LES GRANDES DECOUVERTE 0 / Le renversement du platonisme
Renverser le platonisme, c'est renverser la lecture faite par le néoplatonisme et ensuite par la théologie rationnel qui débouchera sur le subjectivisme transcendantal de la pensée classique (passons vite faite mais ce sont les motif de l'inversion du Bien et de l'être l'advenue de l'être suprême en tant que Dieu unique), le motif de l'apophase de l'Un qui est nécessaire à l'être unique, les motifs de la transcendance de l'être et du contre sens de l'analogie de l'e^tre, le motif de la reconfiguation violente del a science par Descartes qui se marque par cet autre motif qu'est le chiamse du sujet dont parle Alain de Libéra : les choses mentales (subiectum, c'est l'hypokiemenon, en tant que substrat, matière qui reçoit une forme, eidos, une espèce diraient les spéciste du moyen-âge vengeur et réparateur) deviennent choses du monde (objets) et les choses du monde (obijectum) deviennent choses mentales.
La pensée de Platon n'est pas un système mais une évolution diastémqiue, un passage par seuil successif qui annulle la séparation (chorismos, choris : séparément), entre un monde saisi par la pensée et un monde saisi par les sens, ce que la vulgate appelle monde sensible et monde intelligible faisant du second un Au-delç (cf. Cratyle 396 bc). Platon passe à la théorie de la séparation qui posse deux réquisits (pas de séparation et pas de réification, ce qui correspond à la physique actuelle celle de l'interation électro-faible constiuté essentiellement de vide, 90 % de la masse se trouvant dans la liaison au sein de ce vide, mais il y a pas de vide atomique, à l'échelle subatomique il n'y a que de l'ultravide, un vide d'atomes imparfait, où ceux-ic sont déliés) Mais si Platon abandonne la séparation pour la participation alors tout le platonisme s'effondrre et pourtant autant il y a bien comme le pose l'investigation de Socrate un être hors langage (la réalité formée en somme, to on) et des êtres qui existent hors longage (ta onta), dans le passage en somme : d'où les réticences de platon à inscire la pensée et son insitstance aà vouloir maintenir la parole vivante et animée, par le dialogue, avec quelque part cette insitance que le discours est dehors.