NOUS ET LES GRECS / Le dionysiaque
Sommes nous si loin des grecs, de ceux que certains (comme Platon ou Aristote en voulant bien faire) ont obsurci ?
Les Grecs aussi longtemps que nous n'aurons pas la réponse à la question : "qu'est-ce que le dionysiaque ?", nous resterons avant comme après, totalement inconnus et irreprésentables" (Nietzsche, Essai d'autocritique § 4). Et pourtnt les Grecs nous les touchons dès lors que l'on sait que le dionysiaque c'est l'affectivité pleine d'ivresse et de soleil qui passent en tre les corps, cette énergie primodiale d'où part la volonté d'explorer, d'expériemnter, de se stimuler les uns les autres, d'insuffler de nouvelles directions que 'lon a trop longtemps réduit à l'esprit. Le dionysiaque est bien quelque chose de cette énergie que l'on retrouve dans les festivals de théâtre ou de musique mais qui a touché de près la pensée de plusieurs xontemporains grecs. Et oui la philosophie est né chez les perses, dans la région d'asie mineure qu'ils occupaient non avec le thalès et Siracuse, le prédicteur d'éclipse. C'est dans cette énergie inactuelle, parallèle (autant en surplus qu'inattaquable) que s'enfoui toute la direction d'une époque, que se forge les valeurs d'airain, comme celle d'une noblesse sans héritage, d'une audace sans précédent, simplement à voir nos pauvres hommes politique. C'est oublier combien chez les athéniens, Périclès dont Plutarque écrivit la vie était un ami intime de Protagoras le sophiste et du philosophe Anaxagore. Peut-être a-t-on oublier cela et en est-on resté à Aristote et Alexandre, ceux qui vinrent aux funérailles de l'hellénisme. Le dionysiaque c'est cette énergie qu'on se donne de ne plus avoir besoin de croire, de ne plus céder à la superstition mais de se jeter haut dans la vie pleineet entière. On appelle aussi cela la marge de "liberté", du nom de nos valeurs modernes et "révolutionnaires".
Les Grecs aussi longtemps que nous n'aurons pas la réponse à la question : "qu'est-ce que le dionysiaque ?", nous resterons avant comme après, totalement inconnus et irreprésentables" (Nietzsche, Essai d'autocritique § 4). Et pourtnt les Grecs nous les touchons dès lors que l'on sait que le dionysiaque c'est l'affectivité pleine d'ivresse et de soleil qui passent en tre les corps, cette énergie primodiale d'où part la volonté d'explorer, d'expériemnter, de se stimuler les uns les autres, d'insuffler de nouvelles directions que 'lon a trop longtemps réduit à l'esprit. Le dionysiaque est bien quelque chose de cette énergie que l'on retrouve dans les festivals de théâtre ou de musique mais qui a touché de près la pensée de plusieurs xontemporains grecs. Et oui la philosophie est né chez les perses, dans la région d'asie mineure qu'ils occupaient non avec le thalès et Siracuse, le prédicteur d'éclipse. C'est dans cette énergie inactuelle, parallèle (autant en surplus qu'inattaquable) que s'enfoui toute la direction d'une époque, que se forge les valeurs d'airain, comme celle d'une noblesse sans héritage, d'une audace sans précédent, simplement à voir nos pauvres hommes politique. C'est oublier combien chez les athéniens, Périclès dont Plutarque écrivit la vie était un ami intime de Protagoras le sophiste et du philosophe Anaxagore. Peut-être a-t-on oublier cela et en est-on resté à Aristote et Alexandre, ceux qui vinrent aux funérailles de l'hellénisme. Le dionysiaque c'est cette énergie qu'on se donne de ne plus avoir besoin de croire, de ne plus céder à la superstition mais de se jeter haut dans la vie pleineet entière. On appelle aussi cela la marge de "liberté", du nom de nos valeurs modernes et "révolutionnaires".
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