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AFRIQUE / Togo

3 Février 2022, 00:16am

Publié par Les étudiants de Paris 8

Présentation du pays

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Nom en forme longue : République togolaise.
Langue officielle : français
Monnaie : franc CFA
Fête nationale : 27 avril, fête de l’indépendance.

Données géographiques

Superficie : 56 790 kilomètres carrés
Capitale : Lomé
Villes principales : Lomé, Kara, Sokodé, Kpalimé, Atakpamé, Dapaong

 

Données démographiques

Population : 8,28 millions d’habitants (Banque mondiale, 2020).
Population rurale : 57 % (Banque mondiale, 2020).
Population urbaine : 43 % (Banque mondiale, 2020), croissance annuelle : 3,7 %.
Densité : 145 habitants au kilomètre carré (Banque mondiale, 2018).
Taux de croissance de la population : 2,4 % (Banque mondiale, 2020).
Espérance de vie à la naissance : 61 ans (Banque mondiale, 2019).
Taux d’alphabétisation des adultes : 64 % (Banque mondiale, 2015).
Indice de développement humain : 167e sur 189 (PNUD, 2019).

 

Données économiques

Produit intérieur brut : 5,5 Md$ (FMI, 2019)
Produit intérieur brut par habitant : 679 $ (FMI, 2019)
Taux de croissance : 4,9 % (DG Trésor, 2019)
Taux d’inflation : 1% en 2018 (DG Trésor 2019)

Part des secteurs d’activité dans le produit intérieur brut : primaire 19,3%, secondaire 13,9%, services 49,9%, solde 16,5% (impôts et taxes) DG Trésor, 2019)

Principaux clients : Burkina Faso, Bénin, Inde, Nigéria (FMI, 2020)
Principaux fournisseurs : Chine, France, Etats-Unis, Inde (FMI, 2020)

 

Composition du gouvernement

Premier ministre, Cheffe du Gouvernement : Mme Victoire Sidémého TOMÉGAH-DOGBÉ
Ministre d’Etat, Ministre de l’Administration territoriale, de la Décentralisation et du Développement des territoires : M. Payadowa BOUKPESSI
Ministre du Commerce, de l’Industrie et de la Consommation locale : M. Kodjo Sévon-Tépé ADEDZE
Ministre de la Fonction publique, du Travail et du Dialogue social : M. Gilbert BAWARA
Ministre de l’Economie numérique et de la Transformation digitale : Mme Cina LAWSON
Ministre de la Sécurité et de la Protection civile : M. Damehame YARK
Ministre des Transports routiers, aériens et ferroviaires : M. Affoh ATCHA-DEDJI
Ministre, Secrétaire générale de la Présidence de la République : Mme Ablamba Ahoéfavi JOHNSON
Ministre de l’Environnement et des Ressources forestières : M. Katari FOLI-BAZI
Ministre de l’Eau et de l’Hydraulique villageoise : M. Bolidja TIEM
Ministre de l’Economie et des Finances : M. Sani YAYA
Ministre des Enseignements primaire, secondaire, technique et de l’Artisanat : M. Komla Dodzi KOKOROKO
Ministre des Affaires étrangères, de l’Intégration régionale et des Togolais de l’extérieur : M. Robert DUSSEY
Ministre de l’Agriculture, de l’Elevage et du Développement rural : M. Antoine Lékpa GBEGBENI
Ministre des Armées : Mme Essossimna Marguerite GNAKADE
Ministre, Secrétaire général du Gouvernement : M. Kanka-Malick NATCHABA
Garde des Sceaux, Ministre de la Justice et de la Législation : M. Pius AGBETOMEY
Ministre des Travaux publics : Mme Zouréhatou TCHA-KONDO KASSAH-TRAORE
Ministre de la Santé, de l’Hygiène publique et de l’Accès universel aux soins : M. Moustapha MIJIYAWA
Ministre des Droits de l’Homme, de la Formation à la citoyenneté, des Relations avec les institutions de la République, Porte-parole du Gouvernement : M. Eninam Massia Christian TRIMUA
Ministre chargée de l’Inclusion financière et de l’Organisation du secteur informel : Mme Mazamesso ASSIH
Ministre du Désenclavement et des Pistes rurales : M. Bouraïma Kanfitine TCHEDE-ISSA
Ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche : M. Majesté Ihou WATEBA
Ministre du Développement à la base, de la Jeunesse et de l’Emploi des jeunes : Mme Myriam DOSSOU-D’ALMEIDA
Ministre de l’Economie maritime, de la Pêche et de la Protection côtière : M. Kokou TENGUE
Ministre de l’Action sociale, de la Promotion de la Femme et de l’Alphabétisation : Mme Adjovi Lolonyo APEDOH-ANAKOMA
Ministre de la Promotion de l’investissement : Mme Kayi MIVEDOR
Ministre de l’Urbanisme, de l’Habitat et de la Réforme foncière : M. Koffi TSOLENYANOU
Ministre de la Communication, des Médias, Porte-parole du Gouvernement : M. Akodah AYEWOUADAN
Ministre des Sports et des Loisirs : Mme Lidi Kedeka BESSI-KAMA
Ministre de la Culture et du Tourisme : M. Kossi Gbényo LAMADOKOU
Ministre délégué auprès du Ministre de l’Administration territoriale, de la Décentralisation et du Développement des territoires, chargé du Développement des territoires : M. Essomanam EDJEBA
Ministre déléguée auprès Ministre de la Santé, de l’Hygiène publique et de l’Accès universel aux soins, chargée de l’Accès universel aux soins : Mme Mamessilé Aklah AGBA-ASSIH
Ministre déléguée auprès du Président de la République, chargée de l’Energie et des Mines : Mme Mawunyo Mila AZIABLE
Ministre délégué auprès du Ministre des Enseignements primaire, secondaire, technique et de l’Artisanat, chargé de l’Enseignement technique et de l’Artisanat : M. Kokou Eké HODIN

