LA LIBERATION VIS-A-VIS L'ESPRIT 7 / Un effort et un travail à même l'esprit
Le travail que nous faisons est un travail à même l'esprit de Nietzsche, à même la notion d'esprit que
Nietzsche tenait de la tradition classique ou d'auteurs français comme Pascal ou Montaigne. L'esprit est avant l'esprit de surplomb, l'esprit de synthèse, l'esprit
critique. De l'esprit de surplomb on peut dire que la philosophie en a perdu la dominance, en a perdu les privilèges imbus : sauf quand elle parle d’ontologie, qui n’est qu’une
métaphysique qui cache son prestige. La pensée s'est libérée bien avant que des philosophes comme Heidegger, Foucault ou Nietzsche ne l’entrevoit. La pensée est venue d’ailleurs que de la
philosophie qui est censé s’en occupé avec sérieux. Elle s’est libéré du carcan de la représentation et du conditionnement kantien sous la forme d’une
expérimentation. Elle est venue des sciences elles-mêmes, qui plus que les spéculation de Schopenhauer, ont remis en
cause les notions d’espace, de temps et de causalité (voir ici). La philosophie longtemps appréhendée comme une procédure dialectique a été prise de vitesse par les sciences, perdant ainsi de sa superbe académique. De la deuxième forme d’esprit, l'esprit critique, on peut ne retenir qu’il
est avant tout la critique, pouvoir de dire non : citation manquante de Nietzsche sur l'esprit comme pouvoir de dire non.
Reste la synthèse, le troisième prétexte à l'emploi de l'esprit chez Nietzsche. c'est un corps intense qui pense, un cerveau en plein effort que l'on ne peut séparé des instincts et du corps où il baigne. Notre cerveau est peuplé d'hormones, utilisées comme neurotransmetteurs (adrénaline, dopamine, sérotonine, etc…) dont il ne contrôle pas lui-même la production d'hormones. Il faudrait pour cela maîtriser l’afflux de signes venus de l’intérieur (affection et perception), comme les rencontres avec les corps étrangers (attraction et pression). Ceci requiert une éthique. Il faudrait aussi maîtriser les éléments nutritifs qui parviennent de tout le corps jusqu’au cerveau, ceci est plus aisé qu’une éthique, c’est une diététique. Ce qui fait que notre cerveau est avant tout affectif ce sont des glandes comme l'hypophyse ou l'hypothalamus qui produisent une majeure partie des hormones, glandes qui sont déjà présentent dans le cerveau reptilien. On a toujours dit, même jusqu'aux derniers spiritualistes comme Bergson, que le mental est plus que le cérébral. C'est quelque part vrai que la pensée n’est pas réductible à l’organe qu’est le cerveau. Bergson le justifiait ainsi, le cerveau est une image, une découpe dans la réalité, comment une image pourrait-elle contenir toutes les images, notamment les souvenirs. Sauf qu'avec l’expression de mental qu’on relie au souffle grec la psychè, on nous met sur la mauvaise piste, on ne peut réduire la pensée à un organe quand c'est tout le corps via la fabrication des hormones qui modifie qui en entre en jeu. Ces hormones modifient l’intensité avec laquelle un individu pense. C'est par les intensités énergétiques qui traversent notre corps que de nouvelles idées nous viennent intuitivement en tête. On dirait par tradition bien ancré dans nos, comme toutes les erreurs dont on a du mal à se débarrasser, que les idées, ou les intuitions nous viennent « à l'esprit » alors que sans le corps il n’y aurait pas moyen de les fixer. sans qu’on puisse les formuler directement, en philosophie, dirions-nous aujourd’hui. « Tel a été jusqu'ici le cours de la philosophie : on a voulu expliquer l'univers en partant de ce qui nous est clair à nous-même de ce que nous croyons comprendre. On est donc parti tantôt de l'esprit ou de l'âme, tantôt de la volonté, ou de l'image, ou de l’œil... ou de nos jugements de valeur, par exemple d'un dieu de bonté, de justice, etc.; ou de nos jugements esthétiques. Bref la science elle-même procède comme l'homme l'a toujours fait : faire servir une partie de soi-même, considérée comme intelligible et comme vraie, à l'explication de tout le reste, - en somme, anthropomorphisme. Ce qui manque c'est la grande synthèse. » réference manqante
Si on est partie de l'âme qui s'échappe, de l'esprit qui surplombe avec mépris, de l'oeil qui regarde la , c'est que l'on partait d'un philosophie qui pense avant tout l'inerte, d'une philosophie qui porte avant tout en elle une morale de la mort, du crépusucule de la vie et on de son aurore. Platon dans l'éducation des gardiens de la future cité (ces dialecticiens porteurs de vérités et de « genres suprêmes ») préconisait la gymnastique et la musique, mais de la musique surtout sans nouveauté. Il fallait resté dans l'institué, dans l'établi et non s'immerger dans la nouveauté. En cela s'était un philosophie de l'esprit, une philosophie comme celle que l'on a retrouvée jusqu'à Hegel et Husserl, et sur laquelle se base la philoosphie analytique et les sciences cognitive, une philosophie inepte qui faisait dire à Hegel lui-même soit pas de philosophie soit la philosophie de Spinoza.
