POLITIQUE / Marion Perrine Le Pen et le néo-fascisme
Ce texte a pour but de montrer le virage mariniste imposé au Front National dans une volonté de rassemblement et donc par un
jeu de holding, de prise de pouvoir, par association d'abord avec les souverainistes puis de là avec la droite conservatrice.
Le fascisme est né en France mais il n'a jamais pris d'importance. Autant le Soral réhabilite le nazisme autant Marion Perrine Le Pen introduit le fascisme. Marion Perrine Le Pen n'est pas
raciste mais plus proche du fascisme avec lequel elle correspond en tout point : centraliste, anti-solidariste, anti-communautariste donc à l'opposé de Maurras & Pétain. Jamais le fascisme ne
ce serait lancé dans un collaboration-soumission. Ce n'est pas parce qu'on est anti-maurrasien et anti-pétainiste qu'on est anti-fasciste même si Marion Perrine reprend son père dès que fleure
une allusion à Mussolini, respectabilité électorale oblige. Le maurrassisme est décentralisateur, corporatiste et solidariste alors que Marion Perrine Le Pen une fois encore est centralisatrice,
anti-solidariste et anti-communatariste. Elle rejette le nationalisme intégral d'une certaine extrême-droite, les natinaux révolutionnaires (voir plus bas). Reste que la priorité aux nationaux
est fasciste. Reste que les partis fascistes, dès leur naissance, proposent des programmes politiques volontairement flous, fluctuants ou vidés de leur substances. Les fluctuations du programme
opportuniste s'explique par une formule : « notre programme, c'est le fait ». Toute idée, même la meilleure, deviendrait un danger si elle se figure être un but par elle-même d'où les attaque
contre les rêve de la gauche. Il n'y a pas d'unité mais un foisonnement qui s'explique par le manque d'idées et qui explique la fluctuance du mouvement. Citons par exemple ceci "Le parti fasciste
apparaît, à ses débuts, comme quelque chose d'inédit, soudé autour d'un chef qui se veut charismatique, mais doté d'un programme, rapidement relégué au rang de curiosité. Cette particularité
fragilise le parti, qui a un ciment très friable, soudé autour de ressentiments et d'ennemis communs. Il est donc, avant la prise du pouvoir absolu par celui qui se présente comme le guide du
peuple, soumis à de nombreuses tensions contradictoires, entre les représentants des différentes mouvances qui le composent, les nationalistes, les conservateurs, les partisans d'un socialisme
national... Dans chaque mouvement fasciste, le chef doit ainsi affronter des partisans d'options différentes, mais, par sa maîtrise des luttes d'appareil, par la présence de nombreux fidèles et
par son charisme personnel, il sort grandi de ses conflits, renforcé par l'issue de la lutte."
L'exclusion comme marque du pouvoir.
Une scission s'est jouée en 2009 au sein du Front National entre fascistes et pétainistes. Les pétainistes ou maurrasiens sont représentés par l'Oeuvre Française et Marion Perrine Le Pen les a
évincé. Les organes de presse des pétainistes-maurrasiens so,t l'Action française et Rivaral, il pense dès lors que Marion Perrine Le Pen est vendu au système (Le fascisme est né en France mais
il n'a jamais pris. Autant le Soral réhabilite le nazisme autant Marion Perrine Le Pen introduit le fascisme. Marion Perrine Le Pen n'est pas raciste ms fasciste (centraliste, anti-solidariste,
anti-communautariste dc à l'opposé de Maurras & Pétain). Ce n'est pas parce qu'on est anti-maurras et anti-pétainsite qu'on est anti-fasciste. Le maurrassisme est décentralisateur,
corporatiste et solidariste alors que Marine Le Pen une fois encore est centralisatrice, anti-solidariste et anti-communatariste. Elle rejette le nationalisme intégral d'une certaine
extrême-droite. Reste que la priorité aux nationaux est fasciste. Reste que les partis fascistes, dès leur naissance, proposent des programmes politiques volontairement flous, fluctuants ou vidés