 

Données consulaires

Section consulaire de l’ambassade de France au Togo : Lomé
Communauté française au Togo : 2 604 Français inscrits au registre en mai 2021
Communauté togolaise en France : 12 850 Togolais disposaient d’un titre ou d’une autorisation de séjour valide en France en mars 2018

 

Éléments d’actualité

Politique intérieure

Le décès d’Étienne Gnassingbé Eyadéma en 2005 a provoqué une crise politique et institutionnelle, lors de laquelle l’armée a confié le pouvoir à son fils Faure Essozimna Gnassingbé. Ce dernier a remporté l’élection d’avril 2005, dans un contexte de violences (500 morts) et est a été réélu en 2010.

Le débat politique s’est en partie concentré, après l’élection du Président Faure Gnassingbé pour un troisième mandat en avril 2015, sur la question des réformes institutionnelles. L’opposition a notamment réclamé le retour à la limitation à deux du nombre de mandats et un scrutin à deux tours. Entre les mois d’août et de décembre 2017, de grandes marches organisées dans les principales villes du pays à l’initiative du Parti National Panafricain (PNP) de Tikpi Atchadam, auquel se sont ralliés les opposants historiques, en particulier l’Alliance nationale pour le changement (ANC), ont rassemblé plusieurs dizaines de milliers de manifestants. Les tensions se sont intensifiées aux mois d’octobre et de novembre et ont atteint un pic avec la mort de deux militaires dans la ville de Sokodé.

Soumis à la plus forte mobilisation de l’opposition depuis des années, le pouvoir a fait adopter en conseil des ministres, à la veille des manifestations des 6 et 7 septembre, un projet de révision constitutionnelle. Celui-ci prévoyait l’instauration d’élections présidentielles à deux tours et la limitation à deux des mandats présidentiels. Toutefois, cette limitation n’était pas rétroactive et permettait donc au Président Faure Gnassingbé, au pouvoir depuis 2005, de briguer deux quinquennats supplémentaires. Le projet de réforme constitutionnelle ayant échoué à recueillir la majorité des 4/5ème au parlement, il devait être soumis à référendum, comme le prévoit la constitution togolaise. L’opposition est néanmoins restée ferme sur son refus d’une réforme permettant à Faure Gnassingbé de rester au pouvoir.

