NOTIONS / Peuples et Religions
En guise d'énumération, histoire de fe(i)ndre le concret
Les différentes communautés religieuses des 3 monothéismes
Comme nous l'avons fait remarqué dans un précédent article en nous appuyant sur les écrit d'un historien israélien anti-sioniste Shlomo Sand : Il n'y a pas UN peuple juif, il n'y a pas de peuple juif. Le peuple ainsi entendu est un leurre : qu'y a-t-ilde commun entre des Juifs d'Ethiopie, des juifs yéménites, des Sépharades, des Rhadanites, des Khazars (anciens nomades turcs convertis au judaïsme), les Hébreux noirs actuels qui souaitent se distinguer des juifs noirs d'Amérique, sinon la lecture d'un livre comme la Torah. Pour les différentes branches du judaïsme précisons qu'il s'agit d'un judaïsme talmudique ou rabbinique basée non seulement sur la lecture de la Torah mais l'interprétation des différents Talmud qui sont autant de lois moral. En plus du judaïsme talmudique il existe le judaüsle karaïte qui essaya lui de se greffer directement sur l'histoire des Khazars.
Si certaines de ces communautés refusent le Talmud, nombre de chrétiens qui admettent la bible refusent les encycliques papales. Nous allons y revenir tout cela pour dire que derrière la "vérité" d'un prophète, il y a toujours tout une série de courants cléricaux qui par leurs écrits se revendique de la parole du prohète qui lui n'écrit jamais. Cette dégénérescence de la "Vérité" en des "Lois" morales avant tout, se retrouve dans le mode transcendant de la philosophie avec Platon qio détenant la vérité socraitque énonce ses lois morales pour la cité. Pour les musulmans aussi, ils s'accordent sur le coran et les écrits abrahamiques falsifiés mais non pas sur le corpus des hadiths qui constituent la loi islamique (charia). Mais comme chez les autres momnothéismes il y a des divergences, cela ne fait pas de doute un prophète a toujours des problème d'héritage. Il est alors difficile de parler de peuple musulman quand on sait qu'il existe parmi ceux-ci des berbères (d'abord convertis au judaïsme puis à l'Islam et qui envahirent l'Espagne comme le montre la relation d'Avéroès et Maïmonide), des arabes et des turcs qui comme les Khazars résistèrent longtemps à la poussée arabe. Pour le dire en d'autres termes Sunnisme, Chiisme, Ibadisme (Oman, Djerba, certains Berbères), Druzes (Chiites du sud du Liban qui descendent de l'Ismaélisme), Alévites et Soufites de Turquie ne sont pas des histoires de clochers mais de minarets. Les muslmans reconnaissent les écrits des différentes religions abrahamiques mais considèrent leur écrits comme falsifiés par le temps : le Suhuf-i-Ibrahim (les Feuillets d'Abraham), la Tawrat (le Pentateuque ou la Torah), le Zabur de David et Salomon (identifié au Livre des Psaumes) et l'Injil (l'Évangile). Au Coran et au Hadiths ils ajoutent deux autres sources littérales à l'islam (l'unanimité (ijma’) et l'analogie (qiyas).
Petit rappel, pour les chapelles, pensera christianisme latin, copte, orthodoxe, charismatique, aux protestantismes luthérien, calviniste, baptiste, méthodiste, memonnite et évangélique pour ne citer qu'eux...
Pour les différentes éthnies on se rappelera...
...les mises en garde d'Etienne Balibar face au retour d'éthnicité de ces vingt dernirs années pour dire que les nations pas pllus que les peuples n'ont des "origines éthniques" (cf. Race, nation, classe, les identité ambiguës).
...Les notions de "race" et d' "éthnies" sont désastreuses de même que celle de peuple est douteuse par avance. Nous avons déjà attaqué la notion de peuple et montrer combien cette critique relève d'un anti-humanisme que l'on retrouve chez Foucault et Althusser. Sous le vocalbe de peuple, on se sert en quelque sorte de la crédulité et de la moralité des citoyens pour les désarmés de leur puissance. On les réarmes en les tirants au sort dès lors que des textes ou des aristocrates de la République sont là pour tenir la lettre de notre mémoire collective. Rappelons la traite constitution française, qui correspond à un régime représentatif plus qu'affectif. Ce qui est nommé peuple est d'emblée trahi alors que comme le diront certains philosophes c'est un peuple à venirr (comprenez une nouvelle affectivité) qui est appelée par les créateurs. Le prétendu peuple et tout ce que l'on range sous cette forme de passivité est spolié par ses représentants, qui tout au tard se reproduisent en corps d'élite et en dynastie de gouvernants. Les tirés au sort doivent se protégés des services secrets et des sociétés secrètes qui n'oeuvres par pour le développment des infrastructure mais fomentent des prises de pouvoir ou des distentions. Qui oeuvre pour le développement réel de l'économie n'a pas à se cacher. C'est peut-êter là l'une des plus grandes subversions.
