel est ce discours, et comment naît-il ?
Socrate : Il s'écrit avec la science dans l'âme de l'étudiant *, fort s'il se défend, mais ils disent qu'ils sont des scientifiques et ils se taisent devant ceux qui voient.
* de celui qui étudie, de l'écolier : οἱ μανθάνοντες, Xén. Mem. 1, 2, 17, les écoliers (Bailly).
Phèdre : Tu parles du discours vivant et animé qui réside dans l'intelligence, et dont l'inscription écrite n'est que le simulacre convenable, à juste titre, de manière juste, de manière exacte.
Socrate : [276b] Tout de même avec oὖn. Alors dis-moi : le fermier qui a une pensée là où les graines sont semées et où naissent les fruits, qu'il étudie si dans les jardins d'Adonis les joies des huit jours sont bonnes, ou si ce ne sont pas des enfants à cause de la fête. quand et qui ; Mais si celui qui a étudié, dans le domaine agricole, s'il travaille, sème à l'avenir, s'il est amoureux, au huitième mois, qu'est-ce qu'il sème à la fin ?
Phèdre : [276c] De même, Socrate, j'étudie les choses, et les choses différemment si tu me dis qui.
Socrate Et ceux qui ont la connaissance juste, bonne et bonne du fermier, l'ont-ils dans leurs propres semences ? Joyeux Ἥkista ge. Socrate Étudiez donc ces choses dans l'eau, écrivez en spirales d'encre à travers un roseau avec les paroles des faibles, mais qu'ils soient aidés par la raison, mais aux faibles enseignez la vérité. Joyeux Pas même le troisième.
Socrate : [276d] Non, mais il sème les jardins des lettres, comme une maison, pour le bien des enfants, et écrit, quand [il] n'écrit pas, accumulant des souvenirs pour lui, dans l'oubli de la vieillesse si possible, et tout ce qui suit. chemin, sachez qu'il les considère comme des plantes douces; quand <pas> d'autres enfants ont besoin des autres, des banquets et des ardons des autres et d'autant de ces frères, alors lui, comme ὔiken, au lieu de ceux que j'appelle un joueur, commande.
Phèdre : [276e] Tu parles d'enfants méchants, ô Socrate, qui jouent avec des mots de force, de justice, et d'autres dont tu parles comme mythifiants.
Phèdre : Qu’est-ce que c’est et comment appelle-t-on cela se produire ? Socrate Avec la science, c'est écrit dans l'âme du manthanos, fort s'il se défend, mais ils disent qu'ils sont des scientifiques et ils se taisent devant ceux qui voient. Joyeux Vous appelez la parole parlée vivante et animée, là où l'image écrite a été appelée à juste titre.
Socrate : [276b] Tout de même avec oὖn. Alors dis-moi : le fermier qui a une pensée là où les graines sont semées et où naissent les fruits, qu'il étudie si dans les jardins d'Adonis les joies des huit jours sont bonnes, ou si ce ne sont pas des enfants à cause de la fête. quand et qui ; Mais si celui qui a étudié, dans le domaine agricole, s'il travaille, sème à l'avenir, s'il est amoureux, au huitième mois, qu'est-ce qu'il sème à la fin ?
Phèdre [276c] : De même, Socrate, j'étudie les choses, et les choses différemment si tu me dis qui.
Socrate : Et ceux qui ont la connaissance juste, bonne et bonne du fermier, l'ont-ils dans leurs propres semences ? Joyeux Ἥkista ge. Socrate Étudiez donc ces choses dans l'eau, écrivez en spirales d'encre à travers un roseau avec les paroles des faibles, mais qu'ils soient aidés par la raison, mais aux faibles enseignez la vérité.
Phèdre : Pas même le troisième. [276d]
Socrate : Non, en effet,, mais il sème dans l'enclos des lettres, comme foyer, pour le bien des enfants, et écrit, quand [il] n'écrit pas, accumulant des souvenirs pour lui, dans l'oubli de la vieillesse si possible, et tout ce qui suit. chemin, sachez qu'il les considère comme des plantes douces; quand <pas> d'autres enfants ont besoin des autres, des banquets et des ardons des autres et d'autant de ces frères, alors lui, comme ὔiken, au lieu de ceux que j'appelle un joueur, commande. [276e] Phèdre Tu parles d'enfants méchants, ô Socrate, qui jouent avec des mots de force, de justice, et d'autres dont tu parles comme mythifiants.
Socrate : Ainsi, mon ami Phèdre, voici comment : je ne suis pas beaucoup plus doué pour l'apprendre, lorsque ceux qui sont colorés par l'art de la dialectique, s'enhardissent et les écoutent, plantent et sèment des discours scientifiques, que ceux qui plantent [277a] sont capables d'aider et ne sont pas infructueux, mais ont une semence, d'où d'autres ont surgi chez d'autres, ceux qui sont capables de donner l'immortalité et qui bénissent celui qui l'a, autant qu'il est humainement possible.
