La Philosophie à Paris

DECES / Bernard Stiegler

8 Août 2020, 09:47am

Publié par La Philosophie

Bonjour C'est avec une joie non feinte que nous avons appris la mort de Bernard Stiegler. Celui-ci préparait un léviathan électronique, sorte d'ingénierie platonicienne et jargonneuse préparant le futur gouvernement mondial avec un enracinement local dans les quartiers - à Plaine commune avec le renégat communiste rallié à Macron Patrick Braouzec..

Nos condoléances à sa fille Barbara, fille de celui qui demeurera un monarchiste - un peu spécial comme vous pourrez le voir dans l'avant-dernière vidéo de Ars Industrialis.

" l'exorganologie, les premiers à en parler comme Hobbes... ce sont qui parlent des société d'ascètes avec des reines ".

16:00 à 19:30 " je vous ai invité à prendre en considération ce que dit Norbert Wiener sur le fait que les réseaux numériques cybernétiques pourraient reconstituer des fourmilières où il y aurait à leur têtes des reines - lui appelle cela le fascisme. Bon ce n'est pas la même chose le fascisme et la monarchie ... " Et il se met à minimiser l'importance historique du fascisme en France ("C'est trop facile de parler de fascisme ... il n'y a pas de fascisme français"), alors que derrière c'est un gouvernement mondial qui est visé à l'échelle locale, nationale et mondiale. C'est ce qu'il nomme le léviathan électronique - à 113:00 dans la vidéo - déjà développé au Brésil. "Il faut faire une exorganolgie de la monarchie et parfois de sa nécessité parce qu'il y a des nécessités de la monarchie, dans certaine circonstances, Ce n'est pas pour iren que les monarchies se sont imposées dans le monde entier à peu près à la même époque... "

20:00 Il poursuit avec cette ambiguïté validante, infirmante : "Je pense que le roi Macron est une bison futé premier ou deux". "La monarchie c'est une morphogenèse aussi, exorganique"

