LES HISTOIRES A TOTO EN PHILO A PARIS / Aujourd'hui : quand je serai grand je ferai du vélo en dehors des trottoirs
Petite histoire humouristique pour dire où en la philo aujourd'hui à Paris.
Toto aujourd"hui vous rend un devoir d'école ! :)
Imaginons pour être plus compréhensible que notre société ou notre culture est une sorte de classe bien goupée qui marche sur le trottoir en se tenant la main deux par deux, en apparence on est tous les mêmes, tous égaux comme aime à le rappler le vieil instit à qui on va avoir affaire aujourd'hui. Dans la classe, rien détonnant si je vous dit qu'il y a bien entendu les forts ceux qui récoltent tous les points et les faibles, en cela on ne s"écarte pas des faits. Allons plus loin. Il y a même les cancres qui n'hésite pas à franchir la limite du trottoir et manque bien souvent de finir écrasés. Mais franchir la limite c'est une vieille histoire déjà les héros des tragédies grecques finissaient bien mal pour avoir osé s'aventurer sur la route, c'était le destin des dieux en automobile qui les frappait disait-on, à trop vouloir les affronter sur des passages mal protégés voilà ce qui devait arriver. Heureusement il y a notre vieil instit : pourquoi ne pas l'appeler Monsieur Badiou. Par la suite Toto vous parlera du marcheur infatigable, sorte d'abbé pierre du Trottoir, lui on l'appellera Monsieur Loraux, parfois il est arriver de se questionner sur la chute des feuilles sur les événement que cela produit en ous, mais sans doute y reviendra-t-on. Mais en tout cas Toto aujrd'hui est bien décider à vous raconter sa sortie qu'il a fait avec monsieur Badiou.
Parfois on rencontre dans la rue un vieux monsieur qui marche en révassant, sorte de professseur tournesol. appelons-le Monsieur Loraux. Parfois dans le noir il a des allures de vagabond, de ce fait on y prête pas attention sauf parfois les flics quand il font leur ronde... Mais a y bien écouter Monsieur Loraux a plein de chose à nous dire sur l'instit Badiou qui promène sa classe sans bien savoir où elle va. Il est étonnant de voir que quand mr Badiou, l'instit aux allures de prête des vérités éternelles, dit "Il faut renoncer à l'impossible" Mes enfants mais "faire confiance à sa propre capacité subjective" (séminaire ENS 30/10/06), en clair si vous apprenez bien et que vous ne depasser pas d'un poil vous menerez mes enfants une vie qui n'est pas indigne (un bonne vie de névrosé quoi). Monsieur Loraux, toujours en quête de vérité, vous raconte très bien le trajet du vieil instit comme s'il le croisait tous les jours : "les platonisants savent que le meilleur ne peut advenir alors il lui préfèrent un pis aller" (séminaire EHESS 20/12/06) la bonne vieille logique aristotélicienne qui repose sur deux principes, ceci donne alors le transcendantal, partir des conditions pour aller aux données, c'est un trajet pépère point par point où à chaque carrefour on prend une décision. Quand on se laisse emmener par le vieux prof on sacrément l'impression de faire quelque chose d'important et même d'aller quelque part. C'est vrai quoi puisque la prérégrination du vieux prof remonte dit-on à Descartes ou même à Platon. Mais où va-t-on ? Lui-même ne le sait pas. Mais le truc c'est que le vieux prof a vouloir tous nous surveiller sur le trottoir, eh bien il est obliger de marcher à l'envers sur le bord du trottoir en faisiant bien attention de toujours rappeller que en-dehors du trottoir ou même après la classe (l'Être, c'est qui est digne d'être désigné par le professeur), c'est le vide, c'est le chaos. C'est vrai quelque part, il doit avoir raison le vieux professeur puisqu'il y a ceux qui sont des cancres, de la mauvaise graine c'et facile de les repérer il font toujours des bêtises à sauter à droite à gauche dans la rigole du trottoir, à faire des éclaboussures, le vieux prof Badiou dit que c'est parce eur parents sont exclus qu'ils agissent comme ça, qu'ils sont dans le non-Etre, dans le manque-à-être. Il a toute une théorie sur le Bien et le Mal, le bien a fond c'est ce que permet de ne pas regresser à l'infini vers le non-être, vers l'école buissionière, l'école de la vie indigne.
