PHILOSOPHIE / Nous maintenons le cap
certains de nos amis n'apprécient pas le ton de ce blog qui consiste à s'ancrer dans l'actualité et relver en quoi toutes les pensée réactives s'engouffre dans . Mais bien entendu que l'on peut peut produire un langage sabir réservé à quelques-uns, mais produire un jargon fort de mépris devient inepte. Le sabir est avant tout une langue véhiculaire et peut-être peu ont compris que le français n'est que la langue véhiculaire de nos ancêtre avant d'être notre langue maternelle.
donc continuons à dénoncer la spiritualisation de la pensée réduite à une réflexion, continuons sur la lancée en amitié de nos ais défunts et qui nous ont confiance au-delà des calomnies qui nous ferait passer pour des personnages odieux., obscène, simplement parce que nous soulevons la pensée tabou du pouvoir, de la constittion d'un microfascisme sous couvert d'aider la banlieue alors même que ce dernier déclare son mépris pour le citoyen, c'est-à-dire pour le quidam, alors que ce sont précisément des préjugés populaires qu'émergent les pensées fulgurantes (thèse conjointe de Schopenhauer et de Nietzsche)
Oui il existe une négativité qui mais qui n'est nullement la négativité des pensée critique ou calomnieuses, nous pensons ici à la manière dont Bernard Stiegler qualifie Alain Badiou de vieillard ou de connard, nous pensons que ce n'est pas ainsi que l'on peut combattre l'antiphilosophie. Si notre pensée qui n'est pas une réflexion ou un jugement posé sur l'existence mais le pari assumé d'une prise de risque.
Dire encore qu'il s'est passé de nombreuses choses en France avec Jacques Roubaud, Patrice Loraux, Kenneth White, Georges Amar, Hervé This, Francis Hallé, Jean-Marc Sélosse, Shigeru Uemura, Kenji Tokitsu
Ars industrialis ne visait qu'à produire une réflexion grégaire sur la technique sur fond de mésologie et d'exogarnologie où la substance (le pharmakon) se transforme suivant la dose en poison ou en remède. La mésologie et le discours usr le milieu et repose et reconduire comme l'assume Bernard Stiegler un pouvoir, un pouvoir vis-à-vis des institutions à subventions, notons que bernard Stiegler a commis de l'abus de bien social, en affectant le personnel de l'IRI à l'association Ars Industrialis, qui vise mettre en place la verticalité .
Tout ceci il faut le taire, tout ceci ne doit se dire. Il ne faut pas déranger. Vous sinon pris dans la négativité. Ne jamais dénoncer les tartuffes de la pensée qui tise inlassablement la toile de leur concepts où s'agrègeront les personnes conciliantes et abusées. Chacun peut ne pas ressentir la crispation de , mais son décès a été pour nous un soulagement, celui de ne pas voir se mettre en place un léviathan technique qui ne correspond pas exactement à l'appareil totl autonome dont parlait Patrice Loraux.
La question de la pensée hors de la tradition de la métaphysique dite occidentale, qui va de Platon à Heidegger, se pose d'emblée puisque Heidegger reconnaît être le dernier représentation de la tradition occidentale qui, elle , va des Pères de l'église qui pour les trois quarts reprennent Platon et qui s'arrête avec Heidegger comme fin de la métaphysiques antique et classique. Continuer derechef.
Qu'importe si nos propos déplaisent à la veine idéaliste. Les enjeux sont bien trop importants. Disant cela nous nous plançons dans une urgence contemporaine, dans une pensée de l'urgence telle qu’elle pouvait exister chez Derrida.
Que dire d'un Bernard Stiegler qui sur trois points assume un bien étrange discours
- 1*) Il assume sa prise de pouvoir par le discours "mésologique" et "exorganologique" (prise de pouvoir de la verticale d'une pensée grégaire), sa collusion avec un (ancien) soutien d'Emmanuel Macron. Son attaque contre la smart city (lui qualifiera le smart de "malin", alors que c'est l’intelligente aussi).
- 2°) Il produit une critique des marxistes tout en défendant Marx qu'il invite à relire est symptomatique d'une . Seul Marx pouvait se dire non marxiste en quelque sorte puisque le non-déterminisme contemporain de sa pensée . Les critiques opérées par Badiou ou par Stiegler du marxisme nous paraissent floues, réposées sur des bases qui demeurent implicites comme si elles étaient convenues avec l'interlocuteur. Todd critique l’économie de Marx mais pas son analyse politique, pourtant au-delà de ses positions morale (à présupposés chrétiens), Marx avait
- Produisant une posture microfasciste, soulignée par ses détracteurs et la manière dont ils les fustigent, Stiegler ne fait que minimiser l'existence d'un facisme - une élément d'analyse est que le fascisme existe lorsqu'un tiers des juifs se réclament d'extrême droite. Propos qui peut paraître incongru et pourtant
Ceci n'est qu'un début.
