NOTION / Information
A vous qui regardez certainement le JT, savez-vous que les informations ne valent que dans un monde d'incertitudes, telle la machine à vapeur qu'il faut réguler pour éviter son explosion :). Dans un monde d'incertains, où l'horizon est cours l'information a un prix : elle reflète avant tout les prises de décisions et ren de plus. C'est pour cela que les prévisions météorologiques ont tant de mal à se tenir dans le JT, elles ne renvoient pas au décisions des gouvernants ou des criminelles, aux jugements tranchées des affaires judiciaires à rebondissements. Les informations ont une valeur d'autant plus grand, que le monde incertain est aussi un monde de prise de risque, là on sort du spectacle du JT pour celui de l'entreprise. Bien souvent il revient aux dirigeants d'entreprise d'aller à la quête d'informations, de les collecter d'un manière ou d'une autre, d'influer sur les prises de décisions extérieures suivant le "lobbying" ou le niveau de corruption en place (tel le livre du pseudo-philosophe Koening "La corruption" qui n'est qu'un appel à ce qu'on le corrompe tant sa vision est à courte vue), mais là encore les thoérie du jeu et des agents soumis à la main invisible ont encore beau jeu dans tous les secteurs scélorosé où n'est venu s'insinuer d'aiguillon dérangeur. Les informations servent alors à orientertla stratégie "manégeriale" de l'entreprise. Mais on en reste à cette imbécile logique d'adaptation tout darwinienne ou concurrentielle toute libérale (c'est la même chose si on en passe par Spencer le darwinien et sa loi du plus fort, c'est-à-dire du médiocre qui prend le pouvoiret non truchement de la loi du plus grand reproducteur dite sléection naturelle.
Nous en arrivons aux concurrents de l'information, ce sont les connaissances difficilement monnayable pour preuve la si peu neutre Wikipedia, ce sont aussi les enquêtes plus difficiles à mener que la répercussion "AFP" des informations, je pense là aux reporters qui mettent leur vie en danger là où précisément les prises de décisions n'ont plus un grand effet (situations d'enlisement militaire ou économique), nous avons encore les délibérations des citoyens et cela intéressent très peu les grands média, pourtant c'est précisément sur elles que se base la démocratie (voir les ouvrages de Vernant).
Pour l'idéonisme de Ferdinand Gonseth "aucune information ne se donne à l'état pur. On ne la reçoit que par le truchement d'un certain répertoire de formes de signes, de symboles, de notions, d'idées, etc. D'où il résulte que la connaissance dont nous disposons réellement et quel que soit l'aspect sous lequel on la regarde, reste soumise aux trois modalités informationnelles de l'incomplétude, du schématisme et de la révisibilité." Gilles cohen-Tanoudji.