Quelles sont les leçons du vieil instit, ah ça on ne peut pas toutes les donner, mais actuellement il adore parler des orientations et dispositions que peuvent avoir en toute logique ses jeunes éléves. Je crois que sous réserve il nous destinent tous à la mathématique, à ce qu'il appelle l'Ontologie. C'est une grande fiction de savoir, même mon père a été impressionné quand je lui ai raconté tout cela en rentrant de l'école. La voie royale pour notre instit c'est le transcendantale, en tout cas c'est que'il nous apprend avec sa méthode pédagogique (La Dialectique). Et oui avec le transcendantal, quelque soit la voie qu'on perend plus tard, à condition de ne pas descendre du trottoir, eh bien on est sûr d'arrivé quelque part. C'est encore mieux que le jeu de bille s'est esclaffé mon pote le Petit Nicolas, car quelque soit la mise de départ on est sûr d'en retrier quelque chose à la fin, meê si c'est pas grandchoses, on aura des connaissances supplémentaire sur notre quartier, l'Humanité. En tout cas Monsieur Badiou n'hésite pas à poser les limites de tout cela, il pense qu'en fait dès que l'école est finie on erre sur le trottoir, qu'heureusement il y aura toujours quelques éléments pour bien l'écouter et se faire ses disciple.
Mais revenons-en à notre petit parcours sur le trottoir Pendant le trajet notre vieil instit adore toujours nous lancer de grandes abstractions pour nous stimuler l'intellect. Bon je vous rassure parfois il se demande si avec tout ça on vit réellemet. Mais le plus intéressant vient quand un cycliste passe en toute liberté sur la route. Nous bien groupés, en rang serrés deux par deux onest mlusé par ces rares cycliste qui passent comme des comète (Y en a qui s'appelle Héraclite, Spinoza, Nietsche), il passe de temps à autre. Bon le vieux prof a toujours un mot gentil pour eux : il leur dit tout de même que ce sont des gens "obsurs" (Mais déjà Aristote et Plotin le disait d'Héraclite, alors ces comme les vieilles histoires de famille ça traverse les génération). Mon pote nicolas dit qu'en tout cas le vieuxprf il doit pas être fortiche au jeu de billes. Tout ce qui bouge ça le dépasse. Aux mouvement des vélos il préfèrent le côté statique. C'est peut-être pour cela qu'il ne comprend pas notre mode dépassé les limite du quartier ou de la classe (qu'il surnomme toujours d'un nom charmant l"Être ou c'est qui est digne d'être désigné par notre cher professeur). Bon faut êut-être que je vous le dise mais Monsieur Badiou ne s'est toujours pas mis au vélo, bein sur comme beaucoup de profeseur d'université, il vous raconte une théorie sur comme faire du vélo qu'en pédalent du conditionné (appuyer vers le bas), la pédale remontera vers le haut (le conditionné) et que tout haut tard on aura du donner. Mais attention on ne l'a jamais vu faire du vélo puisqu'il y a pas le droit d'aller sur la route, la route c'est pour les cancres qui font du non-être des éclaboussures. APRES L'ETRE C'EST LE VIDE, sauf si vous avez des vérité auxquelle vous raccrochez. Héhé il cabot notre viel instit, pare que chaque fois que je rentre à la maison je pose plein de question à Mon papa : Dit pourquoi est-ce qu'a^rès le trottoir y a plus rien alos que je vois pleins de gens faire du vélo sur la route, hein dis papa. Et pourquoi c'est toujours les cancres qui vont faire des éclaboussure dans le caniveau, alors qu'en toute logique, Monsieur Badiou nous l'interdit.
Signé Toto
La Morale de l'histoire c'est qu'à trop tenir compte de Monsieur Badiou l'histoire devient compliquer, ça introduit plein de complications dans une ville bien complexe, le mieux dit Toto, c'est quand je pars faire du vélo sur le porte-bagages de mon papa. Alors là je comprend tout à la ville et le quartier oà proximité de l'école me paraît bien ridicule. En tout cas le vélo de mon papa, dit Toto, c'est le ballai à sorcière : il sait donner des coup des accélérations avec, des sortes de fulgurances, il tient ça de son grand-papa à lui, Baruch de Spinozut. On est loin de la logique du pièton avec ses passages obligés que veut nous enfoncer dans le crâne ce fieffé d'instit.
Toute ressemblance avec des théories philosophiques ou des personnages ayant réellement existé, comme Alain Badiou ou Patrice Loraux est fortuite.