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S
Bonjour,<br /> <br /> Je suis tombé par hasard sur votre site plus militant que réellement philosophique à mon goût, surtout si l'on considère que la philosophie est bel et bien une discipline qui met à l'honneur la pensée, et non pas le pathos et petites haines sordides contre des personnes.<br /> <br /> Que faut-il donc en conclure sur la faculté de Paris VIII ? <br /> <br /> Qu'on y enseigne réellement la philosophie ou que l'on y endoctrine une jeunesse à haïr des penseurs contemporains, dès lors que leur logiciel de pensée ne convient pas auxdits enseignants ?<br /> <br /> Toujours est-il que si je ne me suis jamais penché sur la pensée de Stiegler, je crains que des gens qui se réjouissent ostensiblement de sa disparition, ne puissent prétendre incarner un courant philosophique humaniste, mais uniquement une petite communauté d'imbéciles aigris et malveillants.<br /> <br /> Au passage, puisque nous ne nous sommes jamais rencontré et que mes propres écrits et travaux semblent vous désintéresser, merci de supprimer le court "article" que vous m'avez consacrez, d'autant que je n'ai aucune connexion ou affinité pour l'autre personne que vous mentionnez dans votre "papier" (toilette ?)<br /> <br /> Bien cordialement,<br /> <br /> Sylvain Baron
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V
M. "LA Philosophie" ,<br /> <br /> (nonobstant l'orthographe du français qu'il faudrait très sérieusement songer à réviser... en tout cas, cela nuit à la lecture et compréhension de vos petites "vérités" apodictiques)... vous gagneriez bcp à découvrir un philosophe... un certain F. NIETZSCHE !  + certains de ses commentaires, parmi les meilleurs d'ailleurs : B. (Barbara)  STIEGLER (tiens...), sur le rapport de la pensée de Nietzsche, et de la pensée "tout court" à la chair, à la biologie ; ou encore "N. et le cercle vicieux" de P. KLOSSOWSKI ("le plus grand livre de philosophie que j'aie lu... avec Nietzsche lui-même", dixit M. FOUCAULT !)...  <br /> car outre la démolition des ornières et oeillères de vos petites "vérités",  cela aurait surtout l'avantage de vous désenliser de vos dualismes antiques ("pensée" vs tout le reste ?) en dévoilant le caractère à la fois téméraire et candide de votre phantasme d'une "pensée pure", car, quitte à vous surprendre, il n'y a nulle pensée (ou "esprit", oui Monsieur - P. Valéry par ex. parlait de "la valeur esprit"), sans support matériel, sans corps, sans expérience (intérieure), sans affects, sentiments, émotions, intensités, etc. (peu importe les termes)... "Pensée pure" = pur verbiage  et vieilles billevesées. <br /> Inséparabilité, interdépendance qui, depuis Nietzsche, a d'ailleurs été confirmée par la biologie, les neurosciences, etc. <br /> <br /> Ça va ? Vous avez pu vous relever après être tombé de votre chaise devant cette découverte sidérante ?
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V
je crois vous avoir déjà dit à quel point vos propos sont d'une crasse bassesse, et ce qu'ils traduisent de votre personne. Je n'ai rien à ajouter ni à retrancher quant à l'obscénité sordide qu'ils expriment. <br /> PS : "penser" n'a jamais empêché de "sentir" ("esprit", "âme", etc. - peu importe les mots) - et ça va même ensemble (sauf à saucissonner l'être humain et penser dans un bocal de jargon)
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V
"Est-ce nous qui insultons la philosophie ?"<br /> <br /> - OUI, car vous insultez l'esprit. Si vous ne le comprenez pas, c'est que vous avez un grand problème avec le langage - au-delà du manque d'humanité... et à ce sujet, qu'on soit d'accord ou pas avec certaines de ses idées, BS avait tout de même une tout autre conception de l'humain, et de ce qui fait l'humain, tendant vers un tout autre désir d'élévation. Mais comme dit Confucius, "l'honnête homme remonte sa pente, l'homme vulgaire la descend."