28 Octobre 2015
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Frédéric Chatillon Ancien membre du GUD. Il met en relation le duo Dieudonné*–Soral* avec Jean-Marie Le Pen. La consécration de cette nouvelle alliance est la venue de Dieudonné à la fête « Bleu blanc rouge » (BBR) du FN en 2006. Durant l’été 2006, Chatillon avait joué les intercesseurs auprès d'Orléans pour un voyage de Dieudonné, Alain Soral, Ahmed Moualek, Marc George et Thierry Meyssan à Damas puis au Liban. Ami de Jacques Vergès et de Roland Dumas.
Il dit soudoyé Edwy Plenel : « Concernant les 200 000 euros en cash, ça correspond à une demande de M. Plenel pour arrêter de publier des articles à mon sujet. […] J'ai l'impression que ce n'était pas suffisant… Je suis prêt à faire une “petite” rallonge de 100 000 euros. » Frédéric Chatillon, Courriel du 4 février 2015. adressé à Mathias Destal et Marine Turchi, in « Marine est au courant de tout… » Argent secret, financements et hommes de l'ombre - Une enquête sur Marine Le Pen, Flammarion, 2017.
Dans l'Affaire du financement du microparti Jeanne, Frédéric Châtillon. a écopé de 30 mois de prison dont dix fermes et 250.000 euros d’amende « pour plusieurs escroqueries ainsi que pour une longue série d’abus de biens sociaux au préjudice de son entreprise, estimée à 500.000 euros par le tribunal ». (source StreetPress)
Cet article est un copié collé du site La Horde :). Et oui nous sommes de très mauvais philoopshes à la rédaction. Pr contre Les filles des Monsieur Chatillon, qui n'ont jamais désavoué les pensées et la "doctrine" de leur père qui s'il arrivait au pouvoir fermerait ce site et nous mettrait en prison, ont une bonne connaissance du droit, mais pas du caractère informatif.
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A propos de Marie d'Herbais de Thun (nous mettons la source de l'observatoire de l'antisémitisme ci-dessous)
Marie d’Herbais de Thun, chargée de la communication du FN, est issue d’une longue lignée de la noblesse bretonne.
Son grand-père, Marcel Chereil de La Rivière, riche industriel, figure monarchiste, fut candidat FN à plusieurs élections. L’une de ses filles, Cendrine, est l’épouse de Jean-Marie Le Chevallier, l’ancien maire de Toulon. Lorsque l’élection de Le Chevallier fut invalidée, Jean-Marie Le Pen investit Cendrine, qui échoua de 33 voix lors d’une élection partielle. Elle passait pour plus extrémiste encore que son mari.
La mère de Marie d’Herbais, Katherine d’Herbais, est une autre fille de « tonton Marcel », comme on l’appelait dans les milieux d’extrême droite. Elle fut conseillère régionale frontiste en Picardie et, avec son ex-mari Pierre d’Herbais, compte parmi les principaux actionnaires du journal Minute.
Dans la propriété familiale de l’époque, l’imposant château d’Alincourt, nul doute que Marie d’Herbais de Thun a dû assister à des saillies antisémites plus explicites que celles de « la fournée », entre une chasse à courre et un camp d’entraînement du service d’ordre du Front national (DPS, en 1992).
Frontiste, à l’entendre, depuis ses 11 ans (les adhésions au FNJ commencent à 16 ans), elle a fait ses études, selon sa page Facebook, à l’institut suisse du Rosey, qui accueille la jeunesse dorée d’Europe. Elle est ensuite passée par l’Institut catholique de Paris. En 1992, à 20 ans, Marie d’Herbais est déjà fiancée à Frédéric Châtillon. Ils ont eu six filles ensemble et sont aujourd’hui fraîchement séparés.