voir aussi
La génèse et la domination de la terre
Sarkozy et les musulmans
Bourdiieu sur l'islam
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Comme nous l'avons fait remarqué dans un précédent article en nous appuyant sur les écrit d'un historien israélien anti-sioniste Shlomo Sand : Il n'y a pas UN peuple juif, il n'y a pas de peuple juif. Le peuple ainsi entendu est un leurre : qu'y a-t-ilde commun entre des Juifs d'Ethiopie, des juifs yéménites, des Sépharades, des Rhadanites, des Khazars (anciens nomades turcs convertis au judaïsme), les Hébreux noirs actuels qui souaitent se distinguer des juifs noirs d'Amérique, sinon la lecture d'un livre comme la Torah. Pour les différentes branches du judaïsme précisons qu'il s'agit d'un judaïsme talmudique ou rabbinique basée non seulement sur la lecture de la Torah mais l'interprétation des différents Talmud qui sont autant de lois moral. En plus du judaïsme talmudique il existe le judaüsle karaïte qui essaya lui de se greffer directement sur l'histoire des Khazars.
Si certaines de ces communautés refusent le Talmud, nombre de chrétiens qui admettent la bible refusent les encycliques papales. Nous allons y revenir tout cela pour dire que derrière la "vérité" d'un prophète, il y a toujours tout une série de courants cléricaux qui par leurs écrits se revendique de la parole du prohète qui lui n'écrit jamais. Cette dégénérescence de la "Vérité" en des "Lois" morales avant tout, se retrouve dans le mode transcendant de la philosophie avec Platon qio détenant la vérité socraitque énonce ses lois morales pour la cité. Pour les musulmans aussi, ils s'accordent sur le coran et les écrits abrahamiques falsifiés mais non pas sur le corpus des hadiths qui constituent la loi islamique (charia). Mais comme chez les autres momnothéismes il y a des divergences, cela ne fait pas de doute un prophète a toujours des problème d'héritage. Il est alors difficile de parler de peuple musulman quand on sait qu'il existe parmi ceux-ci des berbères (d'abord convertis au judaïsme puis à l'Islam et qui envahirent l'Espagne comme le montre la relation d'Avéroès et Maïmonide), des arabes et des turcs qui comme les Khazars résistèrent longtemps à la poussée arabe. Pour le dire en d'autres termes Sunnisme, Chiisme, Ibadisme (Oman, Djerba, certains Berbères), Druzes (Chiites du sud du Liban qui descendent de l'Ismaélisme), Alévites et Soufites de Turquie ne sont pas des histoires de clochers mais de minarets. Les muslmans reconnaissent les écrits des différentes religions abrahamiques mais considèrent leur écrits comme falsifiés par le temps : le Suhuf-i-Ibrahim (les Feuillets d'Abraham), la Tawrat (le Pentateuque ou la Torah), le Zabur de David et Salomon (identifié au Livre des Psaumes) et l'Injil (l'Évangile). Au Coran et au Hadiths ils ajoutent deux autres sources littérales à l'islam (l'unanimité (ijma’) et l'analogie (qiyas).
Petit rappel, pour les chapelles, pensera christianisme latin, copte, orthodoxe, charismatique, aux protestantismes luthérien, calviniste, baptiste, méthodiste, memonnite et évangélique pour ne citer qu'eux...
Pour les différentes éthnies on se rappelera...
...les mises en garde d'Etienne Balibar face au retour d'éthnicité de ces vingt dernirs années pour dire que les nations pas pllus que les peuples n'ont des "origines éthniques" (cf. Race, nation, classe, les identité ambiguës).
...Les notions de "race" et d' "éthnies" sont désastreuses de même que celle de peuple est douteuse par avance. Nous avons déjà attaqué la notion de peuple et montrer combien cette critique relève d'un anti-humanisme que l'on retrouve chez Foucault et Althusser. Sous le vocalbe de peuple, on se sert en quelque sorte de la crédulité et de la moralité des citoyens pour les désarmés de leur puissance. On les réarmes en les tirants au sort dès lors que des textes ou des aristocrates de la République sont là pour tenir la lettre de notre mémoire collective. Rappelons la traite constitution française, qui correspond à un régime représentatif plus qu'affectif. Ce qui est nommé peuple est d'emblée trahi alors que comme le diront certains philosophes c'est un peuple à venirr (comprenez une nouvelle affectivité) qui est appelée par les créateurs. Le prétendu peuple et tout ce que l'on range sous cette forme de passivité est spolié par ses représentants, qui tout au tard se reproduisent en corps d'élite et en dynastie de gouvernants. Les tirés au sort doivent se protégés des services secrets et des sociétés secrètes qui n'oeuvres par pour le développment des infrastructure mais fomentent des prises de pouvoir ou des distentions. Qui oeuvre pour le développement réel de l'économie n'a pas à se cacher. C'est peut-êter là l'une des plus grandes subversions.
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