POLITIQUE / Quand Serge Faubert et Jacques Rancière ne comprennent pas qu'ils ne sont oas démocrates
Petit mea culpa, qui me vient d'une mauvaise interprétation de Charles Ramond sur la "démocratie" formelle vs démocratie "réelle". Donc à 14:53, vous pourrez voir que Rancière s'intéresse au tirage au sort.
Monsieur Faubert,
vous êtes un républicain puisque vous faîtes de la politique et non de la démocratique. La distinction entre Politie (en anglais policy pour politique publique) et démocratie est aussi vieille qu'Aristote puisque c'est lui qui la met en place (ainsi que le terme anarchie semble-t-il, pour ce qu'il nous de la seule pensée attique). Parler de démocratie formelle (comme Charles Ramond), de démocratie comptable (comme Rancière avec son compte-pour-un ou citoyennisme), de démocratie représentative (comme les élus Renaissance ou Républicain), de République (comme Cicéron depuis sa concordia ordinum, qui donnera la République de Venise, puis les Républiques de Metz et de Mulhouse, les Républiques des Villes hanséatique et des villes libres ). Mais ces Républiques sont des oligarchie qui repose sur la classe des bourgeois avec son Parlement (qu'il prenne la forme d'un tribunal avec ses juges de la noblesse de robe comme le père de Descartes par exemple ou la forme d'une assemblée législative qui n'et pas une assemblée populaire ou conseil ou soviet en russe - ce qui donnera le conseillisme par exemple).Il est une chose connue que la "souveraineté" populaire n'est pas la souveraineté nationale, peut-être parce que les bourgeois veulent que comme sous le nazisme la nation face corps par-celà les dissension de classes, les intérêts antagonistes, où avec les machine on voit un appauvrissement de l'intelligence, comprenez une "prolétarisation" des personnes intelligentes dont les burn out sont un symptôme). C'est presque du Todd, même pas besoin de connaître son Marx. Souvent on dit qu'il n'y a eu que deux philosophes démocrates Spinoza et Marx, mais Spinoza n'était pas pour le tirage au sort . Et Marx a sans doute été mal compris, puisque Rancière qui est plus un Républicain qu'un démocrate parle à son sujet de haine de la démocratie. Mais c'est qu'il ne savait peut-être pas comment mettre en place le tirage au sort et les instance de contrôle (dont les gauchistes à la Deleuze et à la Damasio nous diront que c'est la pire chose alors même qu'ils n'ont rien compris à la sélection puis normalisation par dressage disciplinaire et conceptuelle chez Foucault vu par lui comme un pouvoir positive qui laisse ses marques dans les corps et les psychismes forcément, ce dont parle Deleuze et Damasio, pour en revenir à eux, c'est de l'auto-contrôle comme cela apparaît enfin à Damasio dans son interview à Blast-Planète B, lui qui toute sa vie s'est planté et qui confesse être lent pour penser. Qu'est que le contrôle dans la normalisation disciplinaire c'est ce que font les uns avec les autres et que feront les institutions démocratiques qui encadrent la corruption des tirés au sort, avant, pendant et après leur mandat (impératif ou non); Ces tirés au sort un tant soit peu éduqués sauf si on est sous le libéralisme où seulement 10 à 16 % de la population à nécessité à être éduquée voir Attali au Sénat.Après tout revient à connaître où se situe la ligne de partage entre l'expert- (l'homme de la tekhnè : c'est-à-dire celui qui sait de quoi il en ressort et comment agir en conséquence) et le ô bolemonos (le principe du premier venu, Rancière parlerait des égaux, mais ce n'est pas une question d'égalité déclarée, Rancière en pervers déteste ses disciples qu'il ne fréquente pas c'est tout le problème entre subjectivité qui produit la normalisation disciplinaires et les sujets asservis - même Blanchot et pas seulement Foucault fait la distinction dans l'écriture du désastre alor même qu'elle serait ineffective dans une pensée du Dehors, c'est de la technique philosophique qui ne doit pas vous intéresser). Reste que Damasio et deleuze se plante, que vous avez là l'explication du wokisme importé, des totos décérébrés - qui n'ont rien compris à l'autonomie imaginaire de la osciété à la Castoriadis ni à l'autonomie éclatée à la Foucault-Deleuze-Guattari qui vire à la suele logique de perversion ou au suicide, ses deux seuls échapatoires, puisque c'est tout ce qu'offre la résistance dans son coin qui comme le fait remarquer Zizek passe d'abord par une captulation. Puisque je vous resitue là une bonne partie des courant de la politique (il manquerait un Badiou avec sa petite politique, ou encore la révolution conservatrice à la Jünger et à la Heidegger, très en vogue chez les français expatriés en Russie ou au texas, au tenant de la radicalité d'extrême droite).
