BRIBE / Gla, gla, du con de "la mort"
Pourquoi les pensées les plus vitales ne parle pas de "la mort" c'est qu'il n'y a pas de pensée de "la mort", mais une réflexion pleine de déréliction et d'atermoiement. Oui on crève, on décède, c'est même cela qui fait les générations. Mais il n'y a pas de connaissance du décès. Ca substantialise, ça verbalise, ça prophétise comme si la philosophie était une préparation au rien et je pense à tous ces écrivains pris dans ce piège de ce langage qui vide, dans cette religion fixiste. Mais qu'on laisse les créateurs de religion où il sont, internet offrent d'autres liens d'intérêt, qu'on se rappelle qu'ils sont des épileptiques, des laissés pour mort, des revenus. Rien d'étange à ce que les religions niassent dans le désert, la soif rajoute aux épilepties, aux hallucinations. Soyons impies comme Vinci puisqu'ils ne savent finir en cendres au vent, qu'on continue à leur ériger un monument de négativité. Mais ce qu'on fait à présent et dès lors laissé de côté. Délibérez.
Une pensée pour ceux qui croient baiser "la faûcheuse", du con de "la mort", j'aimais vous ne connaîtrez.*
Tombé par hasard dessus deux heures après. Etrangement Mabille et Kahn n'en sont pas exempts