Après six mois de tergiversations, un dialogue politique pour sortir de la crise s’est tenu de février à décembre 2018 entre la coalition de l’opposition et le parti présidentiel (UNIR) sous l’égide du Ghana agissant comme facilitateur, avec pour conséquence la libération de 45 manifestants qui avaient été emprisonnés pour leur participation aux marches. Le processus de médiation entamé par le Ghana, et rejoint par la Guinée, a finalement été endossé au mois d’avril par la CEDEAO. Le sommet de l’organisation régionale qui s’est tenu à Lomé, le 31 juillet, a acté la prolongation du mandat des facilitateurs ghanéen et guinéen, la révision de la composition de la commission électorale (CENI), ainsi que l’accompagnement du processus électoral par des personnalités qualifiées extérieures à la crise, notamment pour les élections législatives, qui devaient avoir lieu le 20 décembre 2018 au plus tard, comme suite à la demande des autorités togolaises.

En dépit des efforts des facilitateurs et de la Commission de la CEDEAO, dont le mandat sur le règlement de la crise a pris fin lors du sommet de l’organisation le 22 décembre 2018, aucun accord n’a pu être trouvé entre la majorité et la coalition des 14 partis d’opposition (C14) sur le caractère rétroactif d’une limitation du mandat présidentiel. D’autres demandes continuent d’être formulées par la C14 sur la modification du découpage électoral ainsi que le fichier électoral.

Les élections législatives de décembre 2018, boycottées par la coalition des 14 partis d’opposition, ont consacré la victoire du parti présidentiel (UNIR) qui a obtenu 59 sièges sur 91. L’Union des Forces du Changement (UFC) qui avait jusqu’aux élections des ministres au sein du gouvernement devient le 1er parti d’opposition avec 7 sièges.

Des élections municipales ont été organisées pour la première fois depuis 32 ans en juin 2019. Au total, 1527 sièges de conseillers municipaux étaient à pourvoir, dans 117 communes, au scrutin proportionnel plurinominal. Contrairement aux législatives, l’opposition n’a pas boycotté les élections et a appelé la population à s’inscrire sur les listes électorales.

Faure Gnassingbé a ensuite été réélu pour un quatrième mandat à l’occasion de l’élection présidentielle du 22 février 2020. Les résultats publiés par la Cour constitutionnelle le 3 mars donnent le président sortant vainqueur avec 70,78 % des voix contre 19,46 % à Agbéyomé Kodjo et 4,68% à Jean-Pierre Fabre.

La cérémonie d’investiture du Président Faure Gnassingbé s’est tenue le 3 mai. Celle-ci s’est déroulée dans le climat particulier de la crise du COVID-19 et de la mise en place, le 2 avril 2020, de l’état d’urgence sanitaire. Depuis, la prorogation de l’état d’urgence sanitaire a été autorisée jusqu’au mois de septembre 2021.

Le Président Faure Gnassingbé a procédé au remaniement de son gouvernement les 28 septembre et 1er octobre 2020, sept mois après sa réélection. Victoire Dogbé est devenue Premier ministre du Togo. La composition du nouveau gouvernement a traduit un effort de renouvellement à la tête du pays, par l’entrée de davantage de femmes et de jeunes dans les rangs du gouvernement. Le gouvernement a ensuite adopté en octobre 2020 une feuille de route Togo 2025 détaillant les projets et réformes prioritaires du Togo à l’horizon 2025 en matière d’inclusion sociale, de consolidation de la paix, de création d’emplois, de modernisation du Togo et de renforcement de ses structures.

