LETTRE A RITOYENNE ET JP / Heidegger l'imbuvable
Ca serait bien de passer à un autre cas chers Ritoyenne et JP. Trépigne le Tonio. La vie est bien plus riche que les atermoiements d'Heidegger. Il serait bon que vous lisiez sa correspondance et le livre 16 de ses oeuvres complètes, que vous vous renseigniez sur son année sabatique de 1932-1933 et es rapprochement. Son amitié avec le médecin eugéniste étit douteuse, mais bon lui-même ne se qualifiait pas comme un saint ou un philosophe (rien de grave là-dednas, dans la vidéo que vous avez mise Foucault lui-même avait du mal à ce qualifier de philosophe). Mais on vit le même opportulisme philosophiqe en France avec Badiou le restreint et le transitoire. Toujours se méfier des ges qui se mettent à penser à la fin de leur vie c'est le cas . C'est toujours la preuve d'une lâcheté par rapport à ce qui a de l'importance. Foucault a eu son contact avec les fous. Deleuze aussi quand il vivait sous les ailes protectrices de Michel Tournier. Ne parlons pas de Nietzsche dont tous les réprésentants masculins de sa famille ont disparus quand il était jeune. En résumé Heidegger ne disait que préparer la pensée à venir, c'est bien trop précautioneux, lui qui comme tous les universitaires (Badiou, l'école de Strasbourg, Deleuze quand il préparait sda thèse) se livrait aux abstraction de l'Etre pour mieux asseoir un prétendu : "Waouh, c'est tellment abstrait que ca ne peut qu'être philosophique", devait dire Arendt (comme le faisait remarquer Jp dans un post précédent) et tous les étudiants d'être pris en otage par ces théories de l'Etre (encore qu'il faut bien préciser que cette grandissime abstratcion ne sert que d'écran puisque toute activité philosophique consiste à s'écarter précisément, ce pourquoi Heidegger parle du Temps, Badiou du sujet qui est rare (il n'y a en dernier lieu que lui, sujet dans les discipline créatice et gardien de la Vérité en juge absolu). Le jour où il ser dit qu'il n'y a que du mépris et de la bêtise dans tout ça, on aura avancé. Il serait bon que paris4philo ne se laisse pas prendre en otage par l'abstraction, un façon de détourner l'attetion vis-ç-vis du communautarisme de Heidegger. Au passage, renseigner sur le rapport de Sartre et de Heidegger qui se sont rencontrer et éloigner, Sartre ayant repris ce concept de communauté sans savoir ce qu'il y avait derrière, ce sont les lâches qui vivent en communauté. La vie intense est toujours ce qui nous fait quitter la communauté (le philosophe qui aimait parler d'architecture de système parlent toujours de fondation d'instittution sans savoir qu'il existe des sysème auto-tendu (un peu comme les sattelites ou la station Mir). Heidegger était enraciné dans sa sa Souberie. Peut-êtrequ'un jour paris4philo montera en orbite :). En attendant ca manque d'éducation critique de citation rigoureuse de la part JP qui reste dans le on dit, dans le discours rapporté, le délayage humaniste d'un penseur qui ne l'était pas (Heidegger), sa lettre sur l'humanisme est l'arbre qui cache la forêt, sinon pourquoi parler d'étants.