Ce qui s'est passé avec la pensée dans les années 66-68, et après, c'est qu'une génération de penseurs se sont mis à parler du corps mais sans esprit, car pour rperndre la phrase de Nietzsche est la retourné contre son manque de critqie envers l'esprit hérité, » à trves l'esprit c'est toujours du corps dont il a été question ». Eduction des corps à travers une diététique du langage, c'est-à-dire le dépoussiéré de tous les concept creux, notamment la matière, l'esprit, l'âme, la substance, etc... , on aurait beau en changé le sans, c'est qu'il sont toujours ratachés à la manière antique de poser de problèmes, toujours du point de vue de celui qui gouverne, de celui qui domine, alors qu'effectivement c'est autrement que les actes, les procédures s'effectuent. La synthèse à laquelle était parvenue Platon et Aristote n'est plus valble ou adaptée aujourd'hui même s'il sont indépassable dans leurs perspectives, leurs pespectives elles sont dépassées. Et pourtant nombres de théoriceins et fieffés analystes continue de momifier les sciences et les arts avec ce point de vue de surplomb, ce goût du savoir trop sérieux, c'est volonté de dire la vérité plutôt que de signaler ce qui à notre époque a de l'importance, notamment les dynamise qui peuvent la faire . Au lieux de cela on s'invente de vieux rovblème, on asseoit son pouvoir en parlant d'abstractions, car dans lesabsttractions personne ne viendra vous déloger bien au contraire on se prosterne devant votre » esprit », encore lui, devant votre érudition, mais les problèmes conyinuerons à se pré »senter dans lers<sciences, dans les arts, et les crateurs dans ces domanies auront du mal à voir,qu'au niveau de la pensée quelque chose s'est pazssé » parce le ciel est onscurics par les mots établis, les vérités anciennes (génériques ou dialectiques) inscrit dans nos corps, dans les habitudes que nous avons prises d'être inertes ou passifs face aux évènement. Méfiez-vous de tous ceux qui vous parle d'origine, d'après-coup, de crépuscule, de vie qui erre ou se corrompt, simplement parce que pour asseoir leur pouvoir il auront besoin de vous couper de votre puissance de votre capacité à changer collectivement les choses, cela s'appelle attrister, cela . Peut-être suis-je obscur mais c'est alors que votre corps est ralenti, n'approche pas ce dont je parle avzc suffisamment d'intensité. Si vous entrez en affinité avec ce qu'il y a de dynamiques dans les force, si vous n'en rester pas aux formes,
de formes, je n'en connais que de délicieuses et de charnellle
Pour autant il n'y a ni esprit ni matière, ce sont simplement une des manières de regarder les » choses », de chosifier ce qui arrive, d'observer tout cela avec peu d'entrain, et de l'inscrire dans la lettre avec peu de style. Il n'y a pas plus d'âme qui se détache d'un corps, ou d'une dépouille après la mort, simplement une énergie qui a la possibilité de se déployée ailleurs si d'autres corps sont éduqués au travers d'un langage stimulant, insufflant un regard heureux mais insatisfait par rapport à la vie au sort qu'on lui réserver. Inciter, libérer, plus que disséquer ou cloisonner. Philosophie de l'expérimentation plutôt que du jugement. Pour cela il faut se débarrasser du langage creux qui parle de choses inertes, comme la matière et l'esprit, ces héritages de la tradition inscrits comme des vérité alors que c'est avant tout une peur de la mort qui se répète dans ces mots. Peur qui, depuis le suicide de Socrate, jeta la pensée dans un long crépuscule de deux mille ans. On a visé à établir les choses parce que celles-ci nous échappait, parce qu'on sentait la vie nous échapper, la vie se corrompre, on cherchait à instituer une hiérarchie (un » sain commandement ») faite de représentation et de reconnaissance, c'est-à-dire au final, une hiérarchie dont les membres trichent avec leur propre