Il y a un constat saugrenu à faire c'est que Platon qu'on veut faire passer pour un tenant de la tyrannie, incorporait bien plus de démocratie que n'importe quel régime républicain sur Terre (actuellement sauf quelques dictatures, il n'y a ques des républiques avec leur parlement - que l'on parle de "démocratie" ou d'"autoritarisme", même les monarchies constitutionnelles sont des républiques où 'oligarchie est une noblesse ou une famille royale, il s'agit bien d'un gouvernement constitutionnel autre nom de la politie - Platon, Aristote - ou de la république - Cicéron, Montesquieu.
Il n'y a rien de fantasme ou de révolutionnaire dans ce que je vous avance - même si Elisabeth Borne me désignerait comme une menace pour les institutions alors même que j'expose ce qu'est être démocrate sans l'affublé d'un épithète qui galvaude la démocratie pour continuer le mensonge proprement politique qui consiste à nous maintenir en république ou si on veut en oligarchie même si le terme est impropre, mais entre la démocratie libérale (une république ni plus ni moins), entre la démocratie représentation (toujours cette même république) et l'oligarchie il n'y tout juste qu'une différence de degré suivant le point de vue où l'on se place alors même que la constitution est respectée dans l'exercice du pouvoir et tous les arrangements qu'elle permet.
Il y a une différence de nature ou d'orientation entre politique et démocratique, entre politie (politeia) et démocratie. Les auteurs les plus conservateurs comme Platon et Aristote ou libéraux comme Montesquieu et Rousseau. Allez sur la chaîne youtube d'Antoine Houlou-Garcia et vous comprendrez ce qu'est la démocratie, les institutions démocratiques et non pas politique - avec leur constitution libérale - qui agite le hochet idéaliste de la liberté revendiquée et de l'égalité déclarée.
Spinoza est un républicain. Rancière est un républicain, Proudhon est un républicain fédéraliste (par ailleurs transmontain et antithéiste). Marx est un démocrate, Sartre est un démocrate. Pour Rosanvallon et pour Sintomer qui a théorisé le tirage au sort, sans doute moins bien Chouard, il n'y a pas d'accent mis sur le contrôle ou la discipline alors même que c'est au coeur de la pensée du pouvoir chez Foucault (non plus pensé comme répressif mais comme producteur - en fait c'est le micro-fascisme mais il n'a pas vu ce que pouvait produire sa subjectivité aujourd'hui bloquante). Bizarrement Houellebecq est un démocrate même s'il parle encore de démocratie directe et de RIP, preuve qu'il n'a peut-être pas tout compris, il n'aime pas le gouvernement constitutionnel autre nom de la république ou de la politeia chez Aristote.