Et vive la fascination qu'entretenait Heidegger, celle que Fédier prétend rejeter mais qu'il n'a jamais dépasser (lire le débat avec Faye au tout début, entre 45 et 68 moment de la rencontre Fedier-Heidegger celui a eu le temps de s'inventer une autre peau). Même si les traductions manquent de rigueur (par exemple le mot Race traduit de le l'allemand les mots Rasse (_122), Gelschlecht (_112), Art (_38), dans son livre) reste toutefois frappant sur le conservatisme très partiote de Heidegger, ses relations avec les jeunesses étudiantes d'extrême-droite, avec le département de médecine de l'université de Friburg qui prônait l'eugénisme, où le camp de travail forcé de Tautb
Ritoyenne. Je pr"cise que ce post aura l'effet inverse te persuadant mais il suffit de voir ce que Heidegger offrait comme livre à ses amis pour voir je ne sais quels doute sur son humanisme qui était un conservatisme communautaire avant tout par exemple celui offert à Jantzen (au debut de la vidéo). Il y a une nette différence entre la pensée, souvent froide, et la culture que l'on a de tout temps appeler philosophie (Cette différence nombre de philosophe la font). Et là se joue quelllque chose d'imortant dans lequel Fédier est tombé, et toi aussi en le rencontrant : c'est comme le disait Bergson, les philosophes qui savent que leur philosophie n'est pas viable cherchent de tout temspà l'inscrire dans les têtes de leur vivant, comme Heidegger ou Badiou, en multiplient les conférence à l'étranger, en cherchant de disciples. C'est tout le contraire de la lignée Spinoza-Schopenhauer-Nietzsche par exemple. Heidegger n'a jamais produit de philosophie nationale-socialiste mais ses opinions étaient nationalistes et sa orientations politiques nazies. Bref, A trop pousser comme je le fais, je sais que tu iras d'autant plus loin dans Heidegger, pour prolonger ce que tu as lu chez Heidegger mais qui au fond n'est présent qu'en toi. Esprit de conviction, esprit de contradiction. Mais cette façon d'orienter sa vie philosophique à partir de la lecture d'un penseur comme Heidegger, qui s'attaque après la guerre "aux philososophies nationalistes-socialites" et revenir ce sur qu'il a dit en bon père la morale (en personne qui ajuste son discours ne fonction de l'air du temps), c' est un peu restreint et opportuniste. C'est n'est pas parce qu'on est abscons volontairement, (pour faire travailler le cerveau du lecteur, par exemple, pour lui faire produire un effort), que l'on atteint à la Vérité, car il ni"y a pas de chemin d'accès. ca c'est une manière dogmatique d'envisager la philosophie, de dire qu'il y aurait un lieu de la Vérité, un chemin daccès et donc un détenteurou un gardien qui escorte la Vérité. En 1969, Heidegger dans un autre enretien le dit bien (vidéo 1/6 de youtube), c'est un travail précis sur le langage (existant) qu'il faut faire et à cette époque il insiste sur ceci "c'est de penser qui importe". On est passé d'une philosophie de la Vérité à un philosophie de l'importance, on est revenu à l'époque tragique, au moment où la pensée se crée et non la période où la philosophie cherche à revenir à son origine. Simplment parce que Heidegger était un lecteur de Nietzsche, il y a des points qui insupportent Emmanuel Faye, défenseur de Sartre (tout ce qui revient à la dureté éducative de Nietzsche) et qu'il associe bien volontiers au nazisme. Skildy a la même optique. Voilà pour avoir les propos les plus nuancés qui soient..; Plus radicalement, tomber dans l'absconsité, dans l'abstraction et finalement en appeler à l'absurdité du lecteur qui au fonf, c'est surtout se donnner des prétexte à l'inaction, à la passivité et chez Heidegger au Statisme du Heimat (de la patrie). La pensée est toujours dynamique, elle a avoir avec le tempo et le style par lesquels elle s'énonce. C'est qu'elle réclame un effort avant tout physique et non d'être assis à lier et écrire à une table de manière rabougri, de là vient souvent la prétendu mélancolie des philosophes (en fait les dogmatique et le précautionneux). Aborder les choses différemment et dans ton cas ritoyenne hors de l'institution et donc de tes contact avec Fédier (ou éventuellement Faye) serait le mieux du monde. Heidegger n'avait pour faiire que sa pensée se propage qu'à jouer les séducteur avec Faye. Il se réclamait humaniste mais ce n'était que de façade. Vu ce qu'il dit dans un journal espagnol sur le fait qu'à Auschwitz on avait finalement gazer que des poux me paraît révélateur (voir le débat). Un nazi a tout intérêt à jouer un double jeu, Heidegger n'était loin de l'être)
La philosophie ne mourra pas que l'on casse des briques sur le dos d'Heidegger :). Car plus important que le masque cultutrel quel constitute pour celui qui s'en revendique, est la pensée :).