Une concertation nationale des acteurs politiques (CNAP) a enfin été initiée fin décembre 2020. Elle a abouti à la signature d’un compte-rendu le 13 juillet 2021 par les coprésidents de la concertation, représentant l’UNIR et l’UFC, ainsi que par le ministre d’Etat Payadowa Boukpessi en tant que rapporteur. Ce texte, qui fait état de 51 propositions visant à réformer le cadre électoral, politique et institutionnel. Il prépare la tenue d’élections régionales annoncées pour 2022.

 

Situation économique et financière

Le Togo appartient à la CEDEAO, à l’UEMOA (Union économique et monétaire ouest africaine), à l’OHADA (Organisation pour l’harmonisation en Afrique du droit des affaires) et à la Zone franc. Le pays est membre de l’OMC et a également ratifié l’accord établissant la ZLECAf (Zone de libre-échange continentale africaine).

Le retour des bailleurs de fonds internationaux, à partir de 2007, a permis la relance de la croissance du PIB. Sous l’impulsion de la production agricole, des services de transport liés au commerce international et de l’impact positif de l’amélioration des infrastructures sur l’activité économique privée, le pays a pu atteindre une croissance de 5,3% en 2019 (contre 4,9% en 2018). Conséquence du ralentissement économique lié à la COVID-19 et de l’affaiblissement de la demande chez ses partenaires, le pays a connu en 2020 sa première année sans croissance depuis plus de 15 ans, mais la Banque mondiale estime toutefois que cet épisode est temporaire et que le Togo devrait renouer avec la croissance dès 2021.

Alors que le pays ne disposait plus d’accord avec le Fonds monétaire international (FMI) depuis novembre 2011, le FMI et le Togo ont conclu le 18 janvier 2017 un accord pour la mise en place d’une Facilité Elargie de Crédit (FEC), approuvé le 5 mai 2017. Il correspond à un prêt d’environ 238 millions d’USD étalé sur 3 ans et remboursable sur 10 ans, équivalant à 120% de sa quote-part au FMI. Ce dispositif étant arrivé à son terme, de nouvelles discussions sont en cours avec le FMI en vue finaliser les accords sur un nouvel accord FEC.

Le Togo s’affirme comme une économie de transit, fondée notamment sur le port autonome de Lomé, seul port en eaux profondes du golfe de Guinée, la nouvelle aérogare, le « hub » bancaire et des projets d’interconnexion ferroviaire avec le Ghana et le Bénin. Le plan national de développement 2018-2022 (PND), lancé le 4 mars 2019 par le gouvernement, entend faire de Lomé un hub logistique et de services, et du Togo un pôle de développement dans le domaine agricole. La feuille de route Togo 2025 réaffirme ces objectifs en déclinant 42 projets et réformes prioritaires, articulés autour de trois axes stratégiques : 1) renforcer l’inclusion et l’harmonie sociale et garantir la paix ; 2) dynamiser la création d’emplois en s’appuyant sur les forces de l’économie (agriculture et le développement de filières de transformation, le hub logistique autour du port de Lomé et les industries extractives) ; 3) moderniser le pays en s’appuyant sur le numérique et renforcer ses structures tant en stabilisant ses comptes publics et en renforçant son attractivité pour les investisseurs.

Le Togo occupe la 97ème place du classement de la Banque Mondiale sur le climat des affaires en 2020, sur 190 pays (ce qui représente un gain de 40 places comparé à l’année précédente).

47 % de la population vit en situation de pauvreté multidimensionnelle au sens du Programme des Nations unies pour le Développement et le Togo arrive en 167ème position au classement par l’indice de développement humain.

 

Politique extérieure

Le Togo cultive de bonnes relations avec ses voisins. Faure Gnassingbé multiplie les visites, notamment au Ghana et en Côte d’Ivoire.

Le pays s’investit également dans les enceintes régionales et multilatérales. A titre d’exemple, Faure Gnassingbé a été élu à la présidence de la CEDEAO le 4 juin 2017. Lomé accueille par ailleurs le bureau régional de l’Organisation Internationale de la Francophonie et les sièges de la Banque ouest-africaine de développement et de la Banque d’investissement et de développement de la CEDEAO.