Vous pourrez encore introduire quelques courants conservateurs pour apporter un pluralisme (toujours de droite pour Sartre), mais déjà un Michel Thomas (pardon un Michel Houellebecq) est étrangement du courant conservaveur et peut-être un démocrate. Même Nietzsche est dans l'acceptation que le nivellement démocratique va dans le sens du surhomme c'est-à-dire de ce qui travail au déclin de l'homme, à sa suite, à la suite de la vision exploitatrice et extractiviste née avec la subjectivité avec Montaigne et Descartes. Subjectivité ou pouvoir disciplinaire à la foucault qui en appelle (on retrouve cela même chez Badiou lorsqu'il parle du Sujet-gardien qui manipule la pince de la vérité et les sujets-experts qui énoncent des vérité dans chacune de leur discipline ou , comme ils relèvent de la tekhnè au sens d'arts et métiers, au sens de surveillance d'une procédure à rendement, d'une production au sein d'une corporation, ils n'ont pas besoin de délibération.
Ah oui vous me direz que j'ai oublié les quatre courants féministes : le féminisme matérialiste ou de luttes, le féminisme de position bourgeoise ou du care (Beauvoir, Halimi, Laugier), le féminisme libertaire ou queer (Haraway, Parentis, Butler, Despentes), le féminisme de la quatrième vague ou anti-TERF.
Vous me direz que j'ai oublié les écologiste, alors même que je vous recommanderais le livre le puritanisme "vert" pour comprendre en quoi il y a une dimension chrétienne très poussée chez les écologistes qu'on prenne Grothendieck, Ellul, Rabbi le réactionnaire, B. Latour qui en appelle à une classe écologiste (dans la 5e partie de son long entretien), de la même manière qu'un Bernard Friot, un Loïc Chaigneau ou une Salomé Saqué sont tous chrétiens pour parler des communisants, disons qu'il y a une sensibilité à l'autre. Les écologistes les plus conséquents sont peut-être à la FASE (renommée Ensemble !). On aura à peu près fait le tour si on fait remarquer que les socialistes et le radicaux de gauche comme de droite sont des libéraux -comme pouvaient l'être l d'ailleurs tous sont pour une république plus ou moins censitaire, plus ou moins basée sur le mérite, qu'il n'ont pas eu le droit de s'appeler républicains à partir de la restauration.
Je laisse de côté le bonapartisme - ni droite ni gauche à la Le Pen et à la Asselineau, bonapartisme qui n'a jamais été contre la nécessité de l'esclavage ou du rejet d'une partie de la population comme rebus ce qui fut le cas à Haïti u en Martinique - le légitimisme et l'orléanisme.
C'est assez dense comme cela, sans doute ne comprendrez vous pas, cela est une forme de dénégation, alors qu'il s'agit simplement de se mettre en posture démocratique, de faire le saut.Il y a un constat saugrenu à faire c'est que Platon qu'on veut faire passer pour un tenant de la tyrannie, incorporait bien plus de démocratie que n'importe quel régime républicain sur Terre (actuellement sauf quelques dictatures, il n'y a ques des républiques avec leur parlement - que l'on parle de "démocratie" ou d'"autoritarisme", même les monarchies constitutionnelles sont des républiques où 'oligarchie est une noblesse ou une famille royale, il s'agit bien d'un gouvernement constitutionnel autre nom de la politie - Platon, Aristote - ou de la république - Cicéron, Montesquieu.
Il n'y a rien de fantasme ou de révolutionnaire dans ce que je vous avance - même si Elisabeth Borne me désignerait comme une menace pour les institutions alors même que j'expose ce qu'est être démocrate sans l'affublé d'un épithète qui galvaude la démocratie pour continuer le mensonge proprement politique qui consiste à nous maintenir en république ou si on veut en oligarchie même si le terme est impropre, mais entre la démocratie libérale (une république ni plus ni moins), entre la démocratie représentation (toujours cette même république) et l'oligarchie il n'y tout juste qu'une différence de degré suivant le point de vue où l'on se place alors même que la constitution est respectée dans l'exercice du pouvoir et tous les arrangements qu'elle permet.
Il y a une différence de nature ou d'orientation entre politique et démocratique, entre politie (politeia) et démocratie. Les auteurs les plus conservateurs comme Platon et Aristote ou libéraux comme Montesquieu et Rousseau. Allez sur la chaîne youtube d'Antoine Houlou-Garcia et vous comprendrez ce qu'est la démocratie, les institutions démocratiques et non pas politique - avec leur constitution libérale - qui agite le hochet idéaliste de la liberté revendiquée et de l'égalité déclarée.