capacité. On s'attachait à ce qui est établi non ce qui est porteur de nouveauté. On produisait ce qui était hérité, inscrit par la peur de la mort et le besoin de Dieu, plutôt qu'on investissait dans ce qui amène quelque chose de tout à fait différent. L'un, la Substance, le fond grec, ce n'est que ça un besoin de permanence après la mort, un tendance à aller vers ce qui est figé et statique par avance et non ce sur quoi on peut réembrayer pour que le mode de fonctionnement majeur de notre société ne soit pas la hiérarchie ou la gouvernance, mais l'égalité qu'à chacun de nous de ne pas être séparé de ce qu'il peut, d'augmenter sa capacité à faire les chose, sa propre puissance. On a toujours porté sur la puissance le regard froid de la pensée qui domine et surplomb avec mépris la vie.
Ce sont à de rares exception près toujours de penseurs à la maturité tardive, qui se sont arrogés le droit de penser avec vérité à travers un système. Les exceptions, les comètes incompréhensibles dans ce système solaires ce sont par exemple Lucrèce, Spinoza, Schopenhauer, Nietzsche, avant 45 ans la tâche qu'il s'étaient donnée était accomplie. A d'autres de reprendre le mouvement. Ce n'est pas pour faire du jeunisme, mais c'est pour dire que la pensée la plus sincère, la moins lâche s'obtient dans les vicissitudes de la jeunesse, et non quand la vie de vieillard est établie, auxquels cas ce sont les mauvaises habitudes qui prennent le dessus.
Se revendiquer de la congrégation de l’esprit n’est-ce pas au fond un manière prestigieuse, dans la hiérarchie humaine, d’asseoir sa passivité et de détourner les regards de sa propre lassitude. Il suffit de voir le film ridicule pour voir combien l'esprit avait aussi une dimension mondaine, dans le trait d'humour, dans l'esprit de répartie. Mais si sous la forme de l'esprit c'était au fond la capacité d'agir du corps que l'on avait limiter, dans sa dimension d'expérimentation, dans sa dimension subvrsive, loin de tout l'idéalisme de la philosophie de l'esprit.
Reste la synthèse, le troisième prétexte à l'emploi de l'esprit chez Nietzsche. c'est un corps intense qui pense, un cerveau en plein effort que l'on ne peut séparé des instincts et du corps où il baigne. Notre cerveau est peuplé d'hormones, utilisées comme neurotransmetteurs (adrénaline, dopamine, sérotonine, etc…) dont il ne contrôle pas lui-même la production d'hormones. Il faudrait pour cela maîtriser l’afflux de signes venus de l’intérieur (affection et perception), comme les rencontres avec les corps étrangers (attraction et pression). Ceci requiert une éthique. Il faudrait aussi maîtriser les éléments nutritifs qui parviennent de tout le corps jusqu’au cerveau, ceci est plus aisé qu’une éthique, c’est une diététique. Ce qui fait que notre cerveau est avant tout affectif ce sont des glandes comme l'hypophyse ou l'hypothalamus qui produisent une majeure partie des hormones, glandes qui sont déjà présentent dans le cerveau reptilien. On a toujours dit, même jusqu'aux derniers spiritualistes comme Bergson, que le mental est plus que le cérébral. C'est quelque part vrai que la pensée n’est pas réductible à l’organe qu’est le cerveau. Bergson le justifiait ainsi, le cerveau est une image, une découpe dans la réalité, comment une image pourrait-elle contenir toutes les images, notamment les souvenirs. Sauf qu'avec l’expression de mental qu’on relie au souffle grec la psychè, on nous met sur la mauvaise piste, on ne peut réduire la pensée à un organe quand c'est tout le corps via la fabrication des hormones qui modifie qui en entre en jeu. Ces hormones modifient l’intensité avec laquelle un individu pense. C'est par les intensités énergétiques qui traversent notre corps que de nouvelles idées nous viennent intuitivement en tête. On dirait par tradition bien ancré dans nos, comme toutes les erreurs dont on a