Le Togo est membre depuis 1997 de l’Organisation de la coopération islamique et a rejoint. Il a par ailleurs demandé à adhérer au Commonwealth en 2014.

La coopération avec l’Union européenne s’est considérablement renforcée depuis sa reprise en 2004. Le ministre togolais des Affaires étrangères Robert Dussey a été négociateur en chef pour la partie ACP dans le cadre des négociations de l’accord post-Cotonou. La programmation conjointe européenne au Togo pour 2021-2027 identifie trois initiatives phares, qui portent sur l’énergie et le numérique, l’agriculture durable, ainsi que la gouvernance locale inclusive.

Le pays s’investit par ailleurs diplomatiquement dans sa région et est partie prenante de l’initiative d’Accra sur les questions sécuritaires depuis son lancement en septembre 2017. Le Togo contribue à 6 opérations de maintien de la paix, toutes en Afrique et principalement la MINUSMA et se positionne au 16e rang mondial des pays contributeurs en termes d’effectifs, avec 1309 personnes au 31 juillet 2021.

En octobre 2016, le Togo a accueilli le Sommet extraordinaire de l’Union africaine sur la sécurité maritime et le développement en Afrique. Cette session s’est inscrite dans le droit fil du processus de Yaoundé, afin de mettre en place une stratégie africaine de protection des mers et des océans, pour garantir paix, sécurité et stabilité, et de faire de l’espace maritime africain le levier principal d’un développement économique pérenne (« économie bleue »). Ce sommet a donné lieu à la signature de la Charte de Lomé par 31 Etats.

Le pays cherche par ailleurs à diversifier ses partenariats. La Turquie puis l’Inde ont ainsi ouvert leurs ambassades à Lomé en avril et juin 2021.

Les Togolais vivant à l’étranger sont estimés à deux millions, dont 30% en Europe et en Amérique du Nord, et leurs transferts de fonds environ 10% du PIB.

Relations avec l’Union européenne

Les relations entre l’Union européenne et le Togo reposent sur l’accord de Cotonou de juin 2000, qui prévoit notamment un dialogue politique régulier. La 21e édition de ce dialogue s’est tenue en décembre 2020.

Le 15 avril 2021, la commissaire aux partenariats internationaux, Jutta Urpilainen, et le ministre togolais des Affaires étrangères, Robert Dussey, les négociateurs en chef, ont paraphé le nouvel accord de partenariat entre l’Union européenne (UE) et les membres de l’Organisation des États d’Afrique, des Caraïbes et du Pacifique (OEACP), marquant ainsi la conclusion officielle des négociations de l’accord post-Cotonou, qui fixe le cadre de coopération politique, économique et sectorielle pour les vingt prochaines années. L’accord, qui succédera à l’accord de Cotonou une fois que les deux parties auront achevé leurs procédures internes relatives à la signature et à la conclusion, jette les bases de la création d’alliances et d’actions mieux coordonnées sur la scène internationale. Ensemble, l’UE et les États membres de l’OEACP représentent plus de 1,5 milliard de personnes, et plus de la moitié des sièges aux Nations unies.

La programmation conjointe européenne au Togo pour 2021-2027 identifie trois initiatives phares portant sur l’énergie et la connectivité, l’agrobusiness durable, ainsi que la décentralisation et la gouvernance locale.

Une aide au développement de 216 millions d’euros de l’Union européenne était prévue pour la période de 2014-2020, notamment dans les secteurs de l’énergie, de l’eau et de l’assainissement, de la consolidation de l’État, de la sécurité et au profit de la société civile. Pour la période du prochain Cadre financier pluriannuel (CFP) 2021-2027, le nouvel instrument « NDICI-L’Europe dans le monde » sera doté d’au moins 29,18 milliards d’euro pour l’Afrique subsaharienne. La ventilation par pays tiers n’a pas encore été tranchée.

Mise à jour : 20.09.21

Sources ;Le Monde ;  Ministètre des Affaires étrangères, France

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