de leur substances. Les fluctuations du programme opportuniste s'explique par une formule : « notre programme, c'est le fait ». Toute idée, même la meilleure, deviendrait un danger si elle se
figure être un but par elle-même d'où les attaque contre les rêve de la gauche. Il n'y a pas d'unité mais un foisonnement qui s'explique par le manque d'idées et qui explique la fluctuance du
mouvement. Citons par exemple ceci "Le parti fasciste apparaît, à ses débuts, comme quelque chose d'inédit, soudé autour d'un chef qui se veut charismatique, mais doté d'un programme, rapidement
relégué au rang de curiosité. Cette particularité fragilise le parti, qui a un ciment très friable, soudé autour de ressentiments et d'ennemis communs. Il est donc, avant la prise du pouvoir
absolu par celui qui se présente comme le guide du peuple, soumis à de nombreuses tensions contradictoires, entre les représentants des différentes mouvances qui le composent, les nationalistes,
les conservateurs, les partisans d'un socialisme national... Dans chaque mouvement fasciste, le chef doit ainsi affronter des partisans d'options différentes, mais, par sa maîtrise des luttes
d'appareil, par la présence de nombreux fidèles et par son charisme personnel, il sort grandi de ses conflits, renforcé par l'issue de la lutte."
Une scission s'est jouée en 2009 au sein du Front National entre fascistes et pétainistes. Les pétainistes ou maurrasiens sont représentés par l'Oeuvre Française et Marion Perrine Le Pen les a
évincé. C'est même cet évincement qui est la marque d'une prise de pouvoir peu démocratique. Il est difficile d'appeler parti démocratique un parti qui transmet sa présidence par une sorte de
féodalisme, de père en fille. J'insist sur une sorte de féodalisme car il n'y a pas la pratique du droit d'aînesse. Après la transmission du pouvoir du père à la fille, la présidence s'adjoint la
vice-présidence de son compagnon, Louis Aliot. C'est ouvertement démocratique. Là où les pro-nazis (Soral) sont
un délabrement cérébral à l'image de Céline qu'ils n'ot jamais reniés, les pro-ascistes sont pour un pourrissement de la situation économique car elle permet un rapprochement avec les conservateurs et un rectrutement du plus grand nombre (voir la vidéo), la question sous-jacente étant celle du partage des richesses et donc à terme celle de la propriété foncière.
Oligarque et non démocrate.
Cet évincement est la marque d'une prise de pouvoir peu démocratique. Il est difficile d'appeler parti démocratique un parti qui transmet sa présidence par une sorte de féodalisme, de père en
fille. J'insist sur une sorte de féodalisme car il n'y a pas la pratique du droit d'aînesse. Après la transmission du pouvoir du père à la fille, la présidence s'adjoint la vice-présidence de son
compagnon, Aliot. C'est ouvertement démocratique. Là où les pro-nazis (Soral par sa réhabilitation un chef notamment Hitler via Faurisson) sont pour un délabrement cérébral à l'image de Céline
qu'ils n'ont jamais renié, les pro-ascistes sont pour un pourrissement de la situation économique car elle permet un rapprochement avec les conservateurs, la question sous-jacente étant celle du
partage des richesses et donc à terme celle de la propriété foncière. La prise de pouvoir des partis fasciste et nazi cherche à être légale. La dédiabolisation est la marque du passage du
pétainisme et de l'Algérie Française au fascisme, car c'est une manière de s'assurer l'alliance avec les conservateurs, comprenez la droite classique. Etre anti-système et Républicain est
antinomique puisque le système se reproduit de manière républicaine par le mérite et non par la filiation comme le clan Le Pen-Aliot. Dans le clan on a Jean-Marie, Marion Perrine et à présent la
nièce Marion.