<br /> <br /> Vous devriez lire un peu les écrits politiques de G. Orwell, ou ceux de Thoreau par ex. - vous y gagneriez (peut-être ? au moins quant à la compréhension) quelque once d'humanité, à savoir un minimum de cette "common decency" dont parle Orwell. C'est sur ce seul et unique point que j'ai initialement laissé un commentaire ici... quant à votre réjouissance d'une rare bassesse et sordide obscénité - confirmée, ou plutôt aggravée, par vos "condoléances à Barbara"... d'un effroyable cynisme ! Imaginez que votre père vient juste de mourir, de surcroît en se suicidant... et vous recevez des "condoléances" de la part d'une personne... qui se réjouit de sa mort ! "avec une joie non feinte" (sic) ! les mots ont-ils encore un sens ? "le pouvoir des mots" a-t-il la moindre résonance en vous ?! Oui, vous insultez de la sorte l'esprit et l'effort philosophique (beaucoup plus qu'un "connard" - seul terme que vous retenez, alors même que j'ai le souvenir d'avoir lu d'autres choses sous la plume de BS au sujet de Badiou, mais peu importe). <br /> <br /> Obscénité reconfirmée ensuite par votre parallèle, pour le coup complètement débile (je reprends à dessein ce terme souvent utilisé par Deleuze à l'oral), avec Hitler et Pol Pot ! Et tous vos petits "Bouh bouh bouh" n'y changeront rien. Pour le reste, quant au fond lié à la pensée de BS, vos propos sont vraiment trop confus et au final illisibles. <br /> Mais ça ira comme ça, jeune homme (bien prétentieux et ridicule - vous citiez Tartuffe ?!), retournez d'abord à vos études, et approfondissez-les un peu plus (c'est d'ailleurs sans fin)... avant de déclamer Vos grandes "Vérités" sur un ton aussi apodictique.  "L’ignorance qui était naturellement en nous, nous l’avons, par longueétude, confirmée et avérée" (Montaigne).<br /> Adieu Môônsieur - car vous apprendrez peut-être un jour que, davantage encore que de se salir les mains (et donc d'avoir "les mains sales"), il n'est pas bon de se salir l'esprit ou l'âme... et, quand on a quelque conscience du langage (qui "sert à vivre", selon la haute conception que s'en faisait un Benveniste), il est bon de se "garder la bouche propre"...
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L
Je crois que vous n'avez pas sais la réflexion néocoloniale de Bernard Stiegler que vous nommez "esprit". Je ne sais ce qui a généré cette tension chez cet ex-gauchiste et ce reniement. Mais en appeler à la concertation avec la citoyen quant à la reconversion de Plaine-Commune après les JO alors qu'il en appelle au philosophe-roi à ce couper du "citoyen" (vision réductrice et suffragiste s'il en est).<br /> Notre époque en appelle à dissocier le philosphe ou l'artiste de l'homme. Ainsi les réflexions jargonneuses et de la sabir de Bernard Stiegler sont à dissocier de l'homme, le père de Barbara Stiegler. C'est la même disposition qu'avec Mazarine Pingeot, fille du plus grand génocidaire français qui parle dans ses entretiens de sa tendresse pour son père quand il rentrait fatiguer du son travail. <br /> Arrêtez de projeter des choses qui ne nous concerne guère. La mise en place d'un Léivathan technologique (qui oppose binairement le comme s'il fallait réduire au citoyennisme tout ce qui relève de l'indistinct et de l’indiscernable et juste délétère.<br /> L'obscénité n'est pas de notre côté.<br /> Vous n'y connaissez rien. L'esprit ? Vous êtes encore dans la domination, précisément dans cette prise de pouvoir qu'opère tout au long de ces séminaires Bernard Stiegler. Quand songerez-vous à penser bref à sortir de la tradition occidentale (nous avons mis un entretien de Heidegger à cet effet). Vous ne faîtes que témoignez de cela.<br /> <br /> Je vous laisse à vos jugements... Nous n'avons rien dit de sordide. Les gens ne sont pas des imbéciles et je les invite simplement à écouter les séance 6 et 7 du dernier séminaire d'ars industrialis.<br /> <br /> L'aigreur a mangé Stiegler. Tout ce qui arrivait était à l'opposé de sa pensée des années 200--2008 ("déprolétarisation", "fin du capitalisme", encensement de Marx pour mieux le liquider ensuite).<br /> <br /> Je vous laisse avec votre "esprit" et votre "âme", mais de quoi parlez-vous ? Pourquoi vous refusez-vous à pensez ? Pourquoi souhaitez-vous poser un cosmos (celui du philosophe-roi dominateur) sur un "chaos" ? Pourquoi contempter le changement ?
V
