PENSEE | L'arpenteur ou le Sens de la Terre
Si Galilée avait désontologisé le mouvement, avec sa révolution des planètes (orbes) il ne l'avait pas autant désidéalisé, il fallait sortir du trasncendantal comme ce qui pose les conditions de ce qui est porté à "notre connaissance" et "cette connaissance" qui tient davantage de la faculté garantie que d'une activité transformatrice. Cette faculté garantie était celle, toute classique, de toucher au réel, mais dans les limites pleine de suffisance et de dépréciation de la Raison.C'est en séparant le principe de la connaisance et la loi de causalité que s'est ouvert la brêche qui fit que la volonté ne pouvait plus être audace raisonnée mais courait vers sa propre négation. Une fois spéraré cause et raison on permit la critque et l'affirmation des passions, de la clinique de corps, de l'inclination du désir comme ce qui pousse à penser car ce n'est pas la volonté qui produit les pensées mais bien le blocage indigestes des réflexions.
"Le mouvement signalerait une définitive insurrection contre les pensées anésthésiées par l'idéalisation." Le mouvment de la Terre n'est pas idéalisé mais nous le vivons chaque jour au travers de l'atmosphère que nous respirons et de la surface de la terre que nous peuplons. Sans le mouvement de la Terre autour du Soleil notamment pas de mouvement de la Terre sur elle-même et donc pas de glissement du manteau sur le noyau qui comme une dynamo de velo prodiut son champ magnétique, de là pas de tectonique des plaques, pas de d'atmosphère avec sa périphérie ionisée, pas de vivant et pas de "nous". C'est l'atmosphère ionisé qui a permis au vivant de produire de l'oxygène (le bleuté du ciel) et de s'y répandre de manière aérobie (les archée et bactéries anaérobie ayant produit l'e dioxgène que nous resprons aujourd'hui). C'est la preuve que la Terre subit des transformations et de produire ainsi les accélérations du vivant que l'on nomme "mouvements" ou geste. Le mouvement se voulant bien souvent rectiligne et le geste englobant parce que créateur d'un territoire.