du mal à se débarrasser, que les idées, ou les intuitions nous viennent « à l'esprit » alors que sans le corps il n’y aurait pas moyen de les fixer. sans qu’on puisse les formuler directement, en philosophie, dirions-nous aujourd’hui. « Tel a été jusqu'ici le cours de la philosophie : on a voulu expliquer l'univers en partant de ce qui nous est clair à nous-même de ce que nous croyons comprendre. On est donc parti tantôt de l'esprit ou de l'âme, tantôt de la volonté, ou de l'image, ou de l’œil... ou de nos jugements de valeur, par exemple d'un dieu de bonté, de justice, etc.; ou de nos jugements esthétiques. Bref la science elle-même procède comme l'homme l'a toujours fait : faire servir une partie de soi-même, considérée comme intelligible et comme vraie, à l'explication de tout le reste, - en somme, anthropomorphisme. Ce qui manque c'est la grande synthèse. » réference manqante
Si on est partie de l'âme qui s'échappe, de l'esprit qui surplombe avec mépris, de l'oeil qui regarde la , c'est que l'on partait d'un philosophie qui pense avant tout l'inerte, d'une philosophie qui porte avant tout en elle une morale de la mort, du crépusucule de la vie et on de son aurore. Platon dans l'éducation des gardiens de la future cité (ces dialecticiens porteurs de vérités et de « genres suprêmes ») préconisait la gymnastique et la musique, mais de la musique surtout sans nouveauté. Il fallait resté dans l'institué, dans l'établi et non s'immerger dans la nouveauté. En cela s'était un philosophie de l'esprit, une philosophie comme celle que l'on a retrouvée jusqu'à Hegel et Husserl, et sur laquelle se base la philoosphie analytique et les sciences cognitive, une philosophie inepte qui faisait dire à Hegel lui-même soit pas de philosophie soit la philosophie de Spinoza.
Ce qui s'est passé avec la pensée dans les années 66-68, et après, c'est qu'une génération de penseurs se sont mis à parler du corps mais sans esprit, car pour rperndre la phrase de Nietzsche est la retourné contre son manque de critqie envers l'esprit hérité, » à trves l'esprit c'est toujours du corps dont il a été question ». Eduction des corps à travers une diététique du langage, c'est-à-dire le dépoussiéré de tous les concept creux, notamment la matière, l'esprit, l'âme, la substance, etc... , on aurait beau en changé le sans, c'est qu'il sont toujours ratachés à la manière antique de poser de problèmes, toujours du point de vue de celui qui gouverne, de celui qui domine, alors qu'effectivement c'est autrement que les actes, les procédures s'effectuent. La synthèse à laquelle était parvenue Platon et Aristote n'est plus valble ou adaptée aujourd'hui même s'il sont indépassable dans leurs perspectives, leurs pespectives elles sont dépassées. Et pourtant nombres de théoriceins et fieffés analystes continue de momifier les sciences et les arts avec ce point de vue de surplomb, ce goût du savoir trop sérieux, c'est volonté de dire la vérité plutôt que de signaler ce qui à notre époque a de l'importance, notamment les dynamise qui peuvent la faire . Au lieux de cela on s'invente de vieux rovblème, on asseoit son pouvoir en parlant d'abstractions, car dans lesabsttractions personne ne viendra vous déloger bien au contraire on se prosterne devant votre » esprit », encore lui, devant votre érudition, mais les problèmes conyinuerons à se pré »senter dans lers<sciences, dans les arts, et les crateurs dans ces domanies auront du mal à voir,qu'au niveau de la pensée quelque chose s'est pazssé » parce le ciel est onscurics par les mots établis, les vérités anciennes (génériques ou dialectiques) inscrit dans nos corps, dans les habitudes que nous avons prises d'être inertes ou passifs face aux évènement. Méfiez-vous de tous ceux qui vous parle d'origine, d'après-coup, de crépuscule, de vie qui erre ou se corrompt, simplement parce que pour asseoir leur pouvoir il auront besoin de vous couper de votre puissance de votre capacité à changer collectivement les choses, cela s'appelle attrister, cela . Peut-être suis-je obscur mais c'est alors que votre corps est ralenti, n'approche pas ce dont je parle avzc suffisamment d'intensité. Si vous entrez en affinité avec ce qu'il y a de dynamiques dans les force, si vous n'en rester pas aux formes,