PS : comme vous citiez M. Onfray, j'ajoute simplement ceci : je conchie littéralement ce "penseur", l'homme comme l'oeuvre (même si j'avais aimé un ou deux de ses 1ers opuscules), pour tout un tas de raisons qui ont trait autant à son ego qu'à sa malhonnêteté (confirmant le titre d'un essai sur lui consacré, avec le terme d'"imposture"), et surtout à sa malhonnêteté d'ailleurs, patente, pour peu qu'on ait lu les auteurs qu'il travestit de manière éhontée - évidemment s'en donnant à coeur joie dans les grands médias qui lui déroulent le tapis rouge, sans aucun interlocuteur sérieux et un peu cultivé... Un type, auto-érigé en hérault de la morale (moraline) et de le vertu, ne pensant que par caricatures, réductions grossières pour aboutir à des "conclusions", énoncés apodictiques sur tout et tous, se croyant détenteur de "La Vérité" (un peu comme vous d'ailleurs)...<br /> <br /> Il est le grand sophiste de notre "basse époque", illustrant à merveille ce que disait G. Deleuze : en France il y a toujours besoin d'un "pape" intellectuel et médiatique... qui procède le plus souvent par "gros concepts" aussi gros et creux que des dents creuses ("L'écologie", "LE monde", "LA pensée", "LE peuple", "LA morale", "LA Vérité", etc.), et "plus le contenu de pensée est faible, plus le penseur prend d'importance, plus le sujet d'énonciation se donne de l'importance par rapport aux énoncés vides." <br /> <br /> MAIS, MAIS, MAIS... viendrait-il à mourir demain que je ne compatirais certainement pas ; mais que je ne me "réjouirais" certainement pas plus de sa mort. "Humain, trop humain" ?...
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L
C'est marrant vous conchiez... CQFD. L'insulte n'est pas de mise chez nous :)
V
De surcroît, avec un cynisme des plus crapuleux, vous osez ! adresser vos condoléances à la fille... d'un homme dont vous vous réjouissez de la mort ! pas l'once de la moindre "common decency"... Encore beaucoup de chemin à faire dans la voie de la philosophie.
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L
Les meilleurs partent toujours les premiers ! vous préférez une bêtise de ce genre ? car là c'en est une !<br /> <br /> Est-ce nous qui avons qualifié Badiou de connard ? Est-ce nous qui insultons la philosophie.
V
Bonjour, sous couvert d'anonymat, il est courant de voir se déverser les pires ordures et les propos les plus émétiques. Pour le coup, les vôtres sont d'une goujaterie aussi porcine qu'infantile... Car jusqu'à preuve du contraire, Bernard Stiegler n'était pas ni un dictateur ni un fasciste criminel... Qu'on soit d'accord ou pas avec la pensée d'un autre, se féliciter de la sorte de son décès ("C'est avec une joie non feinte") relève de la bêtise la plus crasse... celle qui faisait dire à René Char : "je ne plaisante pas avec les porcs"... ou encore, celle dont parlait Mallarmé en évoquant "le vomi impur de la Bêtise". Et vous prétendez défendre la philosophie ? Honte à vous.
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V
Décidément, beaucoup de paroles bien vagues, et surtout pleines d'acrimonie - sans parler qu'elles sont aussi pleines d'une orthographe largement bafouée ou aléatoire (bien au-delà des seules coquilles !) - ça en est même impressionnant pour un prétendu "philosophe", mais les faux-monnayeurs de la pensée pullulent en ce moment.<br /> Je ne pense pas que B. Stiegler se soit contenté d'un simple "connard"' dans son opinion concernant Badiou - je pense par contre que vous allez un peu vite en petits jugements... <br /> Mais votre manque de clarté, voire confusion, est assez général, au point de parler d'abord de Barbara Stiegler, et ensuite Isablle (à deux reprises) ? <br /> Enfin, car non seulement "je ne plaisante pas avec les porcs" (comme disait R. Char), mais je ne discute pas avec eux... vous semblez avoir quelque problème de compréhension : j'ai justement dit qu'il y avait un abîme entre "compatir" et "se réjouir" de la mort de quelqu'un... (et votre parallèle avec Hitler ou Pol-Pot est pour le moins alarmant !) - dont, décidément, vous ne semblez même pas mesurer l'ampleur, laissant un éventail énorme de sentiments... mais apparemment, vous ne semblez penser que par dualismes caricaturaux et bien misérables ("compatir" ou "se réjouir")... car je ne vous ai jamais "demandé" de compatir. <br /> Que vous soyez critique vis-à-vis de Stiegler, c'est votre droit - le fait est, tout à fait argumentable, mais de manière un peu plus digne. Je ne suis d'ailleurs pas de ses "fans", même si je l'ai beaucoup lu et qu'il m'a aidé à penser, comme peu de penseurs contemporains depuis une vingtaine d'années... même si je ne lisais plus ses derniers livres (selon moi trop plein de ce "jargon de l'authenticité" qui en fait à la fin un pensum)... <br /> Oser comparer Hitler et Pol Pot avec un penseur comme Stiegler relève de la plus grande Bêtise - que vous re-confirmez bien sottement. Bêtise qui apparemment n'a d'égale que votre prétention, bien ridicule (en vous lisant).
