402. Les libérations.
- Il y a une libération de la pensée vis-à-vis de l’esprit, vu désormais comme le syncrétisme français de la raison audacieuse (ingénium), de l’outil de domination des sociétés de l’aveu de consciences et de discipline des corps (spiritus), de la part éternelle qu’on oppose volontiers au corps maladif (mens). De ce fait le régime qui s’est joué sous le registre de l’esprit est très persistant.
- il y a une autonomie du mouvement par rapport aux abstractions métaphysiques de l’être et du devenir.
- ll y a une autonomie de la lumière par rapport aux lois de l’esprit et de la matière. La matière n’est qu’une pure abstraction, une vision naïve qui perçoit ce qui nous entoure comme inerte — de là, au passage, l’archaïsme géorgique et biblique du labour