Notre pensée qu'on cherche à déclarer comme odieuse ou obscène, voir cynique, alors que le cynisme se trouve précisément dans la tension dont témoignait. Notre propos vise non seuleent à parler encore une de notre effarement quant au reniement. Que Véronique Bergen - aidée un temps par Patrice Vermeren et Stéphane Douailler - assume son royalisme, parce que Belge, mais par là sa collusion avec la bêtise que partout la pensée britannique a cherché à mettre en place hors de ses frontières en Inde, en Chine (guerre de l'opium), Royaumes du Bénélux - là où là tradition était celle de cités démocratiques et pas seulement républicaines*, cela passe. Mais que Bernard Stiegler assume une pensée du monarque - et non pas du souverain en ce que le peuple serait souverain - thèse de Lordon et Todd -, qu'il jouxte ceci à une pensée du léviathan technologique et qu'enfin il pose, par un parachutage douteux, un discours néocolonial sur la banlieue - Plaine Commune - là où la majorité des gens sont dans la survie plutôt que dans la pratique politique, plutôt que dans le souci de ce que produit la vie politique avec un œil averti et vigilant - comme l'aurait été un Alain. Provoquer au plus, pour savoir au plus vite, s'il y a un lien avec la fin de Bernard Stiegler, sa mise en place d'une verticalité du pouvoir - prétendument concurrente d'Emmanuel Macron, qui n'est que e premier homme politique à mettre en place le libéralisme égalitaire et à donner par universalisme une protection sociale au travailleur indépendant tant vanté et mis en avant par la plateforme Youtube - obligé de devenir propriétaire s'il ne veut finir sans revenus pour sa "retraite". C'est au pasage un changement autre que celui mis en lumière par notre ami Florian Forestier. La pensée d'une Alain Deniaux
La pensée du professeur de philsophie de l'ESAM de Caen et Cherbourg nous paraît plus attentive sur la technique en ce qu'elle la différencie de la technologie - dimension que n'évoque jamais Bernard Stiegler. Faire remonter la technique dans son évolution depuis les début de la forge jusqu'au tokamak qui perméttraont - par l'usage de soufflets, puis de haut-fourneaux, puis de champs magnétiques de forger des alliages dont la température de fusion est éloignée de celle de l'air ambiant - ces nouveaux alliages qui assure une supériorité technologique par les armes et donc une domination se retrouvent évoqués dans la science-fiction comme par exemple le film Arrival.
* Il faudrait nous expliquer là-dessus, mais nous posons que la république en ce qu'elle s'appuie sur un parlement est de "nature" ou si vous préférez de consistance .
que l'on veuille en attenter au lanceur d'alerte est de nos jours monnaie courante. Nous aurions été une femme et nous l'aurions ouverte, on nous aurait qualifié de sorcière comme le remarque Odile Decq. Là nos propos dérangeants parce qu'ils évoquent le retournement d'une personne passent simplement pour cyniques ou obscène. Ils ne font que témoigner de notre effarement - qui n'est pas une indignation - et poussent le lecteur à conclure de manière négative - de la même manière que Nietzsche laissait toujours le lecteur conclure à sa manière. Le seul reproche que pourrait nous faire Salem ou un Loraux serait d'avoir posé le rétablissement d'un équilibre cosmique - en ce que Stiegler présentait une tension perturbatrice dans cet équilibre heureux, tension annulée par sa disparition - ou de sous-entendre qu'il existe une punition divine. C'est là qu'intervient la prise de parole des proches, des témoins, de personnes issues de la masse silencieuse - que fustige et méprise Stiegler - qui saurons nous éviter des présuppositions abusives c'est-à-dire des raccourcis théorique. Oui il y avait beaucoup plus de prudence dans nos propos que ne le supposent nos détracteurs ou interlocuteurs détracteurs.
Les gens (nos amis) voient là une " "négativité" ", une posture dont le ton - sans doute l'invective - participe d'un manque de respect. Si nous étions moralistes nous serions conséquentialistes. Le point de vue de l'innocence posé sur les propos de Bernard Stiegler ne sont pas de mise.
Nous pourrions parler du beau temps et des petits oiseux mais simplement il y a enjeu. simplement les états ont souhaité des multinationales puisqu'elles en sont l'émanation autorisée et que le combat vis-à-vis d'elles va durer une centaine d'année comme le remarque Alain Deneaut - à ce moment là un Bernard Stiegler parlerait d'exoganisme complexe pour mieux noyer l'auditeur et le poisson. Au passage on peut se demander en quoi le recyclage des installations des JO de 2024 sur Plaine Commune favoriserait la mise en place d'un exoganisme sura-étatique capable de rivaliser avec les exorganismes complexes de type multinationales - Stiegler n'emploie jamais ou rarement ce dernier mot, quand ce qui est visé est la mise en place d'un léviathan téchnologique reposant sur un philosophe-roi, bref un tyran n'est jamais loin si on pense à la biographie de Platon.
Autre chose, nous n'avons jamais souhaité la mort de Bernard Stiegler, mais nous l'accueillons avec joie - pourquoi faudrait-il être triste de tout ou faire le deuil d'une personne qui par les mots allait porter du sang sur les mains ? C'est faire honneur à la puissance d'une réflexion que de dire qu'elle a le pouvoir de supprimer des vies et au contraire sous-estimer tout cela nous paraît naïf et délétère. Nous avons simplement souligner par une ellipse que Bernard Stiegler avait franchi un cap ou alors que ses propos étaient incohérents - ce que nous ne croyons pas.