L
Oui dois-je compatir quand Hitler meurt ?<br /> Encore une fois je témoigne toute mes condoléances à Isabelle Stiegler. La même chose vaut pour Mazarine Pingeot qui a plein de mots tendre pour son père alors que celui-ci est le premier et le dernier génocidaire français.<br /> Ma provocation n'a d’égal que mon effarement. Le faire sentir au lecteur n'a rien de reprochable. Quand on a pour seul argument contre un philosophe ou un antiphilosophe que de dire "c'est un connard". Quand on prépare une exogranologie pour cybernétiser le monde sous un léviathan technologique tout en se plaignant de la smartcity. Il suffit d'écouter... L'humanité n'est pas là.<br /> Compatir à quoi ? Je compatis pour Isabelle. Bernard vous ne le ramènerait pas, le seul truc qui me gène c'est le présupposé.<br /> Inviter les gens à voir sa défense du monarque, du souverain qui n'est pas le peuple, voir le retournement de veste et le double discours. L'emballement fatal. Juste dire cela. Ce ne sont pas mes propos qui sont obscènes ce sont ceux de Bernard Stiegler. Vous avez compatis à la mort d'Hitler, vous avez compati à la mort de Pol-Pot ?<br /> Quand les anarchistes comme robert Wiener se mettent à mettre en place un état cybernétique, ils sont redoutables, ce n'est pas la simple mise en automation/automatisme des machines. C'est bien plus grave :) Si mes mots peuvent faire "réfléchir" certains, se pencher sur le tournant qu'avait pris Bernard Stiegler alors que la prolétarisation est en cours, alors que le Capitalisme s'étend à présent au ventre des femmes - comme autre fois l'empire romain.<br /> Nous ne faisons que comme Bernard Stiegler avec sa lettre à Elon Musk nous attirons l'attentin du lecteur sur la mise en place de la "dimension néguanthropologique" de ce qui est une "technosphère" dominées par des "fonctions exogarniques". Nier l'humain dans l'appareil total autonome soumis aux multinationales. Parler d'exogaisme pour parler de multinationales n'est là que pour masquer un coup d'état et une impuissance à appeler un chat un chat. "synchroniser la diachronie" selon les critères énoncés par les savoirs d'un philosophe-roi. C'est bien de tyrannie dont il est question.
V
Il y a un abîme, et un éventail de nuances (qui semble vous échapper) entre "compatir" et "se réjouir" de la mort de quelqu'un... Mais je crois vous avoir déjà dit à quel point vos propos sont d'une crasse bassesse, et ce qu'ils traduisent de votre personne. Je n'ai rien à ajouter ni à retrancher quant à l'obscénité sordide qu'ils expriment.
L
Oui. Est-ce répréhensible ? Il faudrait compatir ? Combien de fois Bernard Stiegler a annoncé la fin du capitalisme (ses crises n'étant qu'une accélération du processus d'accumulation du Capital) pour finalement en appeler au Léviathan technologique qui n'est que la gestion technique - cybernétique - et non pas politique du Capitalisme. Il n'y a rien d'étrange à ce que d'anciens libertaires soutiennent le libéralisme éconmoique. <br /> Oh, ce n'est pas bien ! Ce n'est pas bien de vouloir que la vie accélère les conclusions.<br /> Il y a quelque chose d'aigre dans ses viscères et non pas une bonhommie. <br /> Il est difficile de voir qui aurait pu arrêté son emballement final - à l'opposé d'un Onfray qui met trente ans à se réveler et à surfer sur un malentendu - il est d'une lenteur incalculable.<br /> <br /> vous pouvez nous écrire : Anthony Le Cazals 2 rue de la liberté 93200 Saint-Denis. Nous ferons suivre...<br /> <br /> Le rire d'or du philosophe est en berne alors, Monsieur Teixera. Nous ferons les indignés. Dictature ne veut iren dire, elle désigne de non renouvellement de la classe corrompue (les propos d'Alain abonderaient en ce sens). C'est tout de même rares les évènements qui aillent dans le sens de l'histoire pour les souligner.<br /> <br /> Bouh bouh bouh. Que l'opprobre s'abattent sur nous ! Un tartuffe reste un tartuffe !