de formes, je n'en connais que de délicieuses et de charnellle
Pour autant il n'y a ni esprit ni matière, ce sont simplement une des manières de regarder les » choses », de chosifier ce qui arrive, d'observer tout cela avec peu d'entrain, et de l'inscrire dans la lettre avec peu de style. Il n'y a pas plus d'âme qui se détache d'un corps, ou d'une dépouille après la mort, simplement une énergie qui a la possibilité de se déployée ailleurs si d'autres corps sont éduqués au travers d'un langage stimulant, insufflant un regard heureux mais insatisfait par rapport à la vie au sort qu'on lui réserver. Inciter, libérer, plus que disséquer ou cloisonner. Philosophie de l'expérimentation plutôt que du jugement. Pour cela il faut se débarrasser du langage creux qui parle de choses inertes, comme la matière et l'esprit, ces héritages de la tradition inscrits comme des vérité alors que c'est avant tout une peur de la mort qui se répète dans ces mots. Peur qui, depuis le suicide de Socrate, jeta la pensée dans un long crépuscule de deux mille ans. On a visé à établir les choses parce que celles-ci nous échappait, parce qu'on sentait la vie nous échapper, la vie se corrompre, on cherchait à instituer une hiérarchie (un » sain commandement ») faite de représentation et de reconnaissance, c'est-à-dire au final, une hiérarchie dont les membres trichent avec leur propre capacité. On s'attachait à ce qui est établi non ce qui est porteur de nouveauté. On produisait ce qui était hérité, inscrit par la peur de la mort et le besoin de Dieu, plutôt qu'on investissait dans ce qui amène quelque chose de tout à fait différent. L'un, la Substance, le fond grec, ce n'est que ça un besoin de permanence après la mort, un tendance à aller vers ce qui est figé et statique par avance et non ce sur quoi on peut réembrayer pour que le mode de fonctionnement majeur de notre société ne soit pas la hiérarchie ou la gouvernance, mais l'égalité qu'à chacun de nous de ne pas être séparé de ce qu'il peut, d'augmenter sa capacité à faire les chose, sa propre puissance. On a toujours porté sur la puissance le regard froid de la pensée qui domine et surplomb avec mépris la vie.
Ce sont à de rares exception près toujours de penseurs à la maturité tardive, qui se sont arrogés le droit de penser avec vérité à travers un système. Les exceptions, les comètes incompréhensibles dans ce système solaires ce sont par exemple Lucrèce, Spinoza, Schopenhauer, Nietzsche, avant 45 ans la tâche qu'il s'étaient donnée était accomplie. A d'autres de reprendre le mouvement. Ce n'est pas pour faire du jeunisme, mais c'est pour dire que la pensée la plus sincère, la moins lâche s'obtient dans les vicissitudes de la jeunesse, et non quand la vie de vieillard est établie, auxquels cas ce sont les mauvaises habitudes qui prennent le dessus.
Se revendiquer de la congrégation de l’esprit n’est-ce pas au fond un manière prestigieuse, dans la hiérarchie humaine, d’asseoir sa passivité et de détourner les regards de sa propre lassitude. Il suffit de voir le film ridicule pour voir combien l'esprit avait aussi une dimension mondaine, dans le trait d'humour, dans l'esprit de répartie. Mais si sous la forme de l'esprit c'était au fond la capacité d'agir du corps que l'on avait limiter, dans sa dimension d'expérimentation, dans sa dimension subvrsive, loin de tout l'idéalisme de la philosophie de l'esprit.
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