Spinoza est un républicain. Rancière est un républicain, Proudhon est un républicain fédéraliste (par ailleurs transmontain et antithéiste). Marx est un démocrate, Sartre est un démocrate. Pour Rosanvallon et pour Sintomer qui a théorisé le tirage au sort, sans doute moins bien Chouard, il n'y a pas d'accent mis sur le contrôle ou la discipline alors même que c'est au coeur de la pensée du pouvoir chez Foucault (non plus pensé comme répressif mais comme producteur - en fait c'est le micro-fascisme mais il n'a pas vu ce que pouvait produire sa subjectivité aujourd'hui bloquante). Bizarrement Houellebecq est un démocrate même s'il parle encore de démocratie directe et de RIP, preuve qu'il n'a peut-être pas tout compris, il n'aime pas le gouvernement constitutionnel autre nom de la république ou de la politeia chez Aristote.
Vous pourrez encore introduire quelques courants conservateurs pour apporter un pluralisme (toujours de droite pour Sartre), mais déjà un Michel Thomas (pardon un Michel Houellebecq) est étrangement du courant conservaveur et peut-être un démocrate. Même Nietzsche est dans l'acceptation que le nivellement démocratique va dans le sens du surhomme c'est-à-dire de ce qui travail au déclin de l'homme, à sa suite, à la suite de la vision exploitatrice et extractiviste née avec la subjectivité avec Montaigne et Descartes. Subjectivité ou pouvoir disciplinaire à la foucault qui en appelle (on retrouve cela même chez Badiou lorsqu'il parle du Sujet-gardien qui manipule la pince de la vérité et les sujets-experts qui énoncent des vérité dans chacune de leur discipline ou , comme ils relèvent de la tekhnè au sens d'arts et métiers, au sens de surveillance d'une procédure à rendement, d'une production au sein d'une corporation, ils n'ont pas besoin de délibération.
Ah oui vous me direz que j'ai oublié les quatre courants féministes : le féminisme matérialiste ou de luttes, le féminisme de position bourgeoise ou du care (Beauvoir, Halimi, Laugier), le féminisme libertaire ou queer (Haraway, Parentis, Butler, Despentes), le féminisme de la quatrième vague ou anti-TERF.
Vous me direz que j'ai oublié les écologiste, alors même que je vous recommanderais le livre le puritanisme "vert" pour comprendre en quoi il y a une dimension chrétienne très poussée chez les écologistes qu'on prenne Grothendieck, Ellul, Rabbi le réactionnaire, B. Latour qui en appelle à une classe écologiste (dans la 5e partie de son long entretien), de la même manière qu'un Bernard Friot, un Loïc Chaigneau ou une Salomé Saqué sont tous chrétiens pour parler des communisants, disons qu'il y a une sensibilité à l'autre. Les écologistes les plus conséquents sont peut-être à la FASE (renommée Ensemble !). On aura à peu près fait le tour si on fait remarquer que les socialistes et le radicaux de gauche comme de droite sont des libéraux -comme pouvaient l'être l d'ailleurs tous sont pour une république plus ou moins censitaire, plus ou moins basée sur le mérite, qu'il n'ont pas eu le droit de s'appeler républicains à partir de la restauration.
Je laisse de côté le bonapartisme - ni droite ni gauche à la Le Pen et à la Asselineau, bonapartisme qui n'a jamais été contre la nécessité de l'esclavage ou du rejet d'une partie de la population comme rebus ce qui fut le cas à Haïti u en Martinique - le légitimisme et l'orléanisme.
C'est assez dense comme cela, sans doute ne comprendrez vous pas, cela est une forme de dénégation, alors qu'il s'agit simplement de se mettre en posture démocratique, de faire le saut.