11 Mai 2007
article en cour d'écriture.
La philosophie indique les positivités d'une époques (le tacite), accompagne les processus (fragiles ou temporaires) qui sont peu aperçus (les devenirs). On peut dire qu'elle est indicielle ou plutôt indicatrice,
Ainsi La répétition névrose ou épuise, la facilité capture (erreur irréfutable), l'effort libère. C'est un rapport assez proche entre plaisir, juiissance et désir (voir citation d'un cours de Deleuze)
La différence que l'on peut faire entre ce qui est indiciel et ce qui est indicateur.
L'approximation dans le calcul est admise car celui-ci est indiciel et non exact. On a l'habitude, en Physique, de n'écrire d'un nombre que les chiffres que l'on emploiera dans les calculs ultérieurs BOrTR_56. Ceci se retrouve notament dans les coefficients et les indices (ex. indice de réfraction, constante de Planck). Comme le confirme Hawking : "Les scientifiques et les ingénieurs tendent à exprimer leurs idées sous formes d'équations parce qu'ils ont besoin de connaître la vleur précise des quantités qu'ils utilisent" HawTN_43. Mais tant Hawking que Bohr, ou même Einstein "Nous voulons autant que possible éviter de nous servir [des formules mathématiques]" BorTR_12. Car c'est bien un image de la nature que vire la science, qui ressemblerait l'ensemble des expériences BorTR_VII, donc des expériences de vie et de travail.
L'indiciel est sérieux, sert d'assise, l'indicateur est rigoureux ou tranchant.