OUVERTURE de la correspondance
Merci à Matthieu pour son mail. Oui il y a coquille et mots manquants dans not derniers article écrits dans un laps de temps assez court. Le lecteur idéal ne se formalise pas des manques, juste je pense plus vite que je ne me relis
Je préfèrerais publier d'autres articles mais tant la censure rode, voici quelques intervention symptomatiques :
Bonjour,
M.A
Insupportation de notre ami Bertrand Quentin que nous avions transformé en Quentin :
Salut à vous,
Je vous ai déjà écrit il y a une quinzaine de jours, sans réponse, à propos de
votre publication très problématique ici :
http://www.paris-philo.com/
Je passe sur l'aspect bâclé et antidaté de la chose, qui vous regarde, pour
aller droit à l'essentiel : vous vous inspirez grossièrement de ce texte que
j'ai mis en ligne, sans le citer :
http://www.magmaweb.fr/spip/
Et vous osez signer "quentin" un chapeau lamentable...
Je ne sais pas à quoi attribuer ces "comportements", à la malveillance ou à la
bêtise, mais je sais quoi faire pour qu'ils cessent.
Je vous demanderais donc de faire le nécessaire. Merci.
Quentin
Etre libre si tant que cela ne soit pas une idée comme avec Sartre, c'est une attitude qui consiste à ne pas avoir honte de ses pensées et de les défendre. A Marie Albiac je répondrai qu'elle ne sait pas qu'elle a mis les peids chez les sorbonicoles et je n'ai pas à tenir compte d'une quelconque syndrome de Stockolm. Je réitère ma formule la Sorbonne est maîtresse dans l'art de vous dissuader de penser mais cela n'est pas une mauvaise chose comme le osulignerai Hannah Arendt, entre autres (une éducation conservatrice fait des "esprits" novateurs, cela a été valable pour Descartes ou Pascal ou tous les scientifiques (dans leurs jeunes années) qui passent par l'establishment. Mais pourquoi ne pas stigmatiser l'engourdissement de la Sorbonne si cela est la marque d'une bonne santé;
Et oui l consensus n'est pas de mises et c'est une bonne chose si on veut sortir de l'enfance pour comme Héraclite la regarder avec amusement et non nostalgie.