Phèdre : Tu parles bien, à présent.
Socrate : Maintenant, ô Phèdre, jugeons ces confesseurs.
Phèdre : Lesquels ?
Socrate : Si ceux qui en ont délibéré nous voient arriver là, comme à Lysius, nous examinons les mots [277b] de l'écriture, et ces mots qui sont astucieusement et sans art ont été écrits. Ce qui est si astucieux et qui ne me prouve pas me paraît modéré. Joyeux Gloire à toi, mais rappelle-moi encore une fois comment. Socrate Avant de connaître les vérités de chacun sur ce qu'il dit ou écrit, par là il est déterminé partout où il devient fort, déterminé encore par espèces jusqu'à ce qu'on croie à la croix infaillible, sur la nature de l'âme selon celles-ci, [277c] une sorte d'invention est adaptée à chaque nature , donc il donne et décore le discours, divers avec des âmes diverses et harmonieux deux discours, mais simple, simple, il ne se force pas avant de s'asseoir autant qu'il peut manier le genre des mots, ni quoi enseigner ni quoi persuader, comme avant, tout le monde nous a donné une raison.
Phèdre : Quoi qu'il en soit, c'est ainsi que cela est apparu.
Socrate [277d] : Qu'en est-il donc du bien ou du mal, c'est la raison pour laquelle ils disent et écrivent, et lorsqu'ils sont au tribunal, on dit si c'est honteux ou non, mais je n'ai pas déclaré ce qui a été dit un peu plus tôt. Joyeux Lesquels ? Socrate Que Lysias ou quelqu'un d'autre ait jamais écrit ou écrit des lois privées ou publiques, un recueil d'écrits politiques et un grand degré de certitude et de clarté, c'est une insulte à l'écrivain, qu'il l'ignore ou qu'il n'ait pas un certain nombre de droits. [277e] et parmi les injustes, les méchants et les bons, il n'échappe pas à la vérité, il ne s'étonne pas, même si toute la foule le loue. Joyeux Oὐ γὰρ oὖn. Socrate Il y a beaucoup de besoin dans le discours écrit sur chaque enfant, et aucun discours n'est jamais écrit sans une mesure de grand mérite, et il n'est pas non plus dit comme si ceux qui apprennent sans questionnement ni persuasion étaient perdus, mais pour [278a] eux les meilleures choses on s'est souvenu, mais pour ceux qui ont été instruits et pour le plaisir d'apprendre, ce qui a été dit et ce qui a été écrit dans l'âme sur les justes et les bons et les bons On dit que vous êtes vrai, avant tout, si vous. se trouvent en vous, alors vous êtes ses fils [278b], mais dans le changement d'autres âmes, elles ont insufflé de la joie aux autres - et celle-ci est à lui, l'homme est en danger, ô Phèdre, c'est celui que vous et je m'en réjouirai si cela arrive à vous et moi. Joyeux Je fais quand même de mon mieux et j'espère ce que tu dis. Socrate Je suis déjà moyennement convaincu de ces choses
Socrate : Je suis encore jeune, Phèdre, |279a] [279c]mais je veux parler selon Isocrate.
Phèdre : Quel est donc le sujet ?
Socrate : Il me semble que les discours sur la nature sont meilleurs que ceux qui concernent Lysias, et qu’ils sont encore plus mélangés avec des caractères généraux ; donc, il ne serait pas étonnant, en vieillissant, que les discours qu'il essaie maintenant, plus que ceux des enfants, surpassent les discours auxquels il a eu un jour accès, et même si cela ne lui est pas utile, une impulsion divine pourrait le pousser à quelque chose de plus grand ; car, mon ami, il y a, par nature, une certaine philosophie dans l’esprit de l’homme. Ainsi, ce que je transmets de ces dieux à Isocrate, encore jeune selon moi, tu le transmettras à Lysias comme à toi.
Phèdre : Cela sera ainsi ; mais allons-y, car l’étouffement est devenu plus doux.
Socrate : N’est-il pas approprié pour ceux-ci d’aller ainsi après avoir prié ?
Phèdre : Quoi donc ?
Socrate : Ô ami, que tous les dieux et les autres ici donnent à moi de devenir bon dans ce que j'ai reçu ; et pour ce qui est de l’extérieur, ce que j’ai, qu’il soit ami de ceux qui sont à l’intérieur. Et je considérerais le sage comme riche ; mais la quantité d’or serait pour moi aussi grande que ce que quelqu’un pourrait porter ou mener, sauf pour l’homme raisonnable. En avons-nous encore besoin d’autre chose, ô Phèdre ? Car pour moi, il semble que cela suffise modérément.
Phèdre : Je fais aussi ces vœux ; car ce qui est commun aux amis est commun.
Socrate : Allons.