PSYCHOLOGIE / Le mouvement de perversion narcissique
Il n'y a pas de pervers narcissique en soi. La perversion narcissique est avant une relation, un mouvement pervers narcissique comme l dit Pzul Racamier qui est à l'origine de cette expression. C'est pouruoi le pervers narcissique ne peut une catégorie de la psychiatrie mais davantage un mode étudié par l'éthologie ou l'éthique. La perversion narcissique est un dipôle qui se joue entre un pôle pervers et pôle surdoué qui apporte la rcihesse de la relation, son énergie.
La meilleure manière de se sortir d'une relation perverse est de l'accepter, ce qui ne veut pas dire la subir, mais de comprendre que la personnalité perverse du dipôle a eu un traumatisme d'enfance qui a conduit à un clivage vis-à-vis de ses émotion, ce qui maintient le pervers loin de tout abîme. Il s'agit surtout de ne pas rejeter la faute sur l'autre, sur le ou la "pervers-e", ce qui serait proprement chrétien, il ne s'agit pa non plus de pardonner, mais d'introduire une relation neutre et indifférente au triste sort de celon qui a bseoin de faire souffrir l'autre pour le ou la maintenir sous son emprise. Par exemple, en changeant sans cesse d'humeur, en montrant un visage que l'on ne montre pas en public, la partie perverse du de la relation de perversion narcissique maintient la relation imperceptible et incommunicable de l'extérieur mais en se disant victime là où, surtout, vous auriez envie de lui jeter la faute, vous entretenez la relation perverse. Vous tomber dans la névrose obsessionnelle, compulsive et ressassante. Celon qui occupe la place perverse de ce dipôle avait trouvé le moyen d'être à votre écoute là où vous ressentiez de la difficulté à être entendu-e. Il s'élabore alors une relation de transfert double qui fait la force du mouvement de perversion narcissique, ce double transfert par l'intensité de la relation est négatif. Il faut si vous vous situez dans le triangle dramatique du sauveur/libérateur, du bourreau et de la victime, voir la petitesse de celon qui occupe la place du pervers. Il s'agit pour lui ou elle de maintenir une relation tout de même en animant votre haine une fois l'admiration pour le sauveur et libérateur passée. Il s'agit de vous confortez dans votre déséquilibre narcissique, dans votre manque de confiance en soi, ne serait-ce que par l'écriture sur internet, par l'activité physique ou yogique, l'apprentissage d'une langue dans un groupe ou la pratique de la chorale, bref par la rencontre de personnes beaucoup plus saine avec qui vous pouvez ou non vous entretenir sur des thèmes plus anodin plutôt que d'entretenir cette relation de victimisation et de haine qui peut vous consumer. La seconde chose une fois l'estime de soi revenue est de mettre un terme de manière symbolique et technique à cette relation néfaste, il s'agit de se séparer de la personne ou de mener à bien l'affaire et le contrat qui vous lie à elle, le plus techniquement possible, sans état d'âme. La victime d'un traumatisme est celon qui occupe le pôle pervers dans la relation et qui veut volontairement ou non vous limiter dans la reproduction de se traumatisme. Vient alors la dimension d'acceptation, qui est un non-objectif, une manière de ne pas se taper la tête contre le mur ou le plafond de verre.
Le pôle pervers de la perversion narcissique est clivé, face à un traumatisme d'enfance. On retrouve cela dans les secrets de famille aussi bien que dans les perversions sexuelles de manière plus étendues*. Là où je ferais tomber à plat ce texte, c'est qu'il est difficile, de dire si nous ne sommes pas tous clivé, si l'oubli, qui fait partie de la personnalité vive et saine, n'est pas l'amorce naturelle de ce clivage, qui en serait la redondance, en tant qu'oubli de l'oubli et mécanisme de protection.
La perversion narcissique peut relever avoir pour base une névrose d'angoisse plus que de la psychose, c'est une hypothèse. Elle se transforme en psychose à eux, en dipôle psychotique mais dès que l'un de ses membres s'en écarte c'est l'un ou l'autre des membres qui repart avec sa névrose d'angoisse. C'est ce pour quoi on dit que le surdoué crée son pervers. Tout dépend où la sensation de manque d'énergie s'installe.
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* on pensera au Que sais sur les perversions sexuelles et au Que sais-je . Le pervers narcissique n'est pas une personne à proprement clivée, en tout cas il faudrait le vérifié mais un dimension secret de famille avec syndrome générationnel (où ce sont les enfants d'un traumatisé qui subissent est possible); A vérifier. Cette confusion Raymonde Hazan, s'y autorise.
Sur la Névrose d'angoisse Freud a publié un article sur la névrose d'angoisse comme appartenant aux névroses mixtes ou succédant à une neurasthénie en 1995. Je vous laisse le retrouver.