La Philosophie à Paris

CONJECTURES / Les politiques issues de la science et autres courants

4 Février 2010, 14:23pm

Publié par Anthony

On pourra toujours voir là une volonté de mettre en catégorie mais c'est ici la carte les plus éta

Il y a à ce jour quatres manières de réduire la politique à la science, dans la mise en place d'un système mondiale
- la première vise à produire l'interaction de quatre puissances Etats-Unis, Russie, Inde, Chine) ) partir de principes physiques hérités de Leibniz et de Képler, dynamique de l'un et gravitation universelle d'lautre contre l'usurpation netownienne. Cela se rapproche ou de l'économie physique américaine (protectionniste) de List, Carey, Hamilton, mise en pratique par Franklin, Lincoln, Rossevelt (oposé à Keynes contraierement à ce que son interventionisme d'Etat laisse paraître).
- la politique marxiste basée sur l'économie politique marxienne qui etait jusqu'à ce qu'Engels en fasse la synthèse une analyse de la production et de la circulation de la marchandise et de l'accumulation de capital (machines y compris) qui en résulte.
-  une autre branche aujourd'hui éteinte, bien que reprise par l'idéologie du réchauffement climatique qui voit la terre comme une serre et donc un système isolé ou fermé partait de la première cybernétique avec des réservoirs qui se vidaient et se remplissaient, retenant lois de conservation de la matière et de l'énergie de la thérmodynamique et qui prédisait une catastrophe au niveau de la nourriture et de l'énergie en 2010.
- Une deuxième branche de la cybernétique et des systèmes complexes adaptatifs s'inspire des découvertes de la biologie des années 70. Elle vise à réduire au travers d'un réseau interactif global s'appuyant sur les technologies de l'information la Terre à un "petit monde" dont on pourrait tiré un position unanime, un consensus en peu d'instants ou d'opération. L'Ecologie politique d'inspiration gorzienne s'y rapporte. Jean Robin faisant le lien en France entre le Groupe des 10 et  le GRIT mais aussi avec le machinisme de Guattari et l'institution imaginaire (tous deux étant invités au second).

On peut noter quelques autres politiques (bien souvent des méta-politiques) qui posent la crise de la "politique" étatique
- On peut noter, la politique libérale anglo-saxonne de Wall-street qui repose sur les Trusts et les paradis fiscaux situés aux îles Caïman et surtout à la City protégé par la reine du solide Empire Britannique. Aussi conspirationniste que cela paraisse que la mondialisation est concertée au travers du Groupe Bildenberg e, de la conférence Tri-latérale, du Conseil pour les relation étrangère, tous pilotés par des banquiers. C(étiat la première forme de gouvernement de la Terre prédite par Nietzsche comme devant ratée mais qu'il aurait certainement appuyée, pusq'il souhaitai mener sa grande politique visant à remettre Nicolas Bonaparte sur le trône d'Europe avec l'aide de banquiers juifs ce que sa soeur s'est empressé de faire disparaître.
- On peut noter qu'une branche de la politique idéaliste comme les quatre précédentes est morte avec la Commune de Paris.
- la petite politique organisationnelle qui souhaite en définitve ne pas jouer le jeu de la représentation, suivant qu'elle est pour ou contre l'Etat : on y verra Bensaïd (et le parti politique tel la LCR ou le NPA) et Badiou (et l'organisation politique qui investit le hors-champ de l'Etat)
- la micropolitique en ce que le pouvoir (vu comme un micro-fascisme) est ce qui oblige à parler, à communiquer (Barthes, Foucault, Deluze), on en reste au nivbeau de la parole et non de l'écrit qui lui peut être censuré s'il témoigne d'un désir subversif.

Reste au niveau de la politque réprésentative les différents "partis" républicains
- socialiste avec les courants Jaurès-Mollet-Mitterrand et Guesde-Blum-Rocard
- humaniste (parti radical quand il n'est pas divisé entre droite et gauche) (parti centriste Giscard-Bayrou). Particularité française qui fait qu'il n'y a jamais eu de social-démocratie en France, ce courant n'a jamais eu de syndicat.
- droitière (les 3 droites : la doite libérale, la droite bonapartiste, la droite loyaliste (loyale envers le roi et le pape)

Reste le socialisme anticipateur d'Orwell et à contre-point de Camus (deux tuberculeux)...
Reste l'anarchisme qui se regroupa essantiellement la section jurassienne avec Bakounine, Koprotkine, Reclue. Mais il y a au moins cinq courant dans l'anachisme, sans compter le vague courant post-anarchiste (Onfray) et droite anarchiste (Pessoa, Céline, Desproges, etc.)

Je n'ai pas vraiment tenu compte de l'extrême droite et de l'extrême gauche, qui désignés ainsi sont des épouvantails utiles à la politique représentative.

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