VIE / La conception non organique et non corpusculaire de la vie via les émissions de l'ADN.
Les travaux remarquables du célèbre virologue français, le professeur Luc Montagnier, accréditent la thèse d’une conception non corpusculaire de la vie ou non-orgarnique. Parmi ses plus importants résultats rendus publics à cette date, figurent l’émission, par des séquences d’ADN bactérien, d’ondes électromagnétiques de basse fréquence, et la capacité de ces ondes à organiser des nucléotides (le matériel de base de l’ADN) en un nouvel ADN bactérien, par la médiation de structures dans l’eau. En démontrant l’interaction des organismes vivants avec des ondes électromagnétiques, incluant peut-être les ondes de basse fréquence de la résonance de Schumann dans l’atmosphère terrestre. Ce travail dans la continuité de Benveniste sur la "mémoire de l'eau" a des implications révolutionnaires pour la biologie et toute notre compréhension.
Une conception non organique de la vie veut dire que celle-ci n'est ni bonne ni mauvaise mais qu'elle concourt au maximum de sa
puissance. D'autre types d'émission de communiacation cellulaire ont été mis à jour, une communication non "matérielle" mais énergétique à travers une certain type de lumière qui nous est
invisible. Les travaux plus récents de Fritz Popp et ses collègues ont confirmé que c’est bien l’ADN du noyau des cellules qui est à l’origine des émissions de lumière ultraviolette. L’émission
de ces « biophotons » s’accorde notamment avec la périodicité des cycles et rythmes diurnes, nocturnes et lunaires. cf. Fritz-Albert Popp sur « Le rôle probable de l’ADN dans la photoémission
ultrafaible des systèmes biologiques »