Marion Perrine Le Pen fait partie de l'oligarchie la plus ancienne de France, lire le système Le Pen aux éditions Denoël. La démocratie oblige au renouvellement. On veut nous faire croire qu'elle
est démocrate. C'est impossible puisqu'elle est "Républicaine" c'est-à-dire oligarchique depuis Cicéron et que la république repose sur le tirage au sort. . et héritière de son Père). Pour
le dire simplement Marion Perrine Le Pen est pour l'élection qui lui permet de garder le pouvoir plutôt que pour le tirage au sort. La pérennité du système le Pen passe par là. Marine Le Pen avec
son compagnon Alliot sont centralisateurs. Sinon ils perdraient la Bretagne et le Sud-Ouest. L'intégration des musulmans est un anti-communautarisme (donc anti-Action Française et anti-Maurras).
le culte autour de sa personne
Même Jean Marie Le Pen n'était pas arrivé à ce qu'a réussi sa fille Marion Perrine. Elle a transformé le Front Natioal en Rassemblement bleu Marine. Difficile de lier plus radicalement un nom à
un mouvement. L'annonce est faite ici mais le site existe déjà.
Marion Perrine Le Pen sur les immigrés.
Marion Perrine Le Pen n'est pas seulement contre l'immigration mais contre les immigrés (Vidéo à 2'30"). La différence avec le fascisme anti-solidariste, anticommunautariste et centralisateur, c'est que MLP ne prône pas la violence mais elle laisse plâner par son son prénom une ambiguité quant au militarisme. "on ne peut pas prendre en charge toute la misere du monde. la priorite aux Francais." Cela reste une thèse fasciste, étrange parole de la part d'un chrétien sans pitié et sans compassion.
Implantation du fascisme en France avant la seconde guerre mondiale.
Pour René Rémond, il n'a pas vraiment existé de fascisme en France car le véritable fascisme a été réduit à de petits groupuscules sans influence (Parti Fasciste français, Francisme, Parti
pouplaire de Doriot). Pour Zeev Sternhell, il y a rencontre d'éléments de gauche et d'éléments d'extrême-droite d'où un "préfascisme" à la fin du 19e siècle. Quant à Robert Soucy et Ernst Nolte,
ils confondent Pétainisme (qui s'appuie sur Maurras) et Fascisme. Maurras est tout sauf fasciste. A cause de l'Action française et Maurras, le parti fasciste a décliné en France (le 2d parti
fasciste d'Europe entre 1925-1928, Le Corbusier en a fait parti).
Les liens du fascisme international et le changement de bouc-émissaire.
Marion Perrine Le Pen a fait parti du même groupe parlementaire (Identité, tradition, souveraineté dirigé par Bruno Gollnisch) que la petite fille de Benito Mussolini, Alessandra Mussolini, présidente d'un mouvement ouvertement néo-fasciste, l'Action Sociale, de 2004 à sa dissolution en 2007. Vous avez les
liens pour vérifier vous-mêmes, la dissolution de ce groupe a eu lieu suite à un amalgame de sa part entre délinquants roms originaires de Roumanie et roumains,
les 5 députés du Parti de la grande Roumanie appartenant au groupe Identité, tradition, souveraineté le quittent, ce qui entraîne la
dissolution du groupe pour cause de manque d'effectifs. Alessandra Mussolini a fait parti du MSI dont nous parlons plus bas et ne tarde pas à créer l'Alternative sociale (Alternativa Sociale con Alessandra Mussolini) qui, avec 1,9 % de votes exprimés, lui permet de rentrer de
rentrer au parlement européen.
Marion Perrine Le Pen rencontre Francesco Storace
et la Destra italienne, résurgence du MSI. La flamme du Front National, inspirée de celle du MSI (Mouvement Social Italien),
créé le 26 décembre 1946 après la chute de la République sociale italienne et l’interdiction du Parti national fasciste du Duce Benito Mussolini par le gouvernement provisoire et les Alliés..
A partir de 2009, Marion Perrine Le Pen fait partie de l'Alliance européenne pour la liberté (EAF) qui regroupe notamment le Parti de la liberté autrichien (FPÖ) et le Vlaams Belang (Intêret
Flamand). Cette Alliance est concurrente de l'Alliance européenne des mouvements nationaux (AEMN) créée par Bruno Gollnisch mais aussi du groupe Europe Liberté Démocratie (le Parti pour
l'indépendance du Royaume-Uni ou UKIP de Nigel Farage appartient à l'EAF qu'à l'ELD mais aussi Frank Vanhecke un ex du Vlaams Belang depuis septembre 2010). Le Vlaams Belang a subi des changements comme le FN, il s'est d'abord rapproché du Bloc Identitaire et de la
ligue du Nord de Mario Borghezio en 2009. Mais la même chasse des pro-fascistes contre les pro-nazis a eu lieu et contraint ce parti à exclure une famille pro-nazie de Hoboken « Il n'y a pas de
place dans notre parti pour des gens qui vantent une telle idéologie », a expliqué M. Valkeniers et un revirement a opéré.
C'est différent éléments sont là pour souligner la proximité de Marion Perrine Le Pen avec les mouvement plus néo-fascistes que pro-nazis. La proximité que l'on remarque chez les néo-fascistes et
non chez les pro-nazis avec Israel se retrouve aussi chez Marion Perrine Le Pen que chez le FPÖ. Hans Cristian Strache s’est rendu en Israel en décembre 2010, à l’invitation de plusieurs hommes
politiques, dont Ayoub Kara du Likoud, vice-ministre israélien du développement du Neguev et de la Galileé.
La scission "pro-fasciste" et "pro-nazie".
Les pro-fascistes seront pro-sionistes là où les pro-nazis seront anti-sionistes (ils soutiennent par exemple les négationnistes). C'est l'un des clivage que l'on peut voir
Ce que j'essaye de montrer c'est qu'il existe une scission qui se voit en ce que le Jobbik hongrois se rattache à un tout autre courant, marqué par de l'antisémitisme et une hostilité contre la
minorité tzigane. Le Jobbik est plus proche du néo-nazisme alors que le neo-fascisme de l'EAF a pour point de convergence, selon le chercheur français Jean-Yves Camus, est "une défiance envers
l'islam". En France, la montée en puissance d'Edouard Klein (GUD), de Serge Ayoub (Troisième Voie et le Local) et de David Rachline (FNJ) montre bien que la stigmatisation ne se fait plus sur la
minorité juive mais contre les musulmans qui a 93% ont voté pour Hollande au second tour de l'élection présidentielle de 2012.
Excepté Gollnisch, poussé à la provocation pour pouvoir existé, les anciens du Front National sont pour beaucoup regroupés au sein de l'Union de la droite nationale (UDN) depuis septembre 2011 et
regroupe le Mouvement national républicain (MNR de Bruno Mégret), la Nouvelle droite populaire (NDP) et le Parti de la France (PDF de Karl Lang). Cette "union" est soutenue par l'Oeuvre
française, le renouveau français, la Troisième Voie (ouvertement anti-sioniste) ainsi que Terre et Peuple (une émergence du GRECE païenne et gauloise, on pnsera aux écrits de Jean Mabire sur les
wafen-SS). On pourrait qualifer beaucoup de ces mouvements en disticntion du Front National comme Nationaux Révolutionnaires. Au niveau de la société civile l'implantation se fait via des
organisation comme le Mouvement d'Action Sociale en France, Casapound en Italie, Nationaler Widerstand en Allemagne, Opir en Ukraine, Nation en Belgique francophone, N-SA et Radio Raille en
Flandre belge, Genève Non Conforme en Suisse…
A noter il existe une troisième composante de l'extrême droite ce sont les localistes, c'est-à-dire les régionalistes ou identaires, composante qui est englobée par le maurassisme mais méprisée par les néo-fascistes.
Brouillage des pistes et volonté de rassemblement : les recettes légales de la prise de pouvoir fasciste.
Pourquoi tant s'attacher au fascisme, c'est que ce mouvement nationaliste est néo-fasciste, c'est-à-dire qu'il ne fait pas du racisme une marque de fabrique ouvertement exposé mais que celui-ci passe par un anti-communautarisme. Il y a pour mener à bien la volonté de rassemblement et la prise du pouvoir, une volonté de brouillage des pistes et de ne surtout pas faire comme Papa mais comme la Nationaux-socialistes qui ce sont fait passés pour socialistes ou comme les fascistes qui se sont rapprochés des conservateurs. Vous pourrez noter dans le texte encadré qui suit l'anti-localisme et donc une divergence supplémentaire avec le maurrasisme et le pétainisme. Il n'y a pas comme l'avance certains un "transcendantal pétainiste" c'est-à-dire un déplacement vers le maurassisme (pro-nazi) mais davantage une progression vers le néo-fascisme, un fascisme qui cache sa violence. Non Marine Perrine n'est pas fasciste, elle n'a aucun côté revenchard, aucune violence autre que l'outrance verbale, certes asesptisée par rapport à son père, mais que sait-on du militarisme qu'elle devrait mettre en place pour protégé physiquement les frontières de la France (elle qui ne veut renoncer à l'Euro car ce serait l'effondrement de la France par le retour au Franc faible).
Au Front national, deux lignes s'affrontent
Au FN, les choses sont compliquées . Les investitures pour les Alpes-Maritimes ne sont pas encore tranchées, Mme Schénardi et M. Le Pen, changeant régulièrement d'avis sur la
question, selon le récit d'un dirigeant frontiste.
En tout cas, sur cette question, deux camps s'opposent. Steeve Briois, secrétaire général, Bruno Bilde, chef de cabinet de Marine Le Pen et Nicolas Bay, en charge de l'immigration, de la
communication électorale et tête chercheuse frontiste chez les Identitaires, défendent un rapprochement avec certains dirigeants du Bloc.
Au contraire, Louis Aliot, numéro 2 du FN, et ses soutiens y sont très fermement opposés.
Derrière cette divergence, deux lignes stratégiques s'affrontent pour construire un pôle de rassemblement. Pour ceux que l'on surnomme au FN, les "3 B" , la présence des Identitaires dans ce
rassemblement est un plus : ils sont "très actifs", "jeunes" et "talentueux". Et le retrait de leur candidat à la présidentielle est un obstacle de moins pour Marine Le
Pen, un gage de bonne volonté donné au Front national. Selon un cadre frontiste: "On a réussi à faire en sorte qu'il n'y ait pas de concurrent. La moindre des choses est de montrer que le
rassemblement se fait dans de bonnes conditions".
Pour Louis Aliot, en revanche, ce rassemblement doit se faire autour de la droite souverainiste éparpillée, toujours dans le but de faire
du FN un parti "dédiabolisé". Ainsi, pour M. Aliot, certains Identitaires sont beaucoup trop sulfureux pour faire partie du nouveau FN. Au mois de mars 2011, il nous déclarait : "C'est quoi
leur spécificité [aux Identitaires] ? Etre régionalistes ? On sait que ça ne marche pas en France. Ils ne veulent pas de nous et nous ne voulons pas d'eux."
source
Il s'agit donc de mettre à distance ou d'étouffer le bloc identitaire (on pensera à l'écharpe Sang et Or de Louis Aliot au défilé du 1er mai 2012) qui est une force de recrutement de la jeunesse et d'opérer un rapprochement avec les souverainistes (le SIEL de Paul-Marie Coûteaux a été créé à cet effet) et des personnes laissées sans étiquettes comme Maître Collard. "En 1976, François Duprat rallie la FANE [groupuscule ouvretement national-socialiste] à ses Groupes nationalistes révolutionnaires (GNR), faisant fusionner Notre Europe — organe de la FANE — avec les Cahiers européens, et la fait entrer au sein du Front national" (wiki). En 2010, l'accession de Marion Perrine Le Pen La question de la rupture entre pro-nazi (On pensera à Duprat ) et pro-fasciste est éludée par Louis Aliot (vidéo à 